Depuis mon plus jeune âge, j'avais comme voisin de palier un garçon, de deux ans mon aîné et fils unique comme moi. Nous nous faisions office, l'un pour l'autre, du frère que nos parents ne nous avez pas donnés.
Moi j'étais en admiration devant lui et lui, jouait de cette supériorité d'âge pour me dominer.
Je devait avoir onze ans, quand il me demanda, en palpant le paquet que cachait son caleçon, si je voulais voir sa bite. Bien sûr que je le voulais, je venai de rentrer au collège et commençai à être titillé par l'entrejambe de mes camarades que je mattai discrètement dans les vestiaires. Il ne se fit pas prier et se descendit le caleçon sur les cuisses.
J'étais impressionné, ce qu'il m'exhibait était bien différent de ce que j'avai dans la culotte, je ressemblai encore à un petit garçon, il avait déjà un sexe d'homme entouré d'une petite moustache de poils noirs.
Il m'invita à toucher, ce que je fit puis me demanda de baisser mes pantalon et slip à mon tour. J'étais gêné mais, comme à mon habitude, j'obeisai et je devoilai un petit zizi imberbe mais raide comme une trique.
Il ne s'attarda pas trop sur mon anatomie et guidant ma main, il me fit le branler, d'entendre ses gémissements m'exiter terriblement même si au fond de moi je me disai que c'était mal ce que nous étions en train de faire.
Pendant que je le carressai il me chevauchait et frottait ses fesses contre ma queue, Je ne mis pas longtemps à recevoir son foutre en giclées puissantes sur le ventre. C'était la première fois que je voyais du sperme.
Honteux...mais tellement envie.
Parle de ton expérience sans aucun tabou.
Belle histoire bien excitante de découverte entre ados 
Exhib35RN a écrit :Depuis mon plus jeune âge, j'avais comme voisin de palier un garçon, de deux ans mon aîné et fils unique comme moi. Nous nous faisions office, l'un pour l'autre, du frère que nos parents ne nous avez pas donnés.
Moi j'étais en admiration devant lui et lui, jouait de cette supériorité d'âge pour me dominer.
Je devait avoir onze ans, quand il me demanda, en palpant le paquet que cachait son caleçon, si je voulais voir sa bite. Bien sûr que je le voulais, je venai de rentrer au collège et commençai à être titillé par l'entrejambe de mes camarades que je mattai discrètement dans les vestiaires. Il ne se fit pas prier et se descendit le caleçon sur les cuisses.
J'étais impressionné, ce qu'il m'exhibait était bien différent de ce que j'avai dans la culotte, je ressemblai encore à un petit garçon, il avait déjà un sexe d'homme entouré d'une petite moustache de poils noirs.
Il m'invita à toucher, ce que je fit puis me demanda de baisser mes pantalon et slip à mon tour. J'étais gêné mais, comme à mon habitude, j'obeisai et je devoilai un petit zizi imberbe mais raide comme une trique.
Il ne s'attarda pas trop sur mon anatomie et guidant ma main, il me fit le branler, d'entendre ses gémissements m'exiter terriblement même si au fond de moi je me disai que c'était mal ce que nous étions en train de faire.
Pendant que je le carressai il me chevauchait et frottait ses fesses contre ma queue, Je ne mis pas longtemps à recevoir son foutre en giclées puissantes sur le ventre. C'était la première fois que je voyais du sperme.
Pourquoi honteux ?
Tu as aimé ?
Tu as été forcé ?
Trop bon entre ado de se caresser, branlette mutuelle
Oui, j'aimais, mais ce désir de garçon me faisait peur, à onze ans on aspire à la normalité.
Exhib35RN a écrit :Oui, j'aimais, mais ce désir de garçon me faisait peur, à onze ans on aspire à la normalité.
Ok, je comprends mieux cette notion de honte, par rapport au regard de la société hétéronormé.
Moi, même, mes premières attirance date de mes 17 ans environ, et je n'ai osé, je ne me suis permis de vivre mes attirances qu'à 29 ans.
Je comprends donc d'autant mieux cette peur, cette honte.
Mais une fois qu'on s'est un peu émancipé de cette société, on se rend compte qu'on est plus heureux, plus libre, plus nous-même.
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