Première fois en lingerie Parle de ton expérience sans aucun tabou.

[Kikibranle]

Ma première fois avec lingerie
Transparente c'est sur Rueil Malmaison dans les années soixante dix-sept m'on pote porté la petite culotte de ça mère et moi les collants chair de ça mère ont c'est branler mutuellement puis on c'est sucer hum cetait trop bon

[artetmuse]

Je devais avoir 12 ou 13 ans, c'était un mercredi après midi où ma mère travaillait.
J'étais revenu vivre avec elle quelques mois après qu'elle soit redevenue célibataire.
J'avais déjà exploré ses tiroirs de lingeries, elle en était friande, et se laissait régulièrement voir juste habillée de ces dernières.
Elle était devenue le principal support de mes jeux masturbatoires, et parfois j'en suis arrivé à me demander si elle n'en jouait pas un peu.
Ses tiroirs restaient ouverts, tout comme la porte de sa chambre, et régulièrement je pouvais voir un ou plusieurs ensembles négligemment posés sur le bord de son lit.
Je me caressais souvent en les regardant, imaginant ma mère les porter dans des postures suggestives et m'adressant des regards pervers.
je répandais ma jouissance à même le sol et nettoyais toute trace de mon passage ensuite.
Rapidement ça ne me suffisait plus, je me glissais dans ses draps pour me caresser, j'humais son parfum, tout cela rendait mon plaisir encore plus intense.
Ce mercredi je passais à l'acte, j'enfilais un ensemble caraco et shorty qu'elle portait souvent le soir en regardant la télé.
Je découvrais le contact du satin, ça m'électrisait, je comprenais mieux que certaines fois je pouvais la voir pointer éhonteusement au dessous.
Le moindre mouvement agaçait mes pointes, flattait mon sexe, donnait à mon plaisir une intensité inconnue jusque là, incontrôlable.
Je triturais mes pointes, saisissais mon sexe au travers du shorty qui rapidement s'humidifiait de mon plaisir.
Je ne contrôlais plus rien, ne pensais plus à la moindre conséquence, je me caressais comme si ma mère le faisait, puis sortais mon sexe du shorty, accélérais jusqu'à me branler vigoureusement.
J'explosais dans un bonheur inouï, giclait le caraco et les draps, restais second plusieurs minutes du plaisir atteint.
Puis la crédulité d'un adolescent me faisait penser que refermer le lit et glisser l'ensemble en satin au fond du panier à linge suffirait à ne pas éveiller les soupçons.
Le soir ma mère rentrait, m'embrassait me demandant comment s'était passée ma journée, puis allait prendre une douche et passait ensuite dans sa chambre.
Elle y restait un temps qui me semblait interminable, puis en ressortait avec une chemise de nuit assez courte et à peine boutonnée sur le devant.
Je pouvais lire la courbe de ses seins pointés, son visage s'empourprait à mesure qu'elle avançait.

[PPik]

Elle y restait un temps qui me semblait interminable, puis en ressortait avec une chemise de nuit assez courte et à peine boutonnée sur le devant.
Je pouvais lire la courbe de ses seins pointés, son visage s'empourprait à mesure qu'elle avançait.

Bon sang ! Tu vas nous laisser sur notre faim @artemuse ?

[artetmuse]

L'image reste gravée dans ma mémoire, la couleur un peu rosée du tissu, sa fluidité qui sans être près du corps dessinait la courbe de ses hanches, les pans de sa chemise de nuit qui s'arrêtaient bien moins qu'à mi cuisse.
Puis je me souviens de la chaleur qui a envahi mon bas ventre, la sensation d'enfler dans mon bas de survêtement, de le déformer.
Je l'ai vu hésiter, puis au dernier moment s'échapper vers la cuisine, entendre la fenêtre à laquelle elle s'installait souvent pour fumer s'ouvrir.
Sa cigarette finie elle revenait dans le salon deux verres à la main, passait devant moi sans un mot, atteignait un petit buffet bas dans lequel elle rangeait les bouteilles.
Elle s'y penchait lentement pour attraper une bouteille, sa chemise remontait lentement l’arrière de sa cuisse jusqu"à dévoiler impudiquement la courbe de ses fesses, juste assez pour en garder le mystère et suffisamment pour attester l'absence totale de sous vêtements.
Elle tenait la position le temps de saisir la bouteille qu'elle cherchait, se relevait, remplissait son verre copieusement et le mien d'un petit fond comme elle disait.
Elle buvait rarement et peu, l'alcool avait certains effets sur elles qui pouvaient donner des souvenirs impérissables à des repas de famille.
Elle se retournait, se décalait et allumait la télévision, passait de l'une à l'autre des 5 chaines qu'on avait, puis revenait vers moi.
Assis dans le canapé, j'avais attrapé le magazine télé et dissimulais habilement ma bosse en faisant mine de regarder le programme.
Elle affichait une expression sur son visage comme celle d'une petite fille très fière de ses bêtises.
Elle se penchait sur la table basse et y posait nos verres en me fixant, J'ai bien cru à cet instant que ses seins allaient se déverser hors de sa chemise de nuit.
Elle contournait la table basse et s'asseyait à côté de moi, son attention se fixait sur la télé, puis sur le magazine, elle me laminait en quelques mots.
"Tant qu'à faire regarde le programme d'aujourd'hui ..."
Elle me retirait le programme des mains, puis fixait la déformation de mon bas de survêtement en laissant échapper un petit rire moqueur ...

[artetmuse]

Sa main s'est tendue vers ma cuisse, puis s'est ravisée pour saisir mon verre et me le tendre.
Je restais le verre à la main attendant qu'elle vienne y faire tinter le sien, nos verres et nos regards entraient en contact.
Elle semblait très amusée de la situation, un demi sourire restait esquissé sur ses lèvres alors qu'elle y portait son verre.
Je buvais une petite gorgée, elle m'imitait puis buvait à nouveau quasiment la moité de son verre qu'elle posait sur la table basse immédiatement après.
J'avalais une nouvelle fois une gorgée, elle posait ses épaules sur le dossier du canapé et semblait se laisser absorber par la télé.
Mon regard se posait régulièrement sur elle, parfois avec insistance, elle triturait lentement entre ses doigts un des rares boutons encore en place au niveau de sa poitrine.
Elle jetait un regard rapide vers moi et se penchait pour attraper son verre, le buvait lentement, et reprenait place dans le canapé
Un long soupir s'échappait de ses lèvres, le bouton roulait entre deux de ses doigts et se libérait.
Je n'arrivais plus à quitter du regard sa poitrine, mes yeux tombaient dans les pans entrouvert de sa chemise qui laissaient presque voir l'auréole d'un sein.
Ses doigts jouaient cette fois avec la bordure du tissu, puis après quelques secondes descendaient sur le bouton suivant qui cédait dans l'instant.
Son visage se tournait lentement vers moi, esquissait un sourire, son regard était vague cependant.
Elle me fixait quelques seconde et posait innocemment sa main sur ma cuisse pour se relever.
Elle allait chercher la bouteille restée sur le petit buffet et revenait nous resservir, elle se penchait lentement sur la table basse, cette fois sa chemise de nuit ne la contenait plus, ses seins m'apparaissaient splendides et pointés ...

[artetmuse]

Elle laissait s"écouler lentement la bouteille dans nos verres, la posait, puis se redressait en masquant faussement la vue d'une main:
"oups..."
Elle si intarissable d'habitude, n'avait pas de mots.
Elle se rasseyait, ajustait mais pas trop sa chemise sur ses seins et reposait sa main sur le haut de ma cuisse.
L'extrémité de ses doigts se trouvaient très près de mon sexe, qui s'il le n'était pas encore assez bandait plus encore.
Il se dessinait sans équivoque sous mon survêtement, je ne sais si c'est de le voir ainsi, la main de ma mère si proche ou l'alcool, mais une gigantesque bouffée de chaleur m'envahissait.
Elle sans quitter ma cuisse attrapait son verre, le sirotait un instant, puis se levait à nouveau.
Elle attrapait son paquet de cigarettes:
"ça ne te dérange pas si pour une fois je fume à l'intérieur ?"
"non ..."
Elle allumait sa cigarette, tirait une grande bouffée, elle restait face à moi, son regard passait de mon visage à ma bosse à mesure que sa cigarette se consumait.
Gêné par l'instance de son regard, je saisissais mon verre et le buvais en plusieurs gorgées.
L'effet de l'alcool se faisait sentir, elle s'asseyait et finissait son verre avant de m'attirer sur elle où je basculais mollement et sans résistance.
Je me retrouvais comme souvent on l'avait fait, elle bien installée au fond du canapé et moi tête posée sur ses cuisses allongé sur le reste de la banquette.
Ses doigts parcouraient ma tête, mon cou ou mes épaules comme elle le faisait souvent.
Cette fois ils glissaient sur mon torse puis ma hanche.
Elle devait regarder la télé, moi je profitais de ses caresses les yeux clos.
J'écoutais sa respiration s’approfondir, s'accélérer.
Ses doigts longeaient l'élastique de mon survêtement, frôlaient mon ventre.
D'une toute petite voix douce elle me demandait de mettre sur le dos.
Je sortais à moitié de ma torpeur et basculait sur le dos, elle libérait ses derniers boutons et laissait glisser sa chemise de ses épaules.
Elle reprenait ses caresses dans mes cheveux en souriant, ses seins presque posés sur mon visage.
Elle ployait un peu s'en présentait un à mes lèvres, je le baisais longuement.
Sa caresse se faisait plus enveloppante, plus intense.
Ma bouche aspirait sa pointe comme surement je le faisais quand elle était nourricière.
Elle finissait par laisser échapper:
"oui ... comme ça ... continue ..."
Sa main serrait ma tête contre son son sein, m'y écrasait la bouche.
Je le gobais, l'aspirais, elle de plaisir non dissimulé enfonçait ses ongles dans mon cuir chevelu.
" oui vas y ... bouffe le ... "
Elle poussait de petits gémissements quand mes dents s'imprimaient dans sa chair, s'en délectait.
Je sentais ses cuisses se serrer et se desserrer alternativement, sa respiration s'accélérer encore.
Elle m'étouffait presque avec sa poitrine, plantait ses ongles dans mon crâne et entamait un long râle libérateur.
Elle relâchait l'étreinte essoufflée, me couvrait de caresses en me regardant dans les yeux sans un mot.

[artetmuse]

Sa respiration ralentissait doucement, nos yeux restaient rivés, son regard était comme habité.
Son sourire s'étirait sur son visage, il devenait rarissime depuis sa dernière séparation qui avait été compliquée.
Je ne saurais dire combien de temps on est resté comme ça.
Son visage a ensuite perdu toute expression, s'est figé comme lors d'une intense réflexion, puis j'y ai lu l'effroi, la gêne de ce qui venait de se passer.
Elle est restée hébétée quelques secondes, je ne savais que dire ou faire, elle machinalement se mordait la lèvre inférieure, restait engluée dans sa pensée.
Sa mâchoire se desserrait, elle allait parler:
"Il me faut une cigarette ..."
Elle se levait doucement en s'échappant sur le côté, repassait juste sa chemise de nuit sur ses épaules, sans même prendre la peine de dissimuler son corps, elle allumait sa cigarette et tirait nerveusement une première bouffée avant de se diriger vers la fenêtre de la cuisine.
Je regardais ses seins ballotter, encore rougis et pointés au dehors du tissu, jusqu'à ce qu'ils disparaissent de mon champ de vision.
Je reprenais la position assise, restais dans l'attente, indécis face à ce qu'il faudrait faire en pareille situation.
J'hésitais entre me diriger vers ma chambre, rester là, je ne savais comment me comporter.
Une partie de moi était emplie de désir, bizarrement une très petite, l'autre en très grande majorité c'était plus un sentiment de culpabilité, d'avoir fait ou laissé faire.
J'entendais la fenêtre se refermer, elle réapparaissait dans l'embrasure de la porte de la cuisine, s'y arrêtait furtivement, y posait son épaule en me regardant.
Sa mâchoire tentait de s'ouvrir plusieurs fois sans mot puis:
"Mon chéri ... Je t'aime tu sais ..."
je n'ai su rien répondre, j'ai dû sourire bêtement, exprimer une forme d’acquiescement.
Je l'ai vu hésiter, puis revenir s’asseoir à côté de moi.
Sa main est passée dans mon cou furtivement, d'un geste tendre, puis l'a croché des doigts pour m'attirer contre elle avant de m'enlacer.
Elle me serait contre elle, comme un simple câlin qu'on échangeait parfois, pourtant le bisou qu'elle posait dans mon cou avait une tonalité radicalement différente, c'était timide, sensuel.
Le suivant était plus sensuel encore, ses lèvres dénuées de toute tension s'écrasaient sur ma peau, s'y attardaient.
Quand elles s'en décollaient c'était pour laisser échapper un long soupir qui soufflait à mon oreille et faisait presser sa poitrine contre mon torse.
Ses lèvres se reposaient dans mon cou, plus humides, plus lascives encore, je sursautais quand sa main entrait en contact avec l'intérieur de ma cuisse, elle par réflexe la retirait avant de recommencer la manœuvre.
Cette fois mon corps l’accueillait sans trembler, la laissait remonter.
Sa main se décollait pour s'étaler sur mon sexe au travers de mon survêtement, le frôlait avant de se faire plus enveloppante.
J'ai bien failli jouir dès cet instant.
Elle a dû le sentir, sa main s'est retirée lentement et elle m'a serré encore plus fort contre elle puis m'a répété qu'elle m'aimait, "moi aussi" est sorti de mes lèvres comme si je m'écoutais parler.
Elle m'a embrassé de nouveau dans le cou, puis ses lèvres ont glissé sur les miennes, nos bouches se sont ouvertes l'une à l'autre, nos langues se sont déliées.
A partir de cet instant plus rien n'existait, importait, il n'y avait plus que nous.
Ses mains remontaient sous mon t-shirt, allaient l'ôter, les miennes passaient sous sa chemise de nuit.
On s'embrassait à pleine bouche jusqu'à ce que mon t-shirt passe entre nos visages, le visage de ma mère était illuminé comme jamais.
Sa chemise de nuit glissait de ses épaules une nouvelle fois et volait avant de choir au milieu du salon.

[artetmuse]

Elle s'enfouissait mon visage entre les seins, puis se le passait de l'un à l'autre, avec une excitation que je pouvais ressentir.
Elle m'écartait ensuite et d'une main appliquée sur le torse me faisait basculer sur le canapé.
Son corps venait me surplomber, ses seins remontaient à hauteur de mon visage, puis sa langue venait s'engouffrer dans ma bouche, son baiser glissait sur mon torse, mon ventre.
L'instant suivant elle se redressait et d'un geste précis saisissait les élastiques de mon survêtement et de mon slip, tirait ensuite.
Mon sexe jaillissait, elle reculait vers l'extrémité du canapé, emportant ce qui me restait de vêtement.
Elle posait délicatement mon bas de survêtement sur la table basse, saisissait son verre et s'adossait sur l'accoudoir.
Son visage recouvrait l'expression de la malice d'une petite fille, elle me regardait fixement et portait son verre à ses lèvres tout en écartant perceptiblement les cuisses.
Elle m'offrait la vue de sa fente lisse et serrée, juste surmontée d'un filet de poils ras.
Je contemplais comme j'aurais contemplé l'origine du monde, mais avec beaucoup moins de mystère.
Elle, avait décidé de me donner un spectacle plus élaboré, sa main glissait sur son ventre, lissait son pubis minimaliste, déployait son majeur et l'écrasait dans sa fente.
Sa tête basculait en arrière, puis se redressait, sa bouche s'ouvrait largement comme ses cuisses, son doigt décrivait de petits cercles sur le haut de sa fente, puis était rejoint pars les autres, elle s'écartait, s'étirait.
Elle faisait apparaître entre ses doigts ce qui m'était inconnu, ce bouton rosâtre qui avait presque la taille d'une olive et qu'elle faisait enfler et rebondir avec un plaisir certain.
Ma main s'enroulait sur mon sexe sans même que j'en ai eu le projet, elle m'en faisait rendre compte d'une voix presque animale:
"Oui vas y ! Branle toi !"
Je sentais mon cœur cogner l’intérieur de mon crâne, ma main percuter le bas de mon ventre tant je me branlais fort.
Elle s'envolait, devenait intarissable, des mots sortaient de sa bouche presque incompréhensibles, d'autres m'encourageaient entrecoupés de gémissements.
Elle pataugeait dans sa fente, ses doigts s'agitaient frénétiquement dans un bruit de plus en plus liquide, lui extirpaient de petits cris.
C'était surréaliste, je m'empoignais sans aucune douceur, sans presque de sensation de plaisir, c'était mécanique, Je me sentais énorme.
Elle se mettait à répéter "oui" sous différentes intonations, inspirait et bloquait entre chaque, jusqu'au dernier rauque qu'elle hurlait presque en se broyant un sein et en ruisselant entre ses doigts.
La seconde suivante elle gisait, sa tête avait disparu et pendait renversée de l'autre côté de l'accoudoir, ma vue s'arrêtait à sa poitrine essoufflée, haletante.
Sa jouissance avait eu sur moi l'effet d'une bombe, j'en avais cessé de me masturber, je regardais mon sexe érigé avec un sentiment de démesure, de puissance.
Elle finissait par se repositionner péniblement, son visage réapparaissait confus, un peu honteux, pourtant son regard se fixait sur mon sexe sans pouvoir s'en détacher.
Pour moi c'était comme si j'avais une insurmontable envie de jouir et que je ne pouvais pas, j'étais bloqué à point que c'en était presque douloureux.
Elle s'asseyait, attrapait une dernière fois son verre et le finissait, se levait ensuite et ramassait sa chemise de nuit, à ma surprise elle la posait avec le bas de mon survêtement et allumait une cigarette.
Dehors c'était nuit noire, la télé nous éclairait d'une lumière blafarde et diffusait un programme de fin de soirée.
Le temps s'était écoulé bien plus rapidement que je ne l'avais ressenti.
Son corps se dessinait devant l'écran qu'elle éteignait, sa cigarette s'écrasait dans le cendrier avant que sa main saisisse la mienne pour me faire lever.
Elle me tractait dans le noir jusqu'à sa chambre où elle nous faisait entrer.
Elle allumait sa petite lampe de chevet, jugeant la lumière trop forte elle sortait un linge du tiroir de sa table de nuit qu'elle posait sur l'abat jour et ouvrait son lit.
Son visage était grave, un peu plus avec cette lumière tamisée, elle entrait dans le lit et m'attirait contre elle.
Elle chuchotait: "Viens .."; et m'enlaçait.
Nos bouches s'ouvraient encore l'une à l'autre, dans un mélange de langues, de tabac et d'alcool, nos corps se pressaient l'un contre l'autre.
Mon sexe venait butter et glisser contre son ventre dans une sensation de plaisir inouïe.
Nos respirations s’accéléreraient et se synchronisaient.
Mes mains cherchaient indélicatement ses seins, les siennes venaient longer mon sexe.
L'excitation raccourcissait nos souffles, les saccadait.
Nos corps mêlés roulaient alternativement d'un côté, puis de l'autre, comme pour retarder ce qui allait arriver.
Mon gland venait s'écraser sur sa fente, elle nous faisait rouler une dernière fois, elle me maintenait sur elle et me guidait entre ses cuisses.
Une main pressait sur le bas de mes fesses, puis en agrippait une, mon gland découvrait l'humidité et la chaleur de sa fente, sa main me poussait lentement en elle, jusqu'à la sentir envelopper totalement mon sexe.
C'était ... Je n'ai pas de mots pour décrire cet instant, une fusion peut être.
Son corps vibrait tout entier, le mien s'abandonnait totalement, nous nous sommes crispés ensemble, on a crié je crois en plantant nos ongles dans nos chairs.
j'ai explosé, enfin tout mon corps a explosé, mon cerveau, mes reins, je l'ai senti m’inonder.
Ce fut tellement puissant que je ne me souviens pas m'être endormi.
Je me réveillais au milieu de la nuit, comme sorti d'un rêve, la réalité était que nous étions encore enlacés dans la lumière tamisée.

[Skanda]

Ton récit est très excitant, très sensuel, merci!