Ma première branle double au bled
Posté : Dim 25 Mai 2025 14:04
*Histoire vraie*
Encouragé par vos messages sympas, je continue les confidences
Haythem c’est l’homme à tout faire du quartier. Même moi, qui pourtant ne viens en Algérie que les étés, je le connais.
Venu de Tunisie après la crise liée a la révolution, il est considéré comme l’enfant de tout le monde : les femmes se relayaient pour lui faire à manger, les familles l’invitent souvent, on lui donne du travail chez les gens, les enfants passent le saluer de retour d’école.
L’hospitalité algérienne n’a pas beaucoup de limite en général, ce qui fait qu’il est assez gaté, mais quand il s’agit du mariage.... c’est une autre histoire. Résultat, réflexe nationaliste débile, personne ne veut se marier avec le Tunisien, du coup Haythem, trop pauvre pour voyager et obligé de travailler tous les jours, reste célibataire. En tout cas, c’etait la version que ma famille m’a sortie.
***
Haythem est passé chez nous le vendredi, jour religieux pendant lequel tout le monde se deplace chez tel ou tel membre de la famille. J’etais le seul jeune homme qui n’avait pas de voiture, resultat je restais seul dans la maison familiale, ce qui arrangeait tout le monde, moi le 1er.
Haythem devait passer réparer le nouveau lave-vaisselle. Pendant que je le guidais vers la cuisine, on commençait à discuter. Je devais constamment rester avec lui pour tenir un tuyau et lui lire la notice, vu qu’il avait les mains mouillées. N’étant pas arabophone de naissance, j’avais du mal a comprendre l’arabe tunisien, ce qui fait qu’Haythem devait systématiquement me faire face pour m’expliquer un mot que je ne comprenais pas. Et il était... très mignon : petit ourson poilu, petit bidou qui lui donnait du charme de patriarche, grosses lèvres bien roses, yeux clairs avec une petite coupe courte cachée par une casquette. Il avait une tenue de foot ce qui mettait en avant son torse poilu et le short laissait deviner de grosses fesses et surtout.. très commun au Maghreb, de très grosses couilles. Il était assez petit, ce qui expliquait peut être son manque de succès avec les femmes, et surtout, il sentait toujours fort la transpiration. Aucun de ces "défauts" ne me gênait vraiment, et je le trouvais plutôt sympathique. Il remets plusieurs fois son paquet en place et je vois qu’a force de se cambrer, son short se baisse. Il rigole et me dit "j’espère que tu rates pas mon "?" le "?" n’étant pas clair, je ne rigolais pas. Il finit par me faire face en me souriant : il me mimait une paire de seins. Je compris qu’il voulait dire décolleté. Ne comprenant pas la blague, il souriait et se cambra en me montrant sa raie du doigt. Je souris et il explosa de rire. Je lui dis qu’il avait un décolleté généreux, il baisse un peu son short et rigola en me balançant : 95D.
On rigola un bon coup, il me fit un clin d’œil et après une heure on alla au tuyau d’arrosage : la douche extérieure. Il me rinçait, je le rincais et je lui apportait une serviette près du seche linge pour qu’il enleve ses vêtements et les laisse sécher. On remontait en serviette au salon et on se posa chacun sur un canapé en soufflant. En me relevant trop vite pour me servir de l’eau ma serviette tomba, et on vit mes fesses.
Oh, 95D aussi rigola Haythem.
Je lui souris et je lui servi de l’eau.
Haythem : tu dois en voir des décolletés en Europe non ?
Moi : oui de temps en temps, mais toutes les filles n’ont pas un 95D.
Haythem rigola, se leva, me tourna le dos et me dis : vous en France, vous dites top-less non ? Et il enleva sa serviette pour mimer des seins nus avec ses fesses, en rigolant.
Je rigolais avec lui : oui topless haha
Haythem : wow la chance, ça m’excite, au soleil avec l’ambiance de la plage., me dit-il pendant qu’il se mettait sur le ventre, fesses a l’air. Je le regardais surpris.
Haythem : oui je reste a l’air libre parce que je transpire vite quand j’ai un vetement autour de moi, je fais salir la serviette avec ma sueur.
Je le regarde en rigolant : donc tu vis nu chez toi ?
Haythem : oui tout le temps, sinon a cause de mes poils, je transpire très vite et je sens fort. Mais je ne fais ça que devant toi, parce que tu es européen et cool.
Moi : comment ça européen ? Dis-je en souriant
Haythem : tu es le seul qui reste discuter avec moi, et j’ai vu que je peux parler de filles tranquillement, tu ne dis rien. Tes cousins par exemple, ils me font peur haha.
Moi : Oui je suis cool, je m’en fiche, j’aime bien passer le temps au bled, on s’ennuit tellement.
Haythem : moi c’est comme ça toute l’année, une fois par an je vais en Tunisie, j’en profite : un peu de cannabis, les copains, et le "?"
Moi : le quoi ?
Haythem : quand les femmes sont sur une table ou dans une piscine nues. Et il me mime un twerk avec ses fesses en rigolant.
Moi : c’est toi la danseuse avec tes fesses.
Haythem rigole et imite une fille qui s’exhibe et gemit.
Je rigole parce que son gemissement est ridicule et je le lui dis.
Il me regarde avec un air de defi et se met sur ses mains en levant son buste : je sais gémir quand un mec.
Et il me mime une baise et il gemit avec sa grosse voix sexy. Je le regarde en bavant presque.
Haythem : et toi comment tu fais ?
Je l’imite et me mets a mimer un missionnaire et... sans s’en rendre compte, on s’excite mutuellement en se regardant. Au bout d’un quart d’heure, il change de position et utilise sa serviette en boule en guise de sextoy et mime une baise en étant assis les jambes écartées. Je regarde ses grosses couilles pendantes et poilues claquer contre une paroi en bois du canapé. Je le regarde en souriant et on amplifie nos gemissements et nos insultes (oui je devais quand même jouer l’hetero...).
Alors qu’il voulait imiter un doggystyle, il pousse un cri de douleur. Je le regarde et il semble avoir mal au pubis .
Haythem : j’ai un poil qui s’est noué dans la serviette ! Haha
Il finit par jeter la serviette et je vois une bite de taille moyenne, super épaisse et un pubis poilu.
Moi : ça va, arrête de rougir. Finis à la main, on est entre homme.
Haythem : oui mais je t’ai montré ma hawra (zone intime dans la religion), dit-il penaud.
Moi : tiens voilà la mienne, on est freres maintenant, dis je en m’exhibant.
Il me sourit : maintenant on s’est tout montré, on est lié haha. On peut même se faire une fille ensemble.
Moi : ah oui, comment ?
Haythem : regarde, moi je me fais sucer et toi tu la niques.
On se remet a se branler, au sol, l’un en face de l’autre.
Haythem : vasy allonge la fille et imagine qu’elle me suce en même temps.
Je le regarde longtemps, ça fait quand même une heure qu’on est nus a se branler sans aucune pudeur.
Moi : dis moi, pour un petit célibataire du bled, tu connais bien les positions haha.
Haythem : oui, avec le porno je suis expert haha.
Moi : et t’as tout fait ?
Haythem : non, je veux essayer double, comme ça.
Et il prend ma bite et la colle à la sienne et nous branle : nous deux dans une grosse chatte, dit-il avec un air pervers.
Je me mets a gémir et je le regarde en trans. À ce moment, impossible de savoir s’il a compris que j’etais gay, qu’il me plaisait, si lui était devenu bizarre ou quoi, mais sans que ça s’explique, un silence s’installe et il poursuit sa branle en me fixant, teub contre teub, transformant notre jeu en autre chose, de plus intense. On gémit tous les deux, et cette fois personne ne rigole. On se rapproche et nos bites sont poisseuses l’une contre l’autre pendant qu’il continue a nous branler. Je sens son gland humide presser le mien, et je gémis d’extase : c’est un moment de branle incroyable. Je finis par gémir de façon aiguë, et j’explose 5 jets qui volent dans les airs et souillent ses mains. Je saisis ses mains pour pas qu’il s’arrete, et sans aucune gêne, je le rejoins dans notre branle commune, et au bout de 10 longues minutes, durant lesquelles je reste dur, il finit par hurler avant de se couvrir le torse de sperme blanc, très épais. Un silence s’installe. Je vais chercher des serviettes en papier, on se nettoit, on va cherche une fiole de fleur d’oranger et on asperge rapidement le sol avant de se remettre en serviette dans nos canapés respectifs.
Il me sourit et me fait un clin d’œil et allume une cigarette laissée près de la table : comme dans les films européens, dit-il en souriant.
Rassuré, je rigole bêtement et lui aussi.
On sort reprendre nos tenues, devenues sèches au soleil et il s’en va en me faisant la bise.
Encouragé par vos messages sympas, je continue les confidences

Haythem c’est l’homme à tout faire du quartier. Même moi, qui pourtant ne viens en Algérie que les étés, je le connais.
Venu de Tunisie après la crise liée a la révolution, il est considéré comme l’enfant de tout le monde : les femmes se relayaient pour lui faire à manger, les familles l’invitent souvent, on lui donne du travail chez les gens, les enfants passent le saluer de retour d’école.
L’hospitalité algérienne n’a pas beaucoup de limite en général, ce qui fait qu’il est assez gaté, mais quand il s’agit du mariage.... c’est une autre histoire. Résultat, réflexe nationaliste débile, personne ne veut se marier avec le Tunisien, du coup Haythem, trop pauvre pour voyager et obligé de travailler tous les jours, reste célibataire. En tout cas, c’etait la version que ma famille m’a sortie.
***
Haythem est passé chez nous le vendredi, jour religieux pendant lequel tout le monde se deplace chez tel ou tel membre de la famille. J’etais le seul jeune homme qui n’avait pas de voiture, resultat je restais seul dans la maison familiale, ce qui arrangeait tout le monde, moi le 1er.
Haythem devait passer réparer le nouveau lave-vaisselle. Pendant que je le guidais vers la cuisine, on commençait à discuter. Je devais constamment rester avec lui pour tenir un tuyau et lui lire la notice, vu qu’il avait les mains mouillées. N’étant pas arabophone de naissance, j’avais du mal a comprendre l’arabe tunisien, ce qui fait qu’Haythem devait systématiquement me faire face pour m’expliquer un mot que je ne comprenais pas. Et il était... très mignon : petit ourson poilu, petit bidou qui lui donnait du charme de patriarche, grosses lèvres bien roses, yeux clairs avec une petite coupe courte cachée par une casquette. Il avait une tenue de foot ce qui mettait en avant son torse poilu et le short laissait deviner de grosses fesses et surtout.. très commun au Maghreb, de très grosses couilles. Il était assez petit, ce qui expliquait peut être son manque de succès avec les femmes, et surtout, il sentait toujours fort la transpiration. Aucun de ces "défauts" ne me gênait vraiment, et je le trouvais plutôt sympathique. Il remets plusieurs fois son paquet en place et je vois qu’a force de se cambrer, son short se baisse. Il rigole et me dit "j’espère que tu rates pas mon "?" le "?" n’étant pas clair, je ne rigolais pas. Il finit par me faire face en me souriant : il me mimait une paire de seins. Je compris qu’il voulait dire décolleté. Ne comprenant pas la blague, il souriait et se cambra en me montrant sa raie du doigt. Je souris et il explosa de rire. Je lui dis qu’il avait un décolleté généreux, il baisse un peu son short et rigola en me balançant : 95D.
On rigola un bon coup, il me fit un clin d’œil et après une heure on alla au tuyau d’arrosage : la douche extérieure. Il me rinçait, je le rincais et je lui apportait une serviette près du seche linge pour qu’il enleve ses vêtements et les laisse sécher. On remontait en serviette au salon et on se posa chacun sur un canapé en soufflant. En me relevant trop vite pour me servir de l’eau ma serviette tomba, et on vit mes fesses.
Oh, 95D aussi rigola Haythem.
Je lui souris et je lui servi de l’eau.
Haythem : tu dois en voir des décolletés en Europe non ?
Moi : oui de temps en temps, mais toutes les filles n’ont pas un 95D.
Haythem rigola, se leva, me tourna le dos et me dis : vous en France, vous dites top-less non ? Et il enleva sa serviette pour mimer des seins nus avec ses fesses, en rigolant.
Je rigolais avec lui : oui topless haha
Haythem : wow la chance, ça m’excite, au soleil avec l’ambiance de la plage., me dit-il pendant qu’il se mettait sur le ventre, fesses a l’air. Je le regardais surpris.
Haythem : oui je reste a l’air libre parce que je transpire vite quand j’ai un vetement autour de moi, je fais salir la serviette avec ma sueur.
Je le regarde en rigolant : donc tu vis nu chez toi ?
Haythem : oui tout le temps, sinon a cause de mes poils, je transpire très vite et je sens fort. Mais je ne fais ça que devant toi, parce que tu es européen et cool.
Moi : comment ça européen ? Dis-je en souriant
Haythem : tu es le seul qui reste discuter avec moi, et j’ai vu que je peux parler de filles tranquillement, tu ne dis rien. Tes cousins par exemple, ils me font peur haha.
Moi : Oui je suis cool, je m’en fiche, j’aime bien passer le temps au bled, on s’ennuit tellement.
Haythem : moi c’est comme ça toute l’année, une fois par an je vais en Tunisie, j’en profite : un peu de cannabis, les copains, et le "?"
Moi : le quoi ?
Haythem : quand les femmes sont sur une table ou dans une piscine nues. Et il me mime un twerk avec ses fesses en rigolant.
Moi : c’est toi la danseuse avec tes fesses.
Haythem rigole et imite une fille qui s’exhibe et gemit.
Je rigole parce que son gemissement est ridicule et je le lui dis.
Il me regarde avec un air de defi et se met sur ses mains en levant son buste : je sais gémir quand un mec.
Et il me mime une baise et il gemit avec sa grosse voix sexy. Je le regarde en bavant presque.
Haythem : et toi comment tu fais ?
Je l’imite et me mets a mimer un missionnaire et... sans s’en rendre compte, on s’excite mutuellement en se regardant. Au bout d’un quart d’heure, il change de position et utilise sa serviette en boule en guise de sextoy et mime une baise en étant assis les jambes écartées. Je regarde ses grosses couilles pendantes et poilues claquer contre une paroi en bois du canapé. Je le regarde en souriant et on amplifie nos gemissements et nos insultes (oui je devais quand même jouer l’hetero...).
Alors qu’il voulait imiter un doggystyle, il pousse un cri de douleur. Je le regarde et il semble avoir mal au pubis .
Haythem : j’ai un poil qui s’est noué dans la serviette ! Haha
Il finit par jeter la serviette et je vois une bite de taille moyenne, super épaisse et un pubis poilu.
Moi : ça va, arrête de rougir. Finis à la main, on est entre homme.
Haythem : oui mais je t’ai montré ma hawra (zone intime dans la religion), dit-il penaud.
Moi : tiens voilà la mienne, on est freres maintenant, dis je en m’exhibant.
Il me sourit : maintenant on s’est tout montré, on est lié haha. On peut même se faire une fille ensemble.
Moi : ah oui, comment ?
Haythem : regarde, moi je me fais sucer et toi tu la niques.
On se remet a se branler, au sol, l’un en face de l’autre.
Haythem : vasy allonge la fille et imagine qu’elle me suce en même temps.
Je le regarde longtemps, ça fait quand même une heure qu’on est nus a se branler sans aucune pudeur.
Moi : dis moi, pour un petit célibataire du bled, tu connais bien les positions haha.
Haythem : oui, avec le porno je suis expert haha.
Moi : et t’as tout fait ?
Haythem : non, je veux essayer double, comme ça.
Et il prend ma bite et la colle à la sienne et nous branle : nous deux dans une grosse chatte, dit-il avec un air pervers.
Je me mets a gémir et je le regarde en trans. À ce moment, impossible de savoir s’il a compris que j’etais gay, qu’il me plaisait, si lui était devenu bizarre ou quoi, mais sans que ça s’explique, un silence s’installe et il poursuit sa branle en me fixant, teub contre teub, transformant notre jeu en autre chose, de plus intense. On gémit tous les deux, et cette fois personne ne rigole. On se rapproche et nos bites sont poisseuses l’une contre l’autre pendant qu’il continue a nous branler. Je sens son gland humide presser le mien, et je gémis d’extase : c’est un moment de branle incroyable. Je finis par gémir de façon aiguë, et j’explose 5 jets qui volent dans les airs et souillent ses mains. Je saisis ses mains pour pas qu’il s’arrete, et sans aucune gêne, je le rejoins dans notre branle commune, et au bout de 10 longues minutes, durant lesquelles je reste dur, il finit par hurler avant de se couvrir le torse de sperme blanc, très épais. Un silence s’installe. Je vais chercher des serviettes en papier, on se nettoit, on va cherche une fiole de fleur d’oranger et on asperge rapidement le sol avant de se remettre en serviette dans nos canapés respectifs.
Il me sourit et me fait un clin d’œil et allume une cigarette laissée près de la table : comme dans les films européens, dit-il en souriant.
Rassuré, je rigole bêtement et lui aussi.
On sort reprendre nos tenues, devenues sèches au soleil et il s’en va en me faisant la bise.