Ma 1ere branle avec un mec plus vieux
Parle de ton expérience sans aucun tabou.
Très belle expérience; merci de la partager !
wow très bandant merci
Très chouette histoire, j’espère pouvoir la refaire avec toi...
Mmmm .... Ça m'a rappelé de bons souvenirs ...
Ma première fois avec un mec vraiment plus âgé c'était en vacances d'été à Juan les pins, je passais quinze jours dans un petit hôtel en centre ville avec mon père et j'étais un peu loin de l'âge légal pour jouer avec un homme ...
Les débuts d'après midi étaient très chauds, et mon père préférait faire la sieste que d'aller à la plage, je restais donc deux bonnes heures livré à moi même.
il y avait une grande cour et des endroits pour se poser un peu partout, des tonnelles dont une qui était réservée pour jouer au ping-pong.
Je me suis vite rendu compte qu'en fait il y avait très peu de monde qui passait, encore moins qui restait.
Je passais donc les deux premiers jours à l'ombre d'une tonnelle avec mes BD.
Le troisième un homme que j'avais déjà aperçu me proposait une partie, j'acceptais, c'était un peu n'importe quoi vu notre niveau, mais on a bien rigolé.
J'avoue que très rapidement j'ai été subjugué par la taille du paquet qu'il avait dans son short, pour le reste c'était de l'ordre du normal, une bonne tête, un corps ni trop ni trop peu, une pilosité plutôt faible, il devait être en début ou milieu de trentaine.
On en restait là, on convenait juste de refaire une partie le lendemain.
J'étais à peine arrivé qu'il faisait son apparition, on faisait quelques parties aussi médiocres que la veille, puis une fois avoir bien transpiré on se posait sur un des bancs, je ne saurais dire de quoi on a parlé, des banalités, mais je ne pouvais détacher mon regard de son paquet.
Je ne me rappelle pas trop comment on est arrivé à ce qui suit, mais je me souviens lui avoir demander à voir, et avoir insisté un peu face à son hésitation.
Puis enfin il tirait l'élastique de son short, dévoilait un sexe massif, très peu poilu et au repos.
Il se montrait furtivement, puis un peu moins les deux fois suivantes.
Je me montrais à sa demande ensuite.
Il est devenu extrêmement intimidé après, on a reparlé un peu après puis on s'est quitté.
J'espérais bien le revoir le lendemain, mais je me disais que peut être après ça il m'éviterait.
Le lendemain mes espoirs étaient comblés, c'est lui qui attendait sous la tonnelle, on faisait nos quelques parties, mais ce que j'attendais surtout c'est le moment où on allait se poser.
Il était toujours aussi intimidé ensuite mais se prêtait à mes demandes, il restait suspendu quand il a vu mes doigts s'approcher de son sexe.
Sa tête tournait dans tous les sens de peur qu'on nous voit, je touchais du bout des doigts, effleurais, il se ravisait et remontait son short:
_" Non ... Pas là ..."
Je lui demandais où, lui hésitait plusieurs dizaine de secondes avant de me donner le numéro de sa chambre et de me demander d'attendre un peu avant de le rejoindre.
Ces cinq minutes m'ont semblé interminable.
Je toquais à sa porte, lui m'ouvrait quasi immédiatement, prenait soin de mettre le "ne pas déranger" sur la poignée et refermait.
Il y a eu un moment de flottement où on est resté silencieux tous les deux, puis il m'a proposé de s’asseoir sur le bord de son lit.
Il a posé plein de questions, si j'avais soif, ce que je comptais faire, si je voulais encore le toucher ...
Je retirais mon tshirt, puis baissais mon short et mon slip.
Sans plus parler il faisait de même, cette fois mes doigts s'enroulaient sur son sexe, c'était énorme, chaud, lui enflait à vue d'oeil, s'érigeait.
Même après toutes ces années j'ai encore l'image de son sexe qui se décalotte et dévoile en partie son gland lubrifié et luisant.
Et le sentiment de pouvoir que j'avais sur lui à ce moment là.
Il a chuchoté que ce qu'on faisait c'était pas bien, J'ai répondu que j'en avais envie et qu'il pouvait me toucher aussi.
C'était pas le premier sexe que j'avais en main, ou ailleurs, mais jamais un sexe aussi imposant, j'avais déjà expérimenté beaucoup de choses avec deux garçons de mon âge.
Il finissait par basculer, on se replaçait au milieu de son lit.
Il était énorme, je n'en faisais pas le tour, je le branlais lentement, ne pouvais détacher mes yeux de son gland.
Lui exprimait discrètement le plaisir qu'il prenait, moi j'étais presque frustré qu'il ne me touche pas.
Je me collais à lui et posais ma tête sur le haut de son ventre, je pouvais sentir chaque contraction de son corps, sa respiration s'approfondir et devenir irrégulière.
J'approchais inexorablement mon visage, je voulais sentir son gland sur mes lèvres, y ouvrir ma bouche.
Il éclatait sans signe avant coureur.
J'étais surpris quand il me giclait, encore plus ensuite de la quantité qu'il me délivrait en trois giclées lourdes et épaisses.
Il se confondait en excuses alors que je le branlais lentement et entourait son gland avec mes lèvres.
Il me comblait presque la bouche rien qu'avec son gland, mais se taisait et me laissait l'apprivoiser.
Moi j'avais déjà envie de savoir ce que me ferait une queue aussi énorme juste calée entre mes fesses, et surtout envie qu'il me caresse aussi.
Il n'était pas gay ça c'est sûr, il a presque fallu que je le supplie pour qu'il me caresse, par contre une fois parti, j'avoue qu'il a tout fait pour que je prenne un maximum de plaisir, il se laissait même aller à me caresser un peu partout, jouer avec mes pointes, les embrasser.
Il me gouttait même rapidement, j'étais aux anges, je frissonnais de plaisir, s'il avait su à ce moment comment j'avais envie de lui, à quelle point j'avais envie de me sentir m'ouvrir sur son gland.
J'ai quand même pris un sacré pied.
L'après c'était un peu compliqué, l'heure avait bien tourné, je faisais un bon brin de toilette à son lavabo, puis je le quittais.
Le lendemain j'ai tellement attendu que je commençais à penser que je ne le reverrai pas, il est arrivé un bon quart d'heure après moi, s'excusait.
Vu la belle demie molle qui se dessinait sous son short c'était pas au ping-pong qu'il avait envie de jouer; je le tenais.
Je chuchotais que je le rejoignais.
Après être entré dans sa chambre ça a été plus direct, on s'est déshabillé, je l'ai presque sucé d'emblée, cette fois ses mains papillonnaient sur ma peau et il se laissait aller à me dire que c'était bon.
Il me demandait d'arrêter, commençait à me branler avec douceur, puis me suçait, cette fois avec une certaine assurance qui me faisait frissonner jusque entre les fesses.
C'était au delà de la pulsion, je le faisais stopper, le prenais en bouche du plus que je pouvais, lui laissait échapper un râle.
Je le recrachais, et le chevauchais son ventre quasi instantanément, Je reculais lentement en guidant son sexe entre mes fesses, soupirais que j'avais envie de lui.
C'était ... Au delà de ce que je m'attendais ... Énorme.
Je me branlais littéralement le petit trou, me pressais comme pour m'empaler, je me sentais m'ouvrir sur son gland sans pourvoir l’accueillir totalement, j'étais dans un mélange de douleur et de plaisir, et une envie irrépréhensible de le sentir me prendre.
Il ne bougeait pas, se contentait juste de garder ses mains sur mes hanches, seul le trahissait sa respiration qui s"accélérait.
J'étais au bord de l'orgasme, tout comme lui, il n'y avait plus que ça qui comptait.
Je me cambrais, me pressais une ultime fois, mon petit trou cédait et s'ouvrait totalement sur son gland, j'y étais, j'avais mon orgasme qui commençait à m'irradier les reins, son gland brûlant planté en moi.
Lui retenait un râle et jouissait, me remplissait en lâchant un petit coup de rein et finissait en éclatant entre mes fesses.
J'atteignais le sommet de mon orgasme, me déversais sur son ventre.
On a remis ça chaque après midi du reste de mes vacances, et de manière de plus en plus intense ...
Ma première fois avec un mec vraiment plus âgé c'était en vacances d'été à Juan les pins, je passais quinze jours dans un petit hôtel en centre ville avec mon père et j'étais un peu loin de l'âge légal pour jouer avec un homme ...
Les débuts d'après midi étaient très chauds, et mon père préférait faire la sieste que d'aller à la plage, je restais donc deux bonnes heures livré à moi même.
il y avait une grande cour et des endroits pour se poser un peu partout, des tonnelles dont une qui était réservée pour jouer au ping-pong.
Je me suis vite rendu compte qu'en fait il y avait très peu de monde qui passait, encore moins qui restait.
Je passais donc les deux premiers jours à l'ombre d'une tonnelle avec mes BD.
Le troisième un homme que j'avais déjà aperçu me proposait une partie, j'acceptais, c'était un peu n'importe quoi vu notre niveau, mais on a bien rigolé.
J'avoue que très rapidement j'ai été subjugué par la taille du paquet qu'il avait dans son short, pour le reste c'était de l'ordre du normal, une bonne tête, un corps ni trop ni trop peu, une pilosité plutôt faible, il devait être en début ou milieu de trentaine.
On en restait là, on convenait juste de refaire une partie le lendemain.
J'étais à peine arrivé qu'il faisait son apparition, on faisait quelques parties aussi médiocres que la veille, puis une fois avoir bien transpiré on se posait sur un des bancs, je ne saurais dire de quoi on a parlé, des banalités, mais je ne pouvais détacher mon regard de son paquet.
Je ne me rappelle pas trop comment on est arrivé à ce qui suit, mais je me souviens lui avoir demander à voir, et avoir insisté un peu face à son hésitation.
Puis enfin il tirait l'élastique de son short, dévoilait un sexe massif, très peu poilu et au repos.
Il se montrait furtivement, puis un peu moins les deux fois suivantes.
Je me montrais à sa demande ensuite.
Il est devenu extrêmement intimidé après, on a reparlé un peu après puis on s'est quitté.
J'espérais bien le revoir le lendemain, mais je me disais que peut être après ça il m'éviterait.
Le lendemain mes espoirs étaient comblés, c'est lui qui attendait sous la tonnelle, on faisait nos quelques parties, mais ce que j'attendais surtout c'est le moment où on allait se poser.
Il était toujours aussi intimidé ensuite mais se prêtait à mes demandes, il restait suspendu quand il a vu mes doigts s'approcher de son sexe.
Sa tête tournait dans tous les sens de peur qu'on nous voit, je touchais du bout des doigts, effleurais, il se ravisait et remontait son short:
_" Non ... Pas là ..."
Je lui demandais où, lui hésitait plusieurs dizaine de secondes avant de me donner le numéro de sa chambre et de me demander d'attendre un peu avant de le rejoindre.
Ces cinq minutes m'ont semblé interminable.
Je toquais à sa porte, lui m'ouvrait quasi immédiatement, prenait soin de mettre le "ne pas déranger" sur la poignée et refermait.
Il y a eu un moment de flottement où on est resté silencieux tous les deux, puis il m'a proposé de s’asseoir sur le bord de son lit.
Il a posé plein de questions, si j'avais soif, ce que je comptais faire, si je voulais encore le toucher ...
Je retirais mon tshirt, puis baissais mon short et mon slip.
Sans plus parler il faisait de même, cette fois mes doigts s'enroulaient sur son sexe, c'était énorme, chaud, lui enflait à vue d'oeil, s'érigeait.
Même après toutes ces années j'ai encore l'image de son sexe qui se décalotte et dévoile en partie son gland lubrifié et luisant.
Et le sentiment de pouvoir que j'avais sur lui à ce moment là.
Il a chuchoté que ce qu'on faisait c'était pas bien, J'ai répondu que j'en avais envie et qu'il pouvait me toucher aussi.
C'était pas le premier sexe que j'avais en main, ou ailleurs, mais jamais un sexe aussi imposant, j'avais déjà expérimenté beaucoup de choses avec deux garçons de mon âge.
Il finissait par basculer, on se replaçait au milieu de son lit.
Il était énorme, je n'en faisais pas le tour, je le branlais lentement, ne pouvais détacher mes yeux de son gland.
Lui exprimait discrètement le plaisir qu'il prenait, moi j'étais presque frustré qu'il ne me touche pas.
Je me collais à lui et posais ma tête sur le haut de son ventre, je pouvais sentir chaque contraction de son corps, sa respiration s'approfondir et devenir irrégulière.
J'approchais inexorablement mon visage, je voulais sentir son gland sur mes lèvres, y ouvrir ma bouche.
Il éclatait sans signe avant coureur.
J'étais surpris quand il me giclait, encore plus ensuite de la quantité qu'il me délivrait en trois giclées lourdes et épaisses.
Il se confondait en excuses alors que je le branlais lentement et entourait son gland avec mes lèvres.
Il me comblait presque la bouche rien qu'avec son gland, mais se taisait et me laissait l'apprivoiser.
Moi j'avais déjà envie de savoir ce que me ferait une queue aussi énorme juste calée entre mes fesses, et surtout envie qu'il me caresse aussi.
Il n'était pas gay ça c'est sûr, il a presque fallu que je le supplie pour qu'il me caresse, par contre une fois parti, j'avoue qu'il a tout fait pour que je prenne un maximum de plaisir, il se laissait même aller à me caresser un peu partout, jouer avec mes pointes, les embrasser.
Il me gouttait même rapidement, j'étais aux anges, je frissonnais de plaisir, s'il avait su à ce moment comment j'avais envie de lui, à quelle point j'avais envie de me sentir m'ouvrir sur son gland.
J'ai quand même pris un sacré pied.
L'après c'était un peu compliqué, l'heure avait bien tourné, je faisais un bon brin de toilette à son lavabo, puis je le quittais.
Le lendemain j'ai tellement attendu que je commençais à penser que je ne le reverrai pas, il est arrivé un bon quart d'heure après moi, s'excusait.
Vu la belle demie molle qui se dessinait sous son short c'était pas au ping-pong qu'il avait envie de jouer; je le tenais.
Je chuchotais que je le rejoignais.
Après être entré dans sa chambre ça a été plus direct, on s'est déshabillé, je l'ai presque sucé d'emblée, cette fois ses mains papillonnaient sur ma peau et il se laissait aller à me dire que c'était bon.
Il me demandait d'arrêter, commençait à me branler avec douceur, puis me suçait, cette fois avec une certaine assurance qui me faisait frissonner jusque entre les fesses.
C'était au delà de la pulsion, je le faisais stopper, le prenais en bouche du plus que je pouvais, lui laissait échapper un râle.
Je le recrachais, et le chevauchais son ventre quasi instantanément, Je reculais lentement en guidant son sexe entre mes fesses, soupirais que j'avais envie de lui.
C'était ... Au delà de ce que je m'attendais ... Énorme.
Je me branlais littéralement le petit trou, me pressais comme pour m'empaler, je me sentais m'ouvrir sur son gland sans pourvoir l’accueillir totalement, j'étais dans un mélange de douleur et de plaisir, et une envie irrépréhensible de le sentir me prendre.
Il ne bougeait pas, se contentait juste de garder ses mains sur mes hanches, seul le trahissait sa respiration qui s"accélérait.
J'étais au bord de l'orgasme, tout comme lui, il n'y avait plus que ça qui comptait.
Je me cambrais, me pressais une ultime fois, mon petit trou cédait et s'ouvrait totalement sur son gland, j'y étais, j'avais mon orgasme qui commençait à m'irradier les reins, son gland brûlant planté en moi.
Lui retenait un râle et jouissait, me remplissait en lâchant un petit coup de rein et finissait en éclatant entre mes fesses.
J'atteignais le sommet de mon orgasme, me déversais sur son ventre.
On a remis ça chaque après midi du reste de mes vacances, et de manière de plus en plus intense ...
artetmuse a écrit :Mmmm .... Ça m'a rappelé de bons souvenirs ...
(...)
On a remis ça chaque après midi du reste de mes vacances, et de manière de plus en plus intense ...
Beau récit excitant !
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