artetmuse a écrit :Ado voir même un peu moins, je prenais le train très régulièrement seul, la joie d'avoir des parents divorcés.
Je me suis vu proposer assez fréquemment de regarder ou de toucher la bite de messieurs de tout âges.
J'avoue que les premières fois ça m'a assez fait flipper, puis il y a eu le premier d'une (longue) série, un peu plus de la vingtaine, qui a su aborder la chose de manière séduisante et rassurante.
Après avoir un peu parlé, je me suis laissé convaincre de le suivre discrètement aux toilettes, comme convenu au départ il a ouvert son pantalon, et son sexe de belle taille a jaillit.
Il a commencé à se caresser un peu, moi j'étais complètement absorbé par sa main qui allait et venait lentement sur sa queue.
Il m'a demandé si je voulais qu'on arrête, et un "non" timide est sorti de ma bouche comme par réflexe.
Il a sourit et continué, m'a rappelé qu'on arrêtait quand je voulais.
Je ne savais pas encore décrypter ce genre de chose mais son excitation montait très rapidement.
Il s'est arrêté, gardant son sexe en main, il a hésité un peu et m'a demandé si je voulais toucher ou montrer le mien.
Mes doigts se sont posés dessus, j'ai été surpris de la chaleur et de la raideur de son sexe, j'ai retiré ma main.
Il n'a pas insisté, m'a demandé si il pouvait continuer à se caresser.
Je regardais son gland se décalotter et luire, et ma main se reposer sur son sexe comme si j'étais spectateur.
Mes doigts se sont serrés un peu et imité maladroitement ses vas et viens.
Lui s'est laissé faire, m'a juste dit que c'était très bon, avant de poser sa main sur la mienne et me stopper.
Il a bafouillé, il m'a demandé si j'avais envie de faire comme lui avec une voix très gênée.
A cet instant, j'étais partagé, m'arrêter là ou continuer, je connaissais les plaisirs de la masturbation, mais ça me semblait comme un saut dans le vide.
Il y a eu un moment de flottement, il m'a demandé d'une toute petit voix si je pouvais le regarder finir.
Je sais pas ce qui a été le déclencheur, la déception dans dans sa voix la tristesse sur son visage qui semblait sincère.
L'instant d'après j'avais envie de lui donner ce plaisir, qu'il me touche.
j'ai ouvert mon pantalon, l'ai laissé tomber à mes chevilles avec mon slip.
J'ai saisi mon sexe, commencé à me branler, lui le regardait fixement, avec envie, ses yeux roulaient.
Ses doigts s'en sont approché tout doucement, je les ai regardés se poser, me frôler un peu partout avant de me caresser.
Nos regards se sont croisés, je crois qu'il cherchait une forme d'approbation qu'il trouva facilement quand je me remis à caresser son sexe.
Je sentais le plaisir m'envahir, sa queue palpiter sous mes doigts, nos excitations se conjuguer.
Quand je l'ai vu se pencher un peu et approcher son visage de mon sexe, je savais parfaitement ce qu'il allait faire.
Il m'a lentement poussé et fait choir sur l’abattant des toilettes, s'est penché sur moi et m'a fait découvrir la chaleur de sa bouche.
Je l'ai complètement laissé faire, j'étais envahi par les vagues de plaisir qu'il me donnait, jusqu'à l'ultime, qu'il a consommé.
Il m'a fallu une ou deux minutes pour reprendre pied.
Lui me remerciait, disait qu'il avait beaucoup aimé, commençait à se caresser de nouveau.
Je sais pas ce qui m'a pris, je l'ai caressé puis j'ai plié les genoux jusqu'à avoir son sexe au niveau du visage.
Je l'avais en main, son gland tout près de mes lèvres, j'ai donné quelques coups de langue timides, découvert son goût un peu iodé.
Il était totalement en suspend, j'ai ouvert un peu ma bouche et avancé mes lèvres sur son gland, tout son corps a tremblé.
Son sexe me paraissait encore plus énorme que quand il était entre mes doigts, ma bouche restait sur son gland, faisait un peu n'importe quoi.
Ses jambes tremblaient, Il soupirait des "oui comme ça ..."
Il a finit par lâcher un "je vais jouir si tu continues ..."
Là j'ai eu un grand moment de panique intérieur, j'ai passé toutes les options de ce qui allait arriver, toutes semblaient m'éclabousser à la fin.
Comme un nouveau réflexe, j'ai senti le fond de ma gorge se serrer, ma bouche l’accueillir un peu plus.
Il a gémit presque silencieusement, empli ma bouche tant que je sentais mes lèvres déborder.
J'ai avalé une première fois, contenu deux saccades encore, et avalé de nouveau.
Il a presque couiné la dernière, puis n'a cessé de me remercier.
On s'est rhabillés rapidement, quitté les toilettes, et retournés dans le wagon.
On a échangé quelques regards, on s'est dit au revoir au terminus,on ne s'est jamais revus.
Corruption de mineur et agression sexuelle, si je ne m'abuse ?