titmec69 a écrit :Je pratique aussi. Et j'adore.
Je ne le ressens pas tant comme un "ruinage" d'orgasme, juste une autre manière de jouir, de sentir son jus couler de la teub.... C'est vraiment un bon trip.
Envie2queue a écrit : et quand je suis bien chaud je me branle et quand je sent que ça vient j’arrête et je me fais juter sans toucher ma queue
Jo34 a écrit :Salut les mecs, je vous ai lu et du coup je vais partager mon experience, pour voir si certain d'entre vous s'y retrouvent.
Alors pour commencer j'aime le faire apres plusieurs jours sans avoir juté. Je me branle tranquille (30min /1 h). Je ralentis le rythme quand les spasmes commencent a se rapprocher et la tension/pression a monter dans ma bite. J'attends que ça redesends et je recommence plusieurs fois.
A un moment la tension reste presente malgres que je m'arrete. Je me branle alors lentement, surtout au niveau du frein et a l'arriere du gland et je savoure cette tension qui s'accumule et le plaisir qui va avec, en me detendant un max.
Ma bite deviens de plus en plus dure. Puis cette tension est au maximum. Le moindre petite stimulation fais se tendre ma bite au max, j'essaie de rester sur cette phase par petites stimulations. Puis je me laisse un tout petit peu plus aller dans la stimulation et je m'arrete, de maniere a sentir ma bite se tendre a fond pendant quelques secondes . Ça declanche la montée de sperme, et je le sens s'ecouler dans la tuyautrie jusqu'a la sortie, mais sans être arrivé a l'orgasme. J'attends quelques secondes pour me stimuler a nouveau, et je repete la manip une ou deux fois avant de finir par un orgasme complet.
Le mieux c'est d'avoir les couilles pleines pour profiter des sensations du sperme qui s'écoule.
Voila, vous avez deja pratiqué du coup ou fait des expériences qui s'en rapprochent ?
frantic a écrit :Envie2queue a écrit : et quand je suis bien chaud je me branle et quand je sent que ça vient j’arrête et je me fais juter sans toucher ma queue
Tu arrêtes juste avant le point de non retour, ou juste quand tu l'as dépassé ?
Dans le dernier cas, effectivement, on peut parler de "ruinage" (même si le mot n'existe pas, mais on comprend l'idée) mais je ne vois pas l'intérêt ! Il me semble que si on ne se touche plus, le plaisir est moindre, non ?
Mais dans le premier cas (et je n'ai jamais essayé) peut-être effectivement que se faire jouir rien qu'en se concentrant et en contractant les muscles du périnée pour dépasser ce point de non retour, peut-être que c'est jouissif. C'est ça ?
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