par Onam84 »
Mar 9 Fév 2021 09:21
C’est à mon tour. Je me suis intéressé à la branlette assez tardivement, j’avais presque 12 ans. Avant cela j’étais curieux de l’anatomie des garçons et des filles mais sans plus. Mes parents étaient très pudiques, je ne les ai jamais vu nus. Par contre mon grand frère de deux ans mon ainé était un enfant très exhib au grand dam de mon père qui l’engueulait sans cesse. Il y avait quelque chose de comique. Il était provocateur, et adorait faire l’hélicoptère devant mon père lorsqu’il sortait de la douche pour engager une course poursuite qui nous faisait tous rires. J’avais l’habitude de voir sa bite depuis tout petit. J’aimais bien la regarder sans que je ne sache pourquoi.
Mais à 12 ans, tout a changé. Depuis mes 8 ans, j’aimais bien me frotter contre mes peluches jusqu’à avoir la tête qui tourne. Mais ce soir-là, j’ai eu ma première éjac. Je ne savais pas ce que c’était et j’ai cru que je m’étais pissé dessus. En tout cas, j’étais troublé. Les jours qui suivirent, je me suis rendu compte que non seulement j’avais des érections « intempestives » lorsque je regardais les filles ou lorsque je jetais un coup d’œil curieux sur mes voisins de pissotières. Mais surtout j’avais envie de recommencer. Je me « branlais » en me frottant contre mon coussin ou une grosse peluche qui était mon « amoureuse ». Mais mes pensées se tournaient de plus en plus sur mon frère et sa bite.
Il y avait entre nous une sorte de rivalité/complicité, il était parfois dur avec moi, faisait le chef, mais il était protecteur et je l’adorai. À l’aube de mes 13 ans, alors qu’il allait avoir 15 ans, je suis rentré dans sa chambre après que mes parents se soient couchés. Je l’espionnais souvent. Je faisais semblant d’aller aux toilettes, et, le cœur battant, et le stresse me faisant frissonner, j’allais devant sa porte et je regardais par le trou de la serrure. Il veillait tard, il y avait de la lumière jusqu’à 1 à 2 heures du matin. La plupart du temps je le distinguais en train de jouer aux jeux vidéo, mais un soir, mon cœur fit un bond lorsque je le vis en train de regarder un film porno. Le dossier de son siège de gamer m’empêchait de voir précisément ce qu’il faisait, mais il était nu, agitait son poignet et regardait un film avec des filles nues. Rien que de voir ça m’avait fait avoir une trique douloureuse. Je transpirais tellement j’étais excité et stressé, mais je n’avais pas osé entrer et j’étais retourné dans ma chambre. Cette nuit-là, je me suis frotté trois fois en pensant à mon frère.
Quelques semaines passèrent. Je ne savais pas pourquoi, mais ma curiosité se portait sur sa bite et je voulais la voir « de près ». Hélas, avec l’adolescence mon frère était devenu beaucoup plus pudique. Il n’y avait guère que lorsqu’il sortait de la douche pour rejoindre sa chambre qu’il se trimballait nu. Je m’arrangeais toujours pour être sur son chemin. Mon regard fixait invariablement sa belle bite poilue. Il ne pouvait pas ne pas le voir, mais ne disait rien. Parfois il restait nu un peu plus longtemps dans sa chambre (il s’habillait d’abord en commençant par le haut et en dernier le bas pour me laisser le regarder). Mais il y avait un non-dit. Je n’étais absolument pas discret, je matais, fasciné et obsédé par sa queue de taille normale, mais d’une beauté indicible.
Finalement, un soir je suis rentré dans sa chambre, le cœur à 100 à l’heure. C’était le bon soir. Je voulais le voir se branler. Il était sur son lit en train de jouer à un jeu sur son mobile, en caleçon large et torse nu. Je ne savais pas trop comment m’y prendre, mais, en y repensant, je sais maintenant que mon frère savait mes intentions. Je me suis d’abord collé à lui pour regarder sa partie, puis, commençant à bander, je me suis allongé sur le ventre, la tête proche de son caleçon. Je lui ai alors inventé une histoire comme quoi un garçon de ma classe m’avait parlé de branlette, mais que je ne savais pas ce que c’était. Mon frère se moqua copieusement de moi en me disant que "tous les mecs savent ce que c’est". C’est instinctif. Mais je fis mon naïf et je lui demandais de me montrer. Il ne répondit pas. Ce silence me plongea dans un vertige d’angoisse, mais ma pine en érection se frottait déjà sur son lit et mon excitation était trop forte. « Allez, tu me la montres… » dis-je en attrapant son caleçon pour le tirer vers le bas. Il me repoussa, me traita de PD, mais changea d’application. « Tu connais ? » il me montra un site porno avec des actrices en train de se faire baiser par deux blacks. Cela m’intéressa fortement. Je me redressai, pour me placer contre lui et regarder le film. Ma bite formait une bosse ultra visible, mais, pour mon plus grand bonheur, celle de mon frère forma aussi un beau chapiteau sous son caleçon. Il amena sa main jusqu’à l’intérieur de son sous-vêtement, le soulevant ce qui attira mon attention non pas sur le film, mais sur ses poils que je pouvais apercevoir. Je crus voir la base de sa bite en érection. Je n’en pouvais plus. J’avais l’impression que j’allais jouir sans même me toucher.
Finalement, il baissa son caleçon et me montra sa belle bite en érection, (17 cm je dirai, une belle courbe et une érection bien dure). Il commença à se branler tout doucement « c’est ça la branlette ». Je ne pouvais plus détacher le regard de sa bite, j’étais fasciné. Une apparition divine. Mes émotions et mes pulsions se mélangeaient dans un maelstrom et je me voyais déjà la lui toucher, voire peut-être la goûter comme le faisaient ces filles dans le film porno. « Tu sais gicler ? ». Je fis mine que non. « Je vais te montrer, mais rien qu’une fois et tu n’en parles pas aux parents sinon je te tue. »
J’aurais pu accepter n’importe quoi.
Finalement, il se branla avec énergie ; je me remis sur le ventre au niveau de son bassin, la tête la plus proche possible de sa bite. Je sentais l’odeur magnifique de son attirail de mâle... Un moment, alors que ma tête s’approchait de plus en plus mon frère s’arrêta. « Pas de truc de Pd hein ! Tu ne touches pas ! ». Il reprit, mais je n’étais plus que pulsion. J’approchai ma tête et la posa sur son bassin à quelques centimètres de sa bite que je regardais avec passion. Je n’osais pas faire plus, mais j’en mourais d’envie. Je me frottais frénétiquement contre le matelas. Un moment, je fis en sorte de baisser mon pantalon de pyjama pour avoir ma queue directement contre le matelas. Mon frère regarda mes fesses quelques instants et y posa une main, mais presque aussitôt il la retira et se reconcentra sur son film. Finalement je voyais une perle de liquide séminal sortir de son gland et l’humidifier. Il avait le souffle court et me dit subitement « tu peux me lécher les couilles si tu veux ». Aussitôt dit, aussitôt fait, je posai ma langue sur ses bourses et le goût de celles-ci me fit instantanément jouir. Je me souviens avoir ruiné son matelas. Lui-même éjacula sur son ventre en trois grosses giclées d’un foutre bien blanc. Il resta un moment inerte tandis que je continuais à lécher ses couilles et à monter ma langue vers la base de sa verge. Il passa un doigt sur la flaque de foutre et me le fit lécher. Je n’ai pas forcément aimé le goût, mais la situation m’excitait. Il retira son doigt « t’es dégueulasse ! Putain tu as joui sur mon lit ! T’es dégueulasse ! ». Je me relevai, mon frère regarda rapidement ma bite encore en érection, après quelques secondes, il fit une moue de dégoût puis me poussa hors de son lit. Il m’avait fait mal et je savais que c’était une parenthèse qui venait de se refermer. Après cette expérience, je me branlais tous les jours en pensant à lui et à des filles. Étrangement, les autres garçons ne m’intéressaient pas (jusqu’à l’âge adulte).
Je voulais recommencer avec mon frère et j’établis tout un stratagème pour revivre ce genre de moments avec lui.