par PPik »
Sam 11 Nov 2017 09:49
A l'école primaire, nous avions pris l'habitude, un très bon pote et moi de nous réunir le jeudi après-midi (c'était avant que le jour de congé passe au mercredi) pour faire nos devoir et jouer (train électrique extraordinaire chez lui, petits soldats et autres jouets chez moi..)
Nous allions donc un jeudi chez moi et le suivant chez lui. Cela a duré plusieurs années sans que nous pensions à autre chose qu'à jouer.
Et puis un jour, dans ma chambre, alors que nous jouions, il a soudainement ouvert sa braguette pour me montrer sa queue.
C'était la toute première fois que j'en voyais une et j'étais un peu effrayé car il était en semi-érection et beaucoup plus gros que moi. Ce premier jour, il s'est contenté de me la montrer, puis on s'est remis à nos jeux.
Le jeudi suivant, à peine réunis, il s'est empressé de sortir son braquemart, et cette fois il y imprimait de lents mouvement de va et vient et je voyais sa bite enfler de plus en plus. Moi, à l'époque, je me branlais surtout en me frottant contre mon matelas, couché sur le ventre et je n'avais jamais vraiment vu ma queue en érection. J'avais donc une image de mon sexe tout riquiqui et quand il m'a demandé de lui montrer ce que j'avais caché dans mon slip, j'ai eu peur de la comparaison. Heureusement, il n'a pas trop insisté ce jour là.
A la suite, chaque jeudi, c'était le même scenario ; avant de commencer quoique ce soit, il ouvrait sa braguette et m'exhibait son engin qu'il s'appliquait à faire durcir, sans aller toutefois jusque à la jouissance. Cela a duré 4 ou 5 jeudis, et moi j'étais toujours terrorisé de lui montrer ma toute petite queue... Cependant, je bandais aussi mais à l'abri de mon slip.
Et je vous avouerai que lorsque que je rentrais chez moi (ou qu'il rentrait chez lui) après ces séances, je me frottais avec frénésie contre mon matelas en pensant à son sexe...
Et puis un jour, nous étions assis autour de la table de sa salle à manger. Côte à côte, et une fois encore il a sorti sa superbe verge. J'étais tellement excité, que je me suis décidé à dégrafer mon pantalon. Je me moquais qu'elle paraisse ridiculement petite à côté de la sienne, je me moquais aussi de la présence de sa mère qui fourgonnait dans la cuisine pas loin.
Et à ce moment, quelle n'a pas été ma surprise de voir ma petite bistouquette toute fripée sortir de mon slip en un état de redressement que je n'avais jamais observé. Et du coup, elle avait pris une forme et une taille, certes plus petite que celle de mon camarade, mais finalement pas tant que cela...
Bien sûr, dès qu'il a vu mon sexe palpitant, il a posé une main délicate dessus, accroissant mon émoi et ma turgescence, et a commencé à me branler doucement. Du coup, moi, après une certaine hésitation (surtout causée par sa maman que j'entendais à côté) j'ai pris dans ma main son chibre et je l'ai senti palpiter contre ma paume un long moment avant de commencer à faire aller et venir sa peau irriguée d'énormes veines bleues...
Nous sommes resté ainsi quelques minutes, mais la position n'étant pas des plus confortables, il m'a dit de venir dans sa chambre et a prévenu sa mère que nous montions pour je ne sais plus quelle excuse.
Dans sa chambre, il a fermé la porte et a baissé mon pantalon et le sien. Nos deux queues étaient face à face, bandant assez dur. Et il a commencé à me masser la verge et mes boules de l'autre main. Je l'ai imité, et nous nous sommes conduit l'un l'autre vers une jouissance extraordinaire, bien que non suivie d'éjection de sperme (dont j'ignorais l’existence à l'époque)
L'habitude était prise, à partir de cette journée mémorable, chaque jeudi, nos jeux de petits soldats s'était transformés par l'unique désir de mettre l'autre au garde à vous. Au fil du temps nous avons pris nos aise. De la branle face à face, pantalons aux chevilles, nous sommes passés allongés sur nos lits, en chaussettes, puis tête-bêche. C'est dans cette position qu'un jour je lui ai demandé si je pouvais le sucer. Pour toute réponse, il a engouffré ma queue dans sa bouche et j'ai senti une sensation inconnue et divine s'emparer de mon bas-ventre. A partir de ce moment, le 69 à se sucer goulument était devenu une habitude.
Jusqu'au jour, plusieurs mois après, ou alors que je sentais palpiter son membre pour l'orgasme que je ne nommais pas mais dont j'avais appris à reconnaitre la venue, un épais liquide blanchâtre a envahi ma bouche. Bien entendu, j'ai immédiatement tout recraché et avons interrompu notre pompage, inquiets tous les deux (lui, plus que moi) de ce phénomène inconnu. Les semaines suivantes, nous les avons passé le nez dans les encyclopédies médicales pour chercher l'origine de cette manifestation. Je me souviens que nous étions vraiment inquiets. Durant deux ou trois jeudis, il n'osait plus se laisser branler (du moins à fond). Il préférait me sucer pendant que je jouait avec sa pauvre queue supposée malade.
Puis un jour, je ne sais plus lequel des deux a trouvé un article sur le sperme et son rôle dans la fécondation, ce qui nous a rassuré. Nous avons donc repris nos 69 sulfureux, jusqu'au jour, ou plusieurs mois après j'ai eu moi aussi ma première éjaculation...
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PPik le Sam 11 Nov 2017 11:19, modifié 1 fois.