bravo les gars, moi aussi je trouve que le terme hétéro est de nos jours galvaudais, je ne pense pas que le fait d'aimer d'avoir une sexualité avec une personne du même sexe soit compatible avec l'hétérosexualité, ça me choque.
globalement d'accord avec vous même si je tempèrerais un peu le fait de se faire sodomiser moi, je suis bi tendance gay car j'ai toujours été attiré par les mecs je me suis "laché" il y a 2 ans 1/2 à rencontrer des mecs et pour débuter, je n'allais pas accepter rapidos de me faire sodomiser, il me fallait déjà être en confiance sur des pratiques "simples", caresses, suce, branle, avant d'aborder la sodo c'est fait depuis un mois même si le mec bandait à moitié; mais je sais maintenant que j'en ai envie avec un mec doux et pas un bourrin et je confirme que les mecs qui se disent hétéro mais sont fan de queue, j'en connais un de 31 ans et je lui pardonne de ne pas se déclarer bi; pas la peine de se prendre la tête sur des catégories si le mec est cho et sympa
Assez d'accord avec ce post concernant l'homophobie (et surtout la "follophobie") qui s'exprime dans beaucoup de profils. À ceci près qu'elle ne provient pas uniquement d'hétéros et qu'elle n'est pas réservée à ce site. On voit à peu près les mêmes commentaires dans des sites ou de application de rencontres "100% gays" comme Grindr. Je suis moins d'accord en revanche avec la distinction que je trouve un peu rigide entre homos, hétéros, bi, qui sont des catégories inventées au XIXème siècle en Occident et pas forcément des immuables ou éternelles. Je vois ça plutôt comme un spectre, à la manière de l'échelle de Kinsey. Pour moi, un mec qui se dit hétéro, qui couche presque à chaque fois avec des femmes mais qui aime se faire sucer par un autre mec n'est pas forcément un gay ou un bi refoulé (même si l'homophobie et la biphobie incitent évidement les gens à se mentir parfois). Je crois que c'est essentiel de respecter la façon dont les gens se définissent eux-mêmes plutôt que de prétendre savoir mieux qu'eux qui ils sont et ce qu'ils aiment.
J'ai mis du temps à céder à mes envies et à reconnaître que j'étais bi. Maintenant j'en profite à fond, sans aucun problème. Il faut passer ce cap idiot de la crainte du qu'en dira-t-on et se faire plaisir.