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[jhcirconcis]

J'avais 11 ans et demi et on reluquait souvent ma bite dans les vestiaires.

Ça me donnait de belles sensation d'être la curiosité du moment.

[rej81]

A 10 ans, j'étais le premier de ma classe à en avoir.
Je me souviens encore de la réaction admirative et étonnée d'un copain qui m'avait vu nu dans la cabine de piscine que nous partagions.

[JamesBranleAcademie]

Pour moi, c'est à 12 ans !
Au collège, après le cours de sport au vestiaire entre potes on se les montrait !

[LoloN3430]

vous saviez qu'en médecine on considère que l'apparition des 1ers poils au zizi, signifie qu'on est en capacité d'éjaculer, sauf qu'on le découvre souvent plus tard, tout simplement parce qu'on sait pas le faire ou qu'on n'a pas appris

Amusant car moi au contraire j'ai eu les premières éjaculations avant, à 12 a et demi.
Puis les poils sont arrivés 6 mois après.
Je pratiquais aussi un peu le naturisme en famille et j'ai des vidéos de famille où j'ai déjà une belle touffe brune au dessus et un peu autour du sexe l'été de mes 13 ans (13a et 9 ou 10 mois, je suis d'octobre).
On en parlait et on comparait souvent avec mon meilleur pote, en se branlant mutuellement aussi.
Lui avait 6 mois de moins que moi mais a eu sa puberté tard, vers 14a et demi
Ce sont des bons souvenirs

[JamesBranleAcademie]

13 ans

[starwatcher92]

de mémoire, 13 ans aussi.
je suis d'une famille où on pratiquait le naturisme.

[libebi]

Je me souviens de mon premier duvet pour l'anniversaire de mes 12 ans, au printemps. Ma mère m'avait fait confectionner un costume pour assister à la communion de ma cousine, chez l'enseigne de confection ESDERS.
Interne au lycée, j'avais dû aller faire, seul, un essayage le jeudi. L'employé tailleur, muni de son centimètre à ruban m'avait invité à rentrer dans une cabine d'essayage au premier étage. Il m'a demandé d'enlever pantalon et slip pour 'mieux mesurer'. Tu parles, c'était pour reluquer ma queue de gamin, ce qui devait le faire bander ! Il gémissait et respirait fort, accroupi face à moi. J'étais probablement devenu rouge écarlate de honte, qu'un tailleur puisse voir que j'avais des poils au pubis, mais le type avait la vue basse et ne s'est pas aperçu de mon désarroi… La gêne m'empêchait de bander, mais je me souviens des nombreux effleurements que l'employé pratiquait dans ses mesures. Ça n'en finissait pas…
Enfin, ça s'est arrêté là. J'ai raconté l'aventure, le soir venu, à Alain, mon voisin de dortoir, avec qui on avait commencé à pratiquer le 'touche pipi' et les confidences sexuelles. La semaine suivante, je suis repassé chez 'Esders' avec ma mère pour récupérer le costume impeccable et bien ajusté…
Maintenant, je regrette que le tailleur ne m'ait pas 'taillé une pipe' ! pour cet anniversaire de mes 12 ans. J'ai ainsi perdu au moins 10 ans avant de connaitre ce bonheur !
J'imagine maintenant que l'acte pédophile de cet adulte était répréhensible. Il ne m'a laissé que le souvenir daté, de mes premiers poils sur la queue. Aurais-je dû me plaindre ?
J'aimerais lire d'autres témoignages de ce genre d'aventure. N'hésite pas à me les poster si des souvenirs non traumatisants de tripotage sexuel te reviennent dans ton adolescence.

[FloZizi]

Au début de mes 11 ans, pour ma part.

[FloZizi]

Je me souviens de mon premier duvet pour l'anniversaire de mes 12 ans, au printemps. Ma mère m'avait fait confectionner un costume pour assister à la communion de ma cousine, chez l'enseigne de confection ESDERS.
Interne au lycée, j'avais dû aller faire, seul, un essayage le jeudi. L'employé tailleur, muni de son centimètre à ruban m'avait invité à rentrer dans une cabine d'essayage au premier étage. Il m'a demandé d'enlever pantalon et slip pour 'mieux mesurer'. Tu parles, c'était pour reluquer ma queue de gamin, ce qui devait le faire bander ! Il gémissait et respirait fort, accroupi face à moi. J'étais probablement devenu rouge écarlate de honte, qu'un tailleur puisse voir que j'avais des poils au pubis, mais le type avait la vue basse et ne s'est pas aperçu de mon désarroi… La gêne m'empêchait de bander, mais je me souviens des nombreux effleurements que l'employé pratiquait dans ses mesures. Ça n'en finissait pas…
Enfin, ça s'est arrêté là. J'ai raconté l'aventure, le soir venu, à Alain, mon voisin de dortoir, avec qui on avait commencé à pratiquer le 'touche pipi' et les confidences sexuelles. La semaine suivante, je suis repassé chez 'Esders' avec ma mère pour récupérer le costume impeccable et bien ajusté…
Maintenant, je regrette que le tailleur ne m'ait pas 'taillé une pipe' ! pour cet anniversaire de mes 12 ans. J'ai ainsi perdu au moins 10 ans avant de connaitre ce bonheur !
J'imagine maintenant que l'acte pédophile de cet adulte était répréhensible. Il ne m'a laissé que le souvenir daté, de mes premiers poils sur la queue. Aurais-je dû me plaindre ?
J'aimerais lire d'autres témoignages de ce genre d'aventure. N'hésite pas à me les poster si des souvenirs non traumatisants de tripotage sexuel te reviennent dans ton adolescence.

Ben non, ce sont ces peurs débiles que nombres d'adultes bien conformes tentent de gaver dans le cranes des gosses. Quand j'avais 13 ans 1/2, début de l'été j'étais assis au bord d'un cours d'eau, entrain de me branler. Puis j'avais remarqué un gars à vélo entrain de s'arrêter. J'ai rangé mon engin, me disant qu'il n'avait rien vu. Il m'avait invité à ce baigner ensemble; puis dans la baignade, à s'éloigner. Il m'avait proposer comme lui de se baigner nu. J'ai juste le regret de ne pas avoir accepter ses avances. Ce sont des moments importants qu'on devrait pas gâcher.
A maintenant 35 ans, c'est un peu tard...