combien de fois vous vous masturbez ?
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2-3 fois par jour!
3/4 fois par semaine, quand j'étais plus jeune, même 2/3 en une journée, mon maximum en tant que garçon avec 5 en une journée
Salut
Moi 2 à 3 fois par jour ça dépend des jours. Souvent en cam sur chaturbate et je fais durer ma branle longtemps pour faire profiter aux autres qui et que je regarde.
Moi 2 à 3 fois par jour ça dépend des jours. Souvent en cam sur chaturbate et je fais durer ma branle longtemps pour faire profiter aux autres qui et que je regarde.
moi la branle c est ma passion !! des heures dessus 4 ou 5 fois par jour a la fin je joui sec !!!
3-4 fois minimum par jour...
Moi tous les jours au moins une fois .... jusqu'à 3 fois
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belgiquegaycam
- Messages : 222
- Enregistré le : Mer 29 Avr 2015 14:51
Tout d'abord une branle tous les jours pendant 1ou 2 heures a mater des vidéos. Parfois 2 ou 3 bonnes giclees, bon la dernière un peu moins mais tjrs des sensations terribles. Par contre à 2, 1 ou 2 fois. Ça dépend du mec.
JAMAIS !!!
C'est péché !
Et cela rend sourd.
Et pas que ... si l'on croit ces quelques témoignages :
"Né de parents sains, je suis près d'atteindre ma vingt-deuxième année. Jusqu'à l'âge de quinze ans, je n'avais connu d'autres plaisirs que ceux dont l'enfance éprouve une vraie satisfaction, et que l'on aime tant à se rappeler dans le cours de la vie ; je n'éprouvais d'autres passion que pour l'étude, et d'autre bonheur que de plaire à ceux de qui je tenais mon existence ;pourquoi faut il qu'il se trouve partout de ces monstres qui mettent toute leur félicité à se faire des complices. Je ne crois point, Monsieur, qu'aucun sort ne puisse être comparé au mien, quoique depuis trois ans j'ai cessé, mais sans doute trop tard, de recourir à ces pratiques infâmes dont les effets ont été si terribles pour moi que la vie m'est devenue un véritable fardeau. Mon sommeil est sans cesse troublé par des rêves affreux, et souvent par une oppression qui me fait craindre d'être à chaque instant étouffé. Cela me fatigue d'autant plus que je ne peux plus réparer mes forces par le repos, au contraire, l'état d'anxiété dans lequel je suis, excite en moi une agitation nerveuse spasmodique continuelle qui me fait beaucoup souffrir ; quelque soit ma nourriture mon estomac ne digère plus qu'avec la plus grande difficulté, ma maigreur est extrême. Elle approche du marasme ; j'ai le teint pâle, livide, souvent plombé, les yeux caves, cernés, les pupilles très dilatées, la lumière n'y produit plus qu'une impression si faible que je ne puis plus lire deux minutes de suite."
" Je ne doute pas, Monsieur, que la masturbation, de même que tout autre excès dans les plaisirs vénériens auxquels je me suis livré depuis que j'ai l'âge de connaissance ne soient la cause première de l'épilepsie dont je suis atteint depuis l'âge de douze ans. (...) très peu de temps après avoir terminé j'éprouvais une céphalalgie gravative (mal de tête avec pesanteur sur le cerveau) qui me devenait insupportable. (...) à douze ans je fus atteint, pour la première fois, d'une attaque de nerfs qui n'était autre chose que l'épilepsie, affection convulsive qui depuis ne s'est renouvelée que trop souvent et qui devient de jour en jour encore plus terrible. Non, Monsieur, je n'en doute point, c'est à la triste habitude que j'ai contractée pendant mes jeunes années, de me procurer des pollutions fréquentes (...) Je suis devenu d'une timidité sans exemples peut-être : le moindre objet m'effraie ; les menaces d'un enfant de dix ans ébranlent mes nerfs ; je suis incapable de m'appliquer à rien de sérieux ; la moindre contention d'esprit peut amener un accès. Plaignez-moi, Monsieur, ayez pitié de ma position affreuse."
" Après le moindre attouchement vénérien je ressens un gonflement particulier des artères de la face, une mobilité singulière dans l'imagination, je n'éprouve qu'un sommeil continuellement interrompu par des pollutions douloureuses, pénibles, fatigantes ; pendant la journée j'éprouve quelquefois des mouvements contractiles dans les doigts, mes bras, mes jambes sont continuellement agiles, les pupilles dilatées sans contraction, les pieds roidissent ; il survient anxiété, douleur abdominale, tremblement général, le pouls est dur, serré, alternatif;....l'accès se prononce par un mouvement brusque,spontané. Une extension générale des membres, tantôt mes yeux restent ouverts et agités de mouvements convulsifs, souvent, ils sont complètement fermés, la langue mordue sur les côtés, la voix e la parole entièrement nulles, la poitrine se gonfle par alternatives souvent très rapprochées, la respiration est forte, suspirieuse, quelquefois stertoreuse ; depuis longtemps les évacuations alvines suivent la marche des accès, alors elles sont très mal élaborées, l'urine est briquetée, sédimenteuse. Souvent je tombe comme une masse ; d'autre fois je reste dans la situation où l'accès me surprend ; je rends par la bouche une salive épaisse écumeuse, et lorsque je reviens à moi, je n'ai plus aucune connaissance de ce qui est arrivé ; quelquefois la récidive est prompte, d'autres fois j'en éprouve trois ou quatre petites dans un seul jour, alors je suis courbaturé et je conserve encore longtemps un point douloureux fixé sur les vertèbres dorsales. Comme la prostration dans laquelle je tombe après l'accès se manifeste en raison de la durée et surtout de sa violence il en résulte que je souffre continuellement et que je ne peux plus jouir de la somnolence, ou du sommeil qui en était le plus ordinairement la suite immédiate ; des flatuosités de toutes espèces ajoutent encore à mon tourment ; tantôt j'éprouve des besoins de manger si pressants qu'il m'est impossible de satisfaire à mon appétit. Doué d'une sensibilité nerveuse excessive, je suis jeté hors de moi-même par la cause la plus légère ; toujours extrême dans mes affections, je passe rapidement d'une émotion vive à toutes celles qui me sont contraires ; je ne fais plus que traîner partout mon existence. Comment donc faire pour sortir d'une situation aussi cruelle, et qui dure depuis aussi longtemps ?"
Source : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5661312n.pdf
C'est péché !
Et cela rend sourd.
Et pas que ... si l'on croit ces quelques témoignages :
"Né de parents sains, je suis près d'atteindre ma vingt-deuxième année. Jusqu'à l'âge de quinze ans, je n'avais connu d'autres plaisirs que ceux dont l'enfance éprouve une vraie satisfaction, et que l'on aime tant à se rappeler dans le cours de la vie ; je n'éprouvais d'autres passion que pour l'étude, et d'autre bonheur que de plaire à ceux de qui je tenais mon existence ;pourquoi faut il qu'il se trouve partout de ces monstres qui mettent toute leur félicité à se faire des complices. Je ne crois point, Monsieur, qu'aucun sort ne puisse être comparé au mien, quoique depuis trois ans j'ai cessé, mais sans doute trop tard, de recourir à ces pratiques infâmes dont les effets ont été si terribles pour moi que la vie m'est devenue un véritable fardeau. Mon sommeil est sans cesse troublé par des rêves affreux, et souvent par une oppression qui me fait craindre d'être à chaque instant étouffé. Cela me fatigue d'autant plus que je ne peux plus réparer mes forces par le repos, au contraire, l'état d'anxiété dans lequel je suis, excite en moi une agitation nerveuse spasmodique continuelle qui me fait beaucoup souffrir ; quelque soit ma nourriture mon estomac ne digère plus qu'avec la plus grande difficulté, ma maigreur est extrême. Elle approche du marasme ; j'ai le teint pâle, livide, souvent plombé, les yeux caves, cernés, les pupilles très dilatées, la lumière n'y produit plus qu'une impression si faible que je ne puis plus lire deux minutes de suite."
" Je ne doute pas, Monsieur, que la masturbation, de même que tout autre excès dans les plaisirs vénériens auxquels je me suis livré depuis que j'ai l'âge de connaissance ne soient la cause première de l'épilepsie dont je suis atteint depuis l'âge de douze ans. (...) très peu de temps après avoir terminé j'éprouvais une céphalalgie gravative (mal de tête avec pesanteur sur le cerveau) qui me devenait insupportable. (...) à douze ans je fus atteint, pour la première fois, d'une attaque de nerfs qui n'était autre chose que l'épilepsie, affection convulsive qui depuis ne s'est renouvelée que trop souvent et qui devient de jour en jour encore plus terrible. Non, Monsieur, je n'en doute point, c'est à la triste habitude que j'ai contractée pendant mes jeunes années, de me procurer des pollutions fréquentes (...) Je suis devenu d'une timidité sans exemples peut-être : le moindre objet m'effraie ; les menaces d'un enfant de dix ans ébranlent mes nerfs ; je suis incapable de m'appliquer à rien de sérieux ; la moindre contention d'esprit peut amener un accès. Plaignez-moi, Monsieur, ayez pitié de ma position affreuse."
" Après le moindre attouchement vénérien je ressens un gonflement particulier des artères de la face, une mobilité singulière dans l'imagination, je n'éprouve qu'un sommeil continuellement interrompu par des pollutions douloureuses, pénibles, fatigantes ; pendant la journée j'éprouve quelquefois des mouvements contractiles dans les doigts, mes bras, mes jambes sont continuellement agiles, les pupilles dilatées sans contraction, les pieds roidissent ; il survient anxiété, douleur abdominale, tremblement général, le pouls est dur, serré, alternatif;....l'accès se prononce par un mouvement brusque,spontané. Une extension générale des membres, tantôt mes yeux restent ouverts et agités de mouvements convulsifs, souvent, ils sont complètement fermés, la langue mordue sur les côtés, la voix e la parole entièrement nulles, la poitrine se gonfle par alternatives souvent très rapprochées, la respiration est forte, suspirieuse, quelquefois stertoreuse ; depuis longtemps les évacuations alvines suivent la marche des accès, alors elles sont très mal élaborées, l'urine est briquetée, sédimenteuse. Souvent je tombe comme une masse ; d'autre fois je reste dans la situation où l'accès me surprend ; je rends par la bouche une salive épaisse écumeuse, et lorsque je reviens à moi, je n'ai plus aucune connaissance de ce qui est arrivé ; quelquefois la récidive est prompte, d'autres fois j'en éprouve trois ou quatre petites dans un seul jour, alors je suis courbaturé et je conserve encore longtemps un point douloureux fixé sur les vertèbres dorsales. Comme la prostration dans laquelle je tombe après l'accès se manifeste en raison de la durée et surtout de sa violence il en résulte que je souffre continuellement et que je ne peux plus jouir de la somnolence, ou du sommeil qui en était le plus ordinairement la suite immédiate ; des flatuosités de toutes espèces ajoutent encore à mon tourment ; tantôt j'éprouve des besoins de manger si pressants qu'il m'est impossible de satisfaire à mon appétit. Doué d'une sensibilité nerveuse excessive, je suis jeté hors de moi-même par la cause la plus légère ; toujours extrême dans mes affections, je passe rapidement d'une émotion vive à toutes celles qui me sont contraires ; je ne fais plus que traîner partout mon existence. Comment donc faire pour sortir d'une situation aussi cruelle, et qui dure depuis aussi longtemps ?"
Source : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5661312n.pdf
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sidartagotama
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