Le contexte : ma femme est en déplacement professionnel et j’ai pris une RTT pour accueillir le chauffagiste qui vient pour l’entretien annuel du chauffe-eau. Le mec se pointe pile à l’heure et là, le choc : il représente exactement ce que j’ai en tête dans mes fantasmes les plus débridés. Moyennement grand, brun, la trentaine virile. Le mec est marié si j’en crois l’alliance à son majeur et il porte une tenue professionnelle. Il est clair qu’en dessous, c’est du massif : il n’est pas « boudiné » dans ses fringues mais c’est bien tendu au niveau des cuisses ou des biceps.
Pour couronner le tout, il a descendu la fermeture éclair de son bleu d’une vingtaine de centimètres et on devine que les pecs sont bien costauds là-dessous. Enfin, cerise sur le gâteau, il porte une barbe drue d’un jour ou deux jours et le haut du torse est recouvert d’une bien jolie toison…
Je le conduis dans la pièce où se trouve l’appareil et il me dit qu’il en a pour un peu plus d’une heure. Je le laisse bosser et je retourne à mes occupations, tout en me prenant à rêver d’une partie de branle lorsqu’il aura terminé. Bien sûr, je sais que rien de cela n’arrivera mais ça m’excite grave.
Je le retrouve sur place et il m’explique que tout est en ordre côté chauffe-eau. Il n’y a rien d’équivoque et je sens qu’on va en rester là. Comment lui faire comprendre ce que j’ai en tête et comment être certain qu’il serait partant ? Impossible de lui demander. Ni de lui mater l’entrejambe !
Alors je parle, je parle, je lui demande des conseils sur l’installation éventuelle d’une pompe à chaleur ou de panneaux photovoltaïques sur le toit de la maison (sa société installe tout ça) et tout en parlant, je mets mes deux mains dans les poches de mon jeans, l’air de rien. Je le regarde toujours dans les yeux et nous parlons technique. Ca à l’air de l’inspirer. Tant mieux.
Je commence doucement à m’effleurer la teub du bout des doigts et c’est bien bon de faire ça, tout en parlant coût d’installation et économie d’énergie. L'équivoque est terriblement troublante
Ma bite se tend doucement dans mon froc mais impossible de lui mater l’entrejambe pour voir s’il s’est rendu compte de mon petit manège. Je continue à le regarder dans les yeux mais tente, en vision périphérique de voir ce que font ses mains. J’ai en effet l’impression qu’elles se sont dirigées vers sa braguette. C’est dingue, le mec se touche, j’en suis quasiment certain !
Je baisse les yeux une fraction de seconde et reviens vers son visage. Ca m’a suffi : il a posé sa main gauche, en coquille sur son sexe et l’autre est dans sa poche.
Tout ça me chauffe vraiment et je sens ma bite se raidir davantage. Tout en continuant de faire courir mes doigt sur mon sexe je bouge très légèrement les coudes. Si le mec n’a rien vu - ce dont je doute - ça peut passer pour l’attitude normale d’un type qui bouge les bras en parlant. Et s’il a remarqué mon stratagème, libre à lui de m’envoyer des signaux en retour.
Du coin de l’œil, je comprends que le mec, toujours de la main gauche, est en train de se caresser par dessus sa combinaison. Je n’en reviens pas. J’amplifie également mes mouvements et cambre légèrement le bassin vers l’avant. Il fait de même ! J’entrouvre la bouche et sort un peu la langue pendant qu’il parle. Il me pose une question et pendant que je réponds il s’humecte carrément la lèvre supérieure avec la langue.
J’estime que c’est le feu vert : je baisse les yeux et fixe son entrejambe. Le temps semble être suspendu. Il a stoppé net ses gestes, sa main s'est éloignée de quelques centimètres de sa braguette que je fixe, toujours en silence. Ça dure plusieurs seconde. Il semble rapprocher sa main vers son sexe, à la vitesse d'un escargot, semblant attendre un signe de ma part pour aller jusqu'au bout. J'active plus nettement mes mains dans mon jeans. Il pose alors carrément sa main sur sa bosse et reprend doucement ses caresses. C’est dingue ! Je fais aussitôt de même : je sors ma main gauche et me malaxe vigoureusement la verge par dessus le jeans. Un rapide coup d’œil et je constate que, lui aussi, a toujours le regard vissé sur ma braguette.
Ca va bien durer deux minutes. Et c’est long deux minutes, sans parler, en se caressant devant un inconnu. J’émets de petits soupirs et il murmure à chaque fois, presque inaudible, des « oh putain » ou des « oui c’est bon, mec, continue… »
Je décide de prendre les choses en main. Je lui demande si je suis son dernier client et dès qu’il m’a rassuré sur ce point je lui explique que je suis seul à la maison pendant encore trois heures. Il esquisse un sourire et je pose ma main sur son sexe. L’engin est manifestement de bonne taille. En tout cas, tout dur. Je commence à le déboutonner. Il se laisse faire et une verge bien gonflée jaillit du falzar. Ca dégouline déjà de précum et je fais doucement coulisser le prépuce sur le gland turgescent. Il semble sur le point de jouir, ce qui ne fait pas mes affaires, alors je stoppe net et lui propose d’aller dans une chambre.
On se dessape et là, je découvre un corps d’athlète. J’ai un peu honte à coté, même si je ne suis pas trop mal foutu. Mais ma bite, un peu plus grosse que la sienne, semble le fasciner !
Je le branle, il me branle. Et il est clair que tous les deux, on adore parler cru. Il n’est pas question pour moi d’aller plus loin. Pas de suce sans capote (et j’ai pas de capote à la maison) et pas de pénétration du tout, avec ou sans capote.
Alors on s’est paluché longuement, consciencieusement, délicieusement, et tout ce que je peux ajouter, c’est que le bouquet final fut, comment dire, putain de merde, qu’est-ce que ce fût bon ! Mais si je suis tout à fait honn^te, c'est tout ce qui a précédé qui m'a le plus plu en fait
L’affaire conclue, on est tombé d’accord pour essayer de remettre ça. Il est souvent chez des clients de résidences secondaires, absents pendant qu’il entretient leur chauffe-eau. Il vérifiera par téléphone qu’ils sont bien chez eux, à l’autre bout de la France et tentera de placer ces rendez-vous en fin de journée. Je pourrai peut-être alors le retrouver sur place, en toute discrétion, loin de nos moitiés respectives… J’en bande d’avance.
