Ma première branle entre potes Parle de ton expérience sans aucun tabou.

[Antoine75003]

Deux histoires me sont arrivées :

la première fois c'était en internat d'été. j'avais alors 13/14 ans. Je n'avais pas été très bon à l'école l'année précédente du coup mes parents pour se "débarasser de moi" une partie de l'été m'avait inscrits dans une pensionnat d'été ou l'on pouvait rattraper les cours : tersac.

Les cours étaient sympas, mais le soir ca devenait plus interessant. Coupés du monde sans smarphones, sans internet ni meme bouquin de cul. L'atmosphere dans les dortoirs des garçons était sexualisée, même si personne ne mettait de mot la dessus, mais elle était aussi le résultat d'une discipline dure et d'un travail acharné la journée.

Nous étions par catégorie d'age dans des chambres de 8/10, mais on croisait assez facilement les autres qui allaient à la douche en serviette et qui faisaient des blagues. Je me souviens d'un mec plus vieux d'une autre chambre qui faisait une blague sur un de ses potes de chambrée en disant qu'il n'arrivait pas a bander à fond... très sexualisé.

Un soir j'ai commencé a entendre les autres s'astiquer sous les draps, petit à petit c'est devenu un rituel tous les mecs on se branlait en meme temps, on voyait dans la peine ombre les draps s'agiter, on parlait doucement pour ne pas se faire prendre par le pion, ca nous excitait grave je crois de le faire en meme temps de se raconter quand on allait venir ou "ou on en était".

Un soir le "leader" de notre chambre, alors qu'on avait tous commencé à se branler, le plus âgé qui avait le lit qui jouxtait le mien est sorti de son lit la bite à l'air et bien raide pour aller rejoindre le lit du collegue à coté. On les a entendu gémir tous les deux pendant de longues minutes, et ca aussi c'était un rituel mais qui ne les concernait que les deux. Les autres on se branlait tranquille dans nos lit pendant que les deux autres se caressaient ou peut etre plus sous les draps de l'un ou de l'autre. C'était hyper excitant d'entendre les bruits des poto, les gemissements, et de sentir les savoir chaud autour.

Plus exicitant encore, et autre histoire.

Toujours pour se débarasser de moi, mes parents sur mon choix m'avaient envoyé en colonie avec l'AROEVEN l'été suivant 3 semaines en sac à dos en Corse et tante de Saint Florent à Calvi ... intitulé je m'en souviens encore "cochon sauvage ou sanglier domestique" tout un programme.

Les réputations se font vite et rien que le trajet de Bordeaux à Marseille ou on devait prendre le bateau, je savais que je ne serais pas le plus "populaire" mais pas le dernier non plus.

Arrivé en à saint-florent, on devait faire le choix des compagnons de chambrées c'était au au tirage au sort. Je me retrouve avec un beau gosse de la colo, et un gars moins populaire que moi. On monte la tente, c'était vraiment petit, souvent les choses se font naturellement sur la base de la popularité, le BG prend le coté droit, moi le coté gauche et le mec pas populaire aura la place la moins pratique pour dormir : au milieu.

Dès le premier jour le BG ne traine pas avec mon groupe constitué de mecs et meuf un peu lambda mais avec deux frères mais un midi je les entends discuter un peu à l'écart à propos d'un concours de bite qu'ils ont fait tous les 3 il plaisantent s'en amusent d'avoir la même bite de s'est comparé d'avoir regardé la bite l'un de l'autre ... Le mec moins populaire je ne sais plus avec qui il trainait.

Dès le courant de la première semaine, on constate que la place sous la tente est vraiment petite, on se touche presque en dormant. Dès le départ aussi on sent que chacun essaye de se branler discretos sous la tente. Je me souviens même que le beau gosse me pose la question "Antoine tu fais quoi ?" je lui répond "rien ca doit etre le vent". je mens sans honte. L'habitude vient qu'on se branle dans nos duvets, puis on dort en dehors parce qu'il fait trop chaud sinon.

Mais le vrai tournant viendra du mec pas populaire du milieu, un soir de - vraiment le tout début de la colo - alors qu'on se faisait de moins en moins discrets pour se branler, le mec rallume une torche juste "pour voir ma bite" il ne me laisse pas vraiment le choix. il rallume et je vois les deux autres deja hors de leurs duvets. Il rapproche une lumière de moi pour bien voir ma teub. Je vois son visage qui se rapproche Il commence aussi à s'astiquer et le beau gosse suit aussi.

Sans me vanter je sais que j'ai la plus grosse teub, ma bite qui aujourd'hui fait 20 cm devait en faire17 à l'époque. Le beau gosse doit avoir comme le mec pas populaire (14/15). Il s'en étonnent tous les deux, en me disant que j'ai vraiment une belle teub, que j'ai de la chance. Je dois avouer que comme je la vois tous les jours, je n'avais pas spécialement remarqué.

Le soir suivant l'ambiance à changée. on se branle sans gêne avec la torche. chacun astique son manche, mais on voit clairement la bite de l'autre. Le matin dans la tente ca sent le male en rut, la nuit de baise j'aime ca ca m'excite. D'autant plus que nos fringues mal lavées dans des campings, puent un peu toutes.

On bouge pas mal d'endroits, saint florent, porto, mais à Corte les choses changent de nouveau. dèja la tente pue totalement le slip, la chausette bref le bon poto. Nos fringues qu'au début nous rangions bien sont partout là un slip là des chausettes sans plus aucune pudeur j'aime cette ambiance.

Mes deux compagnons de chambrées sont surement aussi exictés que moi à l'idée de retrouver nos branles nocturnes au milieu de ce foutras de fringues et d'odeurs sales. (mais on est encore au milieu de la colo). En fait c'est peut etre à cause de la taille de ma teub mais je sens que les deux autres sont intéressés par ma bite il veulent souvent la voir... les différences de popularité s'effacent au fil des jours au profit de la complicité de chambrée.

Bref cela change de nouveau, le mec du milieu cela fait quelques jours que je sens qu'on a plus de contacts quand on se branle, la un bout de cuisse, là un doigt sur ma cuisse, un coude... jamais a mon initiative toujours à la sienne. Un soir il reprend la torche et me dit "tu me montre ta bite ?" Je suis allongé, il se redresse, jusque là J'en avais l'habitude mais là, il s'approche avec la torche, la regarde, il approche son visage reste quelques instant, et fini par la gober ce bon poto. On ne s'était alors jamais masturbé mutuellement ni rien.

La retenue sage qui avait prévalue jusque là a été franchie, il me taille une bonne pipe... la première de toute ma vie. Visiblement le beau gosse est très excité et au bout d'une ou deux minutes lui fait signe qui lui aussi il aimerait bien se faire pépon.

De là c'est parti, tous les soirs en fait on ne reste plus dans nos duvets. Le beau gosse et moi on est a genoux dans la tente cote cote et l'autre nous suce par terre passant d'une bite à l'autre. Avec le beau gosse on se touche, on se caresse les cheveux, le torse, le dos, partout, on fini par se rouler quelques gloches pendant que l'autre nous pompe par terre. Quelques fois le mec du milieu avale nos spermes mais le plus souvent on jute sur une chaussette ou quoi.

Cela se passe comme ca tous les soirs jusqu'a là fin de la colo. La journée le beau gosse s'est rapproché d'une nana qui est une de mes potes, ils "sortent" ensemble, et se fait pépon tous les soirs.

Le dernier soir le mec du milieu nous pompe depuis un moment, comme à son habitude, on se roule des galoches avec le beau gosse, on est tous un peu triste sans se le dire parce qu'on sait que c'est la dernière fois. Le mec du milieu nous dit qu'il aimerait faire un truc spécial. on s'arrête de se carresser avec le beau gosse, et on l'écoute. Il veut qu'on jute sur son dos. Avec le beau gosse on se regarde, d'un air 'ouais pas de soucis' mais on voit pas le del.

On été dejà bien avancé dans notre branle nocturne, le mec du milieu se retourne et nous montre son dos, avec le beau gosse toujours à genoux on fini par juter sur son dos, ses épaules, son cul... il est couvert de foutre mais ca n'a pas l'air de le déranger. Nous on a fini, il se branle juste aussi et on s'endors.

Je ne les ai jamais revus, j'ai oublié jusqu'a leurs prénoms. Le mec du milieu s'appelait peut etre Nicolas mais pas sur... voila ^^

[amateur]

Deux histoires me sont arrivées :

la première fois c'était en internat d'été. j'avais alors 13/14 ans. Je n'avais pas été très bon à l'école l'année précédente du coup mes parents pour se "débarasser de moi" une partie de l'été m'avait inscrits dans une pensionnat d'été ou l'on pouvait rattraper les cours : tersac.

Les cours étaient sympas, mais le soir ca devenait plus interessant. Coupés du monde sans smarphones, sans internet ni meme bouquin de cul. L'atmosphere dans les dortoirs des garçons était sexualisée, même si personne ne mettait de mot la dessus, mais elle était aussi le résultat d'une discipline dure et d'un travail acharné la journée.

Nous étions par catégorie d'age dans des chambres de 8/10, mais on croisait assez facilement les autres qui allaient à la douche en serviette et qui faisaient des blagues. Je me souviens d'un mec plus vieux d'une autre chambre qui faisait une blague sur un de ses potes de chambrée en disant qu'il n'arrivait pas a bander à fond... très sexualisé.

Un soir j'ai commencé a entendre les autres s'astiquer sous les draps, petit à petit c'est devenu un rituel tous les mecs on se branlait en meme temps, on voyait dans la peine ombre les draps s'agiter, on parlait doucement pour ne pas se faire prendre par le pion, ca nous excitait grave je crois de le faire en meme temps de se raconter quand on allait venir ou "ou on en était".

Un soir le "leader" de notre chambre, alors qu'on avait tous commencé à se branler, le plus âgé qui avait le lit qui jouxtait le mien est sorti de son lit la bite à l'air et bien raide pour aller rejoindre le lit du collegue à coté. On les a entendu gémir tous les deux pendant de longues minutes, et ca aussi c'était un rituel mais qui ne les concernait que les deux. Les autres on se branlait tranquille dans nos lit pendant que les deux autres se caressaient ou peut etre plus sous les draps de l'un ou de l'autre. C'était hyper excitant d'entendre les bruits des poto, les gemissements, et de sentir les savoir chaud autour.

Plus exicitant encore, et autre histoire.

Toujours pour se débarasser de moi, mes parents sur mon choix m'avaient envoyé en colonie avec l'AROEVEN l'été suivant 3 semaines en sac à dos en Corse et tante de Saint Florent à Calvi ... intitulé je m'en souviens encore "cochon sauvage ou sanglier domestique" tout un programme.

Les réputations se font vite et rien que le trajet de Bordeaux à Marseille ou on devait prendre le bateau, je savais que je ne serais pas le plus "populaire" mais pas le dernier non plus.

Arrivé en à saint-florent, on devait faire le choix des compagnons de chambrées c'était au au tirage au sort. Je me retrouve avec un beau gosse de la colo, et un gars moins populaire que moi. On monte la tente, c'était vraiment petit, souvent les choses se font naturellement sur la base de la popularité, le BG prend le coté droit, moi le coté gauche et le mec pas populaire aura la place la moins pratique pour dormir : au milieu.

Dès le premier jour le BG ne traine pas avec mon groupe constitué de mecs et meuf un peu lambda mais avec deux frères mais un midi je les entends discuter un peu à l'écart à propos d'un concours de bite qu'ils ont fait tous les 3 il plaisantent s'en amusent d'avoir la même bite de s'est comparé d'avoir regardé la bite l'un de l'autre ... Le mec moins populaire je ne sais plus avec qui il trainait.

Dès le courant de la première semaine, on constate que la place sous la tente est vraiment petite, on se touche presque en dormant. Dès le départ aussi on sent que chacun essaye de se branler discretos sous la tente. Je me souviens même que le beau gosse me pose la question "Antoine tu fais quoi ?" je lui répond "rien ca doit etre le vent". je mens sans honte. L'habitude vient qu'on se branle dans nos duvets, puis on dort en dehors parce qu'il fait trop chaud sinon.

Mais le vrai tournant viendra du mec pas populaire du milieu, un soir de - vraiment le tout début de la colo - alors qu'on se faisait de moins en moins discrets pour se branler, le mec rallume une torche juste "pour voir ma bite" il ne me laisse pas vraiment le choix. il rallume et je vois les deux autres deja hors de leurs duvets. Il rapproche une lumière de moi pour bien voir ma teub. Je vois son visage qui se rapproche Il commence aussi à s'astiquer et le beau gosse suit aussi.

Sans me vanter je sais que j'ai la plus grosse teub, ma bite qui aujourd'hui fait 20 cm devait en faire17 à l'époque. Le beau gosse doit avoir comme le mec pas populaire (14/15). Il s'en étonnent tous les deux, en me disant que j'ai vraiment une belle teub, que j'ai de la chance. Je dois avouer que comme je la vois tous les jours, je n'avais pas spécialement remarqué.

Le soir suivant l'ambiance à changée. on se branle sans gêne avec la torche. chacun astique son manche, mais on voit clairement la bite de l'autre. Le matin dans la tente ca sent le male en rut, la nuit de baise j'aime ca ca m'excite. D'autant plus que nos fringues mal lavées dans des campings, puent un peu toutes.

On bouge pas mal d'endroits, saint florent, porto, mais à Corte les choses changent de nouveau. dèja la tente pue totalement le slip, la chausette bref le bon poto. Nos fringues qu'au début nous rangions bien sont partout là un slip là des chausettes sans plus aucune pudeur j'aime cette ambiance.

Mes deux compagnons de chambrées sont surement aussi exictés que moi à l'idée de retrouver nos branles nocturnes au milieu de ce foutras de fringues et d'odeurs sales. (mais on est encore au milieu de la colo). En fait c'est peut etre à cause de la taille de ma teub mais je sens que les deux autres sont intéressés par ma bite il veulent souvent la voir... les différences de popularité s'effacent au fil des jours au profit de la complicité de chambrée.

Bref cela change de nouveau, le mec du milieu cela fait quelques jours que je sens qu'on a plus de contacts quand on se branle, la un bout de cuisse, là un doigt sur ma cuisse, un coude... jamais a mon initiative toujours à la sienne. Un soir il reprend la torche et me dit "tu me montre ta bite ?" Je suis allongé, il se redresse, jusque là J'en avais l'habitude mais là, il s'approche avec la torche, la regarde, il approche son visage reste quelques instant, et fini par la gober ce bon poto. On ne s'était alors jamais masturbé mutuellement ni rien.

La retenue sage qui avait prévalue jusque là a été franchie, il me taille une bonne pipe... la première de toute ma vie. Visiblement le beau gosse est très excité et au bout d'une ou deux minutes lui fait signe qui lui aussi il aimerait bien se faire pépon.

De là c'est parti, tous les soirs en fait on ne reste plus dans nos duvets. Le beau gosse et moi on est a genoux dans la tente cote cote et l'autre nous suce par terre passant d'une bite à l'autre. Avec le beau gosse on se touche, on se caresse les cheveux, le torse, le dos, partout, on fini par se rouler quelques gloches pendant que l'autre nous pompe par terre. Quelques fois le mec du milieu avale nos spermes mais le plus souvent on jute sur une chaussette ou quoi.

Cela se passe comme ca tous les soirs jusqu'a là fin de la colo. La journée le beau gosse s'est rapproché d'une nana qui est une de mes potes, ils "sortent" ensemble, et se fait pépon tous les soirs.

Le dernier soir le mec du milieu nous pompe depuis un moment, comme à son habitude, on se roule des galoches avec le beau gosse, on est tous un peu triste sans se le dire parce qu'on sait que c'est la dernière fois. Le mec du milieu nous dit qu'il aimerait faire un truc spécial. on s'arrête de se carresser avec le beau gosse, et on l'écoute. Il veut qu'on jute sur son dos. Avec le beau gosse on se regarde, d'un air 'ouais pas de soucis' mais on voit pas le del.

On été dejà bien avancé dans notre branle nocturne, le mec du milieu se retourne et nous montre son dos, avec le beau gosse toujours à genoux on fini par juter sur son dos, ses épaules, son cul... il est couvert de foutre mais ca n'a pas l'air de le déranger. Nous on a fini, il se branle juste aussi et on s'endors.

Je ne les ai jamais revus, j'ai oublié jusqu'a leurs prénoms. Le mec du milieu s'appelait peut etre Nicolas mais pas sur... voila ^^

ça c'est du récit, merci pour ce partage !

[allyoucanmast]

Super excitant ton histoire, merci Antoine ! C'est pour ce genre de récit que je viens sur le forum

[Niko17]

Salut à tous !
Moi c’est Niko je suis bi et à la recherche de me première expérience avec un gars …
Je suis curieux et envieux n’hésitez pas à venir me parler ! On peut discuter, de chauffer, de mater et pk pas se rencontrer

[Fainrandir]

Salut les gars,

D'aussi loin que je me souvienne j'étais chaud assez jeune, pourtant j'ai découvert la sturb vers 11-12 ans. J'avais un ami dans mon quartier et il avait mis la main sur une K7 vidéo de son beau-père, même pour mon époque film paraissait moisi alors qu'il était des années 90, décennie de ce souvenir. Donc l'histoire, c'était du porno hétéro ou la fille, une châtelaine, découvre un livre, comme une biographie plutôt hard. Entre imagination des écrits et acte de dépravation de cette dernière, j'ai pu voir du hard pour de vrai, avec des chattes poilues, des grosses teubs et de l'orgie en veux tu en voilà. Bref du coup on s'est branler plusieurs fois sur ce film, qui clairement n'a pas concouru aux oscar. Mon ami était d'origine franco-argentin, peau foncé, cheveux noir, une bite d'un gamin de 12 ans je dirais, on se branlait chacun dans notre coin de la pièce. A ce moment là je tirais encore à blanc, mais un jour lors d'une séance de branle banale, j'ai ressenti une chose forte me secouer le bas ventre puis mes couilles, je me suis levé d'un bon avec pourtant les jambes flageolantes et je suis allée dans ces toilettes ou pour la première fois de ma vie j'ai juté. J'avais jamais ressenti un truc pareil. Putain la bite c'est trop bon. Je n'ai jamais rien fait d'autre avec lui,on a meme regarder un jour un peu du film avec sa copine et une amie, mais je me sentais gêné et on rigolait dessus. Voilà.

[branleoubranleur]

c'était au collège, on avait 14 ans.
Mon voisin de cours de math avait souvent la main dans sa poche de jean qui était de mon coté et la remuait lentement... j'osais pas trop regarder, lui il fixait la prof...
Un jour il a surpris mon regard, un peu agressif , il m'a demandé ce que je regardais, j'ai rougi et baissé la tête...
Le lendemain, il a recommencé, puis m'a dit : "ben regarde si t'as envie" et là il a sorti la main de sa poche et j'ai vu son gland qui dépassait. J'étais un peu gêné alors il m'a dit : "j'ai fais un trou dans ma poche, je passa ma bite dedans c'est super bon, comme ça je peux me branler tranquille..."
Alors j'ai regardé à nouveau, il avait un très gros gland violacé qui sortait franchement de sa poche, et il s'amusait à tirer son prépuce dessus puis à se décalotter lentement....
Et là il m'a dit : "chiche : demain tu fais pareil, et tu passe ta bite dans la poche te ton jean , de mon coté!"
Je suis rentré chez moi le soir , j'ai pris une paire de ciseaux pour faire un bon trou, j'ai vérifié que ma bite passait bien...
Le lendemain en math, il m'attendait avec la gland qui dépassait déjà, il m'a demandé de lui montrer : j'ai sorti mon gland aussi, il m'a dit: "elle est grosse aussi ta bite !" et il a commencé à se branler... j'ai fais pareil... je me retenais car le voir faire des aller retour avec son prépuce sur son gland ça m'excitait... puis il m'a dit doucement : "je crois que je vais juter : regarde !" il a mis sa main sous l'extrémité de son gland, et 6 ou 7 jets épais sont venu s'écraser dans le creux de sa main... j'ai pas pu tenir et j'ai rempli ma poche de sauce !
on a recommencé pendant des semaines... et un jour il a pris ma main pour la poser sur sa bite en disant : "vas y, je sais que t'en meurs d'envie... Elle était douche et chaude, il a pris la mienne, on a juté très vite...
on a continué toute l'année scolaire...

[Georgio]

Bon j’y vais alors je raconte aussi … c’est la première fois que je le fais !
Ça a démarré à 15 ans, à l’internat.
J’ai été mis dans la piaule d’un gars de 18 ans … très bien dans peau, tres exib aussi (il se baladait en caleçon dans la chambre tout le temps…)
Le soir on parlait de cul (hétéro) et moi ça me faisait bander de fou donc je me branlait en silence, presque tous les soirs.
Un soir on est sur son lit et il on parle de couilles. Je lui dis que les miennes sont petites et que ça me saoule … lui le dit que les siennes sont énormes et il décide de me montrer.
Il baisse son jean et me montre la taille d’une de ses couille qu’il moule avec son caleçon. Son paquet est énorme et je bande à en faire peter mon slip, je pense qu’à ce moment là il voit mon emoi et moi je suis rouge comme une tomate…
Il me dit « un jour on va se branler » et moi je pense : putain mais oui oui !
On continue à parler de cul et il me dit la semaine prochaine je te rapporte une cassette de cul que j’adore … en le précisant : tu va voir le mec à un chibre énorme ! Ça m’avait mis dans un état d’excitation jamais égalé !
La semaine suivante il me donne la cassette que je m’empresse de visionner le week-end d’après. Je me rends compte qu’effectivement le mec a une queue énorme… mais qu’en plus il n’y a pas un mec, mais 2 !
Ma surprise est énorme et voir les deux queues se coller pour pénétrer me rend ouf et je me branle au moins 4/5 fois en une journée !! Les cassettes de de genre sont rares à l’époque…
Le lundi suivant au retour à l’internat on en parle. Il me demande si j’ai aimé et je lui dit : oh putain oui !
Le soir tard on discute sur son lit. Il me décrit avec une exactitude troublante la queue du mec qui a le chibre énorme et me dit qu’il rêverait d’avoir la même. Je lui demande s’il est bien membré et me dit : tu veux juger par toi même ?
Je fais mine de le laisser faire ce qu’il veut en priant pour qu’il déballe. Je n’ai encore jamais vu la queue d’un mec de près à l’époque. Il me dit : je te préviens moi à force de parler de cul je commence à bander … je lui que c’est pas grave, que moi aussi de toute façon. La il me dit si je montre tu montres ? Je dis oui.
Il déballe une très grosse et belle queue dont je me souviens encore.
Je devait être rouge d’envie et de désir.
Je déballe à mon tour, un peu honteux car pas aussi bien membré et surtout trempé de mouille.
On est face à face, la queue a l’air. Je me rends bien compte qu’il va se passer quelque chose.
Il fait le premier pas en commençant à se caresser et me dit : on se branle ?
Je réponds : si tu veux.
J’y vais très doucement parce que je sens que je suis déjà au bord de la jouissance.
J’arrose le sol de la chambre en moins d’une minute en frissonnant tellement c’est bon. Je le regarde s’agiter comme un fou sur sa queue en voyant mes jets de sperme sur le sol. Il jouit comme un fou, des quantités qui me paraissent énormes. Je file me coucher, un peu honteux et sans un mot.
Il se marre et je l’entends de mon box sortir des mouchoirs pour essuyer tout le sperme qui macule le sol de son box à lui.
Le Lendemain je file rapidement, toujours un peu honteux.
Le soir même je suis impatient de rentrer à la chambre. Je cache mon intérêt mais au fond de moi j’espère qu’on va remettre ça.
Je ne suis pas déçu. Il se pointe dans mon box dans la soirée alors que je bosse sur mon bureau. Il sort sa queue et fait l’hélicoptère pour me faire rire.
Je n’avais pas encore vu sa bite au repos. Elle est magnifique. Lourde. Épaisse et son prépuce est long. Je prends ma lampe de bureau pour éclairer en mode « projecteur » car il fait assez sombre. Ça le fait marrer et il me dit : comment tu trouves ?
Je lui dit que j’aimerais bien en avoir une aussi grosse. Il me dit vas y montre ? Je profite que je ne bande pas encore pour déballer vite fait et comme je suis déjà bien exité et que ma queue est déjà un peu plus grosse il me complimente sur sa taille et sur le fait que je suis circoncis et que ça change. Il lâche que c’est « excitant » de voir le gland apparaître au repos. Ça me fait tilt et je me dis qu’il doit quand même bien aimer la bite.
Mais je suis trop timide à l’époque pour tenter quoi que ce soit.
Alors j’invente des histoires souvent du genre « j’ai regardé un film de cul avec un pote ce week-end » pour lancer une concertation sur le sujet, qu’on se mette à parler de cul et ça devient un véritable rituel. On s’est branlé pendant toute une année, tous les soirs ou presque. On est jamais allé plus loin mais on a arrosé le sol ou des mouchoirs à n’en plus finir. On remplissait nos poubelles de mouchoirs odorants. Rien que d’y penser j’en bande encore très fort. C’était un vrai pote de branle …