par AnalkerSkywankin »
Jeu 10 Avr 2025 10:14
La toute première bite d'adulte vue "en vrai", c'était celle de mon beau-frère, l'ex de ma sœur. J'avais 13 ans, lui 24 ou 25. A l'époque les douches du camping fonctionnaient avec un système de jetons et pour faire des économies, il a été décidé de se doucher deux par deux après la plage. Pour économiser deux ou trois francs, je trouvais ça un peu con, mais bon, je m'en foutais : mes parents se douchaient ensemble et ma soeur et son mari aussi, et moi j'avais une douche pour moi tout seul, tranquille.
Un jour on s'est retrouvé à 4 (Je sais plus où était passé mon père). Hors de question que je me douche avec ma mère ou ma soeur. Mon beau-frère a lancé que si ça me derangeait pas, lui ça lui posait pas de problème. Donc on s'est retrouvé tous les deux dans la cabine de douche. Déjà je matais les mecs, alors j'étais à la fois intimidé et excité. Au début, il s'est savonné en gardant son maillot. J'étais autant déçu que rassuré... Mélange bizarre : envie de le voir à poil mais gêné d'avance... Et tout à coup il a changé d'avis et m'a lancé : "Écoute, c'est complètement con, t'es un garçon, j'enlève ça". Et il a viré son maillot. Forcément, impossible de détacher mon regard de sa bite. Format boudin, surement trois fois la mienne, au moins. Forcément, il s'en est rendu compte. Il a passé sa main sous ses couilles en rigolant : "Y'a du poil, hein ?" C'était le début des années 80, alors ouais y'avait du poil, les mecs se rasaient pas. Le voir soupeser ses couilles qui me paraissaient énormes, ça m'a foutu des papillons dans le bide et direct j'ai senti ma queue durcir à vitesse accélérée dans mon moule-bite, j'ai rien répondu, je rigolais bêtement. Il a continué à se savonner en rigolant. Il m'a lancé : "Et toi, ça commence à pousser ?", et sans que j'ai eu le temps de réagir, il a écarté mon maillot comme pour vérifier et il est tombé sur ma queue raide. Il a été surpris : "Oh merde, pardon... Excuse". Il y a eu un petit flottement, il a eu l'air un peu désolé pour moi, je me sentais écarlate. Mais tout de suite il m'a mis à l'aise, il m'a attrapé par les épaules et m'a secoué gentiment : “Allez, t'inquiètes ! T'as pas être gêné ! C'est normal ! Moi, à 13 ans, je bandais tout le temps !” Et puis il a insisté : “Allez, enlève ton maillot ! Je vais pas devenir aveugle !”. Et là, j'ai osé faire ce que j'aurais jamais pensé pouvoir oser faire : j'ai viré mon maillot et je me suis retrouvé à poil, la trique à l'air. Il s'est penché un peu pour mater et a sifflé : “Dis-donc, presque aussi grosse que la mienne !”. J'espérais qu'il bande, qu'on compare, mais que dalle… C'était juste pour déconner, me flatter pour dédramatiser. Il m'a demandé avec un clin d'œil si j'avais commencé à me branler, au point où j'en étais, j'ai répondu que oui, moitié gêné, moitié rigolant. Il m'a raconté sa découverte de la branlette, la surprise du sperme, tout ça. Discrètement, à voix basse, couvert par le bordel des douches. Et moi j'en pouvais plus… On était presque collés côte à côte sous le jet d'eau. J’avais les yeux rivés sur son zob, je détaillais tout, la couleur, plus foncée que la mienne, ses burnes qui pendaient, qui se balançaient. Comme j'étais pas complètement naïf, j'ai bien remarqué que sa bite gonflait un peu, légère demie-molle, le bout du gland qui sortait lentement du prépuce... Il a bien vu que je mattais avec insistance pendant qu'il parlait, mais ça n'avait pas l'air de le déranger, je suppose qu'il l'a mis sur le compte de la curiosité. J'espérais qu'il se mette à bander pour de bon en parlant de ses expériences, en me donnant des conseils pour draguer les meufs, des conseils d'hygiène, mais rien du tout… (En tout cas, pas cette fois-là) On a discuté, on a fini la douche et voilà. Il s'est pas passé grand-chose, mais j'y pense encore en me branlant ! Après ça, on a été un peu plus complices. On parlait cul facilement, il me filait des magazines porno en scred... Evidemment j'ai eu l'occase de le revoir à poil ! Et lui aussi ! C'est peut-être lui qui m'a refilé le virus de l'exhib !