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Il était 19h, mon collègue Karim et moi étions les deux derniers encore au boulot et on ne comptait pas faire davantage d'heures supplémentaires. Mais qu'importe nos plans pour la soirée, ils n'avaient plus lieu d'être: notre patron avait un service à nous demander. "Mon fils Victor vient de monter sa société de vente à domicile. Il avait prévu une démonstration ce soir à la maison, mais les invités ont fait faux bond. Si vous acceptiez de les remplacer, vous m'enlèveriez une belle épine du pied. Il lui a fallu pas mal de temps et d'énergie pour concrétiser son projet, je ne voudrais pas qu'une déconvenue lui sape le moral et son esprit d'entreprise, pour une fois qu'il semble motivé par quelque chose professionnellement", nous a dit notre boss, de telle manière que l'on ne pouvait pas refuser.
Notre chef, Hector, est du genre "force tranquille". Il n'a pas à se montrer tyrannique pour se faire respecter. Son autorité est naturelle. Du haut de ses 55 ans et de son mètre 85, il est un homme séduisant, qui assume sa calvitie - une caractéristique physique qui joue énormément dans son sex appeal - et s'habille avec goût, des costumes toujours tirés à quatre épingles, voir plus. Karim et moi aurions pu difficilement lui dire nous. En plus, la fin d'année approchant, on se disait qu'il saurait s'en souvenir au moment de distribuer des primes aux plus méritants.
Nous voici donc, ce soir d'automne, chez notre chef, dans son pavillon cossu en banlieue parisienne. Nous avions à peine franchi la porte que sa femme, Chantal, chemisier blanc et jupe noire s'arrêtant aux genoux, nous a accueillis avec un grand sourire. Elle nous a mis instantanément à l'aise en nous proposant à boire, tout en insistant pour nous dire combien elle nous était reconnaissante d'avoir pu nous libérer au pied lever pour soutenir son fils. A 48 ans, elle forme avec Hector un couple bien assorti, me suis-je dit intérieurement, sans
pouvoir expliquer ce qui me permettait de faire ce constat.
Elle nous conduisit vers le salon où nous attendait déjà Victor, qui semblait impatient de commencer sa présentation - et un peu fier aussi. Il devait avoir 27 ou 28 ans et avait de faux airs de son père. Il était assis sur un fauteuil et avait disposé devant lui sur la table basse une petite valise renfermant les gadgets qu'il était censé nous convaincre d'acheter. Il nous a reçu d'un regard rieur et d'une poignée de main franche. Karim et moi nous sommes assis dans un canapé, côte à côte. Hector et Chantal ont pris place sur le canapé en face de nous. Victor, lui, présidait depuis son fauteuil."Bonsoir messieurs, bonsoir maman ! entama-t-il d'un ton de VRP légèrement surjoué. Merci d'avoir fait le déplacement pour découvrir toute la gamme de produit Männer que je me fais une joie de vous présenter. J'ai dans cette valise mille promesses de plaisirs."
Le speech était tartignole et inutilement cérémonieux et nous n'avons pas tardé à découvrir que le but de la soirée était tout simplement de nous présenter un catalogue digne d'un sex shop. Mon boss nous observait du coin de l'oeil, à l'affut de tout signe d'inconfort ou de malaise. Les démonstrations commencèrent par des accessoires complètement anecdotiques : des bonbons au gingembre censés aider à la vigueur sexuelle, des menottes en plastique et en fausse fourrure fluo, des huiles de massages aux senteurs plus chimiques qu'exotiques. Ce genre de choses.
Puis le jeune homme tira de sa petite valise trois slips, qu'il distribua aux hommes autour de la table. Notre chef nous regarda, Karim et moi, avec un regard mi-désolé mi-interrogateur, comme s'il se demandait si on n'allait pas prendre nos jambes à notre cou. Etonnamment, l'idée de nous enfuir ne nous a pas traversé. Même si, avec le recul, commencer de but en blanc la soirée ainsi semblait pour le moins curieux.
Nous avons suivi le patron dans les pièces jouxtant le salon pour pouvoir nous changer, chacun de son côté, avec un minimum d'intimité. Je fis tomber mon pantalon, enlevait mon slip et enfila celui que l'on venait de me confier avant de retourner autour de la table basse. Karim et notre chef en firent de même. Nous avions une drôle d'allure : sans pantalon, en chaussettes noires avec nos chaussures de ville, la chemise déboutonnée révélant nos torses nus... et en slip aux couleurs vives. "Comme vous pouvez le voir messieurs, ces slips sont ainsi conçus qu'ils permettent, en le réhaussant, de mettre votre paquet en valeur. Ils sont particulièrement confortables et ont été fabriqués en France, nous lança le vendeur de la soirée, énumérant nombreux arguments de ce sous-vêtement, que je cite ici pêle-mêle. Comment vous sentez-vous dedans?" "Bien", lui répondis-je, surtout concentré sur les paquets qui se dessinaient à l'entrejambe de mon collègue et de mon chef. Eux non plus semblaient n'avoir aucune récrimination à formuler à l'égard de leurs slips.
"Je vais maintenant vous proposer quelque chose d'un peu plus original", suggéra Victor en nous tendant cette fois-ci des strings au tissu argenté. Rebelote pour un nouvel essayage, mais cette fois-ci, j'ai enlevé mes chaussettes et mes chaussures, qui estimais-je, n'étaient pas vraiment cohérentes avec l'espèce de boule à facettes qui me moulait désormais les couilles et la bite. Karim en avait fait de même. "Je n'avais jamais mi de string de ma vie, expliqua-t-il. C'est quand même curieux cette ficelle qui me rentre dans les fesses, c'est une sensation bien particulière", dit-il. Hector enchaîna : "C'est bien pour te faire plaisir fiston que j'enfile ça, mais je trouve que c'est plutôt inconfortable et je ne suis pas sûr que cela excite grand monde de voir mon cul." En disant cela, il se tourna vers nous pour présenter son postérieur. Il avait tort, je sentais que ma bite commençait à durcir.
L'essayage suivant fut pour un slip noir... transparent. Dès que je l'ai pris en main, je savais qu'il ne serait plus possible de cacher grand chose de mon anatomie et que mon chef, sa femme, son fils et mon collègue, allaient pouvoir observer à loisir mon entrejambe, sans que je puisse faire grand chose pour les en empêcher. "Ne faites pas les pudiques, pas la peine d'aller vous changer à côté, enfilez ça ici, on est entre nous !", s'amusa Chantal, qui n'en perdait pas une miette et qui semblait ravie à l'idée de voir de la bite, même légèrement dissimulée sous un tissu noir ne laissant que peu de place à l'imagination.
Nous nous sommes donc changés dans le salon et je tentais tant bien que mal de positionner mon pénis afin de ne pas (trop) trahir mon érection naissante. C'était évidemment couru d'avance, mais je n'avais pas à me faire trop de mouron : Karim et Hector étaient eux aussi en pleine bandaison et ce dernier devait aussi composer avec le fait d'avoir la queue raide devant son fils...
"Vous voyez messieurs, cette lingerie masculine sait mettre en valeur vos attributs tout en vous permettant de rester élégants. Qu'en dis tu maman ? Tu aimerais que papa porte plus de choses comme celles-ci ?" "Oh que oui ! Je n'en peux plus de ses boxeurs noirs informes. Ils me sortent par les yeux ! Là, c'est sûr, ça aguiche l'oeil et c'est très joli", répondit-elle.
Le jeune homme enchaîna : "Comme je vois que vous êtes "en forme", je vous propose de passer aux accessoires pour adultes. Avez-vous déjà entendu parler de masturbateurs ?" La question resta en suspens, et fut accueilli par nos regards interloqués lorsque Victor a brandi ce qui ressemblait à des espèces de grosses lampes torches. Je n'avais vu de tels appareils que dans les films porno et là, clairement, le jeune bonimenteur nous invitait à nous branler dans ces vagins artificiels. Mais il commença par faire une démonstration sur lui-même. Il déboutonna son pantalon de costume et sortit sa bite bien raide.
Je ne pu m'empêcher de regarder mon boss du coin de l'oeil, d'abord son visage puis sa bite bien raide, et de me demander s'il était excité par ce qu'il voyait. "Vas-y, montre nous", fit Chantal comme s'il était question de mettre en route une cafetière. Le jeune homme enfila son chibre dans le masturbateur et commença sa besogne avec ses va et vient. Il nous demanda ensuite de baisser nos slips et, comme un agriculteur glisse les pis de ses vaches dans une trayeuse, il nous a mis nos bites dans un de ses sex tous en nous encourageant à nous faire du bien. Je m'astiquais ainsi avec ce tube de plastique autour de mon sexe quand Victor saisit le pénis bien dur de son père et le fourra dans l'accessoire star du catalogue. Il fit les premiers va et vient. Il n'était ni plus ni moins qu'en train de branler son père.
J'étais hypnotisé par cette scène, alors je n'ai pas senti Karim se saisir de mon masturbateur pour le manipuler autour de ma tige. Lorsque j'ai enfin tilté, je lui ai machinalement rendu la pareille. Je n'aurais pas imaginé, en arrivant au travail le matin, qu'une telle activité m'attendait le soir.
Chantal n'en tenait plus : elle s'est débarrassé de sa jupe pour nous montrer ce qu'elle avait en-dessous : une culotte noir en dentelle laissant deviner son minou entretenu. Elle ne tarda pas à se caresser tout en nous regardant, poussant à intervalles réguliers de petits gémissements de plaisir. Victor fut le dernier à laisser tomber le pantalon et a révéler qu'il portait un jockstrap : "Il ne fait pas partie de la gamme que je vends, précisa-t-il. En revanche, j'ai sur moi un autre accessoire incontournable." Il se retourna, se pencha légèrement et écarta une fesse pour nous montrer le petit rond de plastique qui recouvrait le trou de son cul.
Plus précisément, il s'agissait d'un plug anal de petite taille (niveau débutant), qu'il se retira sous nos yeux captivés.Son père fut saisi d'un choc et cessa de se branler. "Ne me dis pas que tu es payé pour te mettre des trucs dans le cul !?", s'énerva-t-il. Son fils ne se laissa pas déstabiliser et rebondit en vantant le point G masculin et les mérite d'une prostate bien titillée. "Ne me dites pas que personne ici n'a jamais essayé d'insérer un doigt dans son anus lors d'une session de masturbation..."
Sous l'excitation, je révélais à haute voix que je me doigtais régulièrement - chose que je n'aurais jamais penser avouer. Karim ne me laissa pas seul et opina également du chef. "J'ai ce qu'il vous faut pour vous amuser ce soir, alors, messieurs", a souri Victor en cherchant dans sa valise avant de brandir l'objet de sa quête : un double godemichet, autrement dit, un gode avec un gland à chaque bout. Karim et moi avons cessé notre masturbation mutuelle et nous concertions du regard. La situation m'excitait terriblement et j'avais envie d'essayer. Mon collègue a dû avoir a peu près le même raisonnement.
Nous n'avons pas réfléchi longtemps et nous n'avons pas tardé à nous retrouver chacun dos à dos et à quatre pattes sur le canapé."Mais vous allez vraiment le faire !? C'est pas possible !", s'exclama notre chef qui semblait ne pas en revenir. Qu'il s'en étonne en ayant lui même la bite bien raide à deux mètres de celle de son fils pendant que sa femme n'en finissait plus de se tamponner la culotte humide, avait quelque chose de surréaliste.
Victor avait pensé à tout et nous appliqua lui-même le lubrifiant. Ses gestes étaient vifs, mais ils s'adoucissaient lorsqu'il s'agissait d'étaler le produit autour de la rondelle en dessinant une forme concentrique. A mon grand étonnement, le gode glissa aisément dans mon cul. Une facilité déconcertante car jusque là, je ne m'étais guère inséré plus que deux doigts dans le fondement. Je ressentais bien au départ une petite douleur mais elle s'estompa rapidement dans le feu de l'action, notamment lorsque je sentis que de l'autre côté du sex toy, Karim s'était également empalé et commençait à faire se mouvoir son postérieur, ce qui avait une incidence sur les sensations que je ressentais en moi. Je ne pensais alors qu'à mon plaisir, tentant de visualiser la scène telle que devait la voir mon chef. J'enchaînais les râles sonores, de concert avec mon voisin de bureau, sous le regard d'Hector. A l'idée qu'il visualiserait désormais cette image lorsqu'il nous parlerait au boulot redoubla mon excitation.
Ma divagation mentale n'était pas si idiote puisque notre chef a fini par se saisir de son smartphone pour nous prendre en photo dans cette posture. Il avait ainsi l'assurance que si ses salariés avait en tête de le faire chanter ou de se montrer trop bavards sur cette soirée, ce cliché les inciterait à se taire pour s'épargner à leur tour d'être mêlé au scandale.
Face à nous, Chantal gémissait également. Elle avait glissé sa main droite dans sa culotte et l'on aurait pu se demander si le tissu n'allait pas céder sous l'action de ses doigts tant elle y mettait d'ardeur. Victor dégaina un autre gode, plus classique, d'une vingtaine de centimètres mais au diamètre modeste. "Papa, il faut que tu essayes ça !", déclara-t-il l'air de rien."T'es fou, moi je me mettrais jamais rien dans le cul, je suis pas homo", fit mine de s'indigner le boss, mais face à Karim et moi qui jouions du cul comme des animaux en rut, il avait l'air envieux.
"Allez, faut tester des choses dans la vie ! Là, c'est l'occasion !", encouragea sa femme. Comme si la chose était entendue, Victor se rapprocha de son père et commença par lui enlever chaussures et chaussettes, ce qui eu pour effet de faire basculer le paternel sur le canapé. "Surélève les fesses, lève et écarte les jambes", ordonna le jeune homme. J'avais une vue imprenable sur le trou, poilu, de mon chef. Je ne ratais donc rien du spectacle du doigt de son fiston étalant le lubrifiant sur sa rondelle avant d'y glisser le gode, sans ménagement particulier.Hector poussa un cri de douleur mêlé de plaisir (et inversement).
Chantal était tout sourire : voir son fils sodomiser son mari avec un faux pénis en plastique fut un déclic : elle se déshabilla entièrement, pour contrebalancer de sa féminité les scabreuses positions masculines qui avaient pris place dans son salon."Les gars, vous ne voulez pas prendre le relai ? S'il vous a refusé une augmentation, c'est le moment où jamais de se venger", se marra Victor. Je fus le premier à mettre la main sur le gode et à besogner mon boss. Il gémissait, ses doigts de pieds se recroquevillaient, l'extase n'était pas loin. Ce fut au tour de Karim de se saisir du gode et d'enculer Hector. C'était indéniablement plus efficace qu'un énième atelier de team building pour resserrer les liens entre les équipes.
J'étais resté accroupi à côté d'eux, mon cul offert au vide en dessous de lui. Cela n'avait pas échappé à Chantal qui, sans me prévenir, me glissa un doigt dans le trou. Pour ne pas rester en reste, le jeune homme avait pris un autre gode, similaire à celui qui bafouait l'intimité de son père, mais d'un autre coloris. Il se mit en position dans le fauteuil, de façon à bien exhiber à nouveau son anus à l'auréole rosée avant de convier le jouet sexuel a faire le tour du propriétaire. Il s'activa quelques instants seul, puis fut rejoint par sa mère qui s'amusa à opérer des va-et-vient entre les fesses de son fils."Petit enculé !", lança son père, sans que l'on sache s'il fallait prendre ça pour une insulte ou pour une remarque salace intensifiant son exicitation. "Enculé toi-même papa", répondit-il.
La phrase - que n'importe qui aurait vu venir à des kilomètres à la ronde" - a provoqué la fureur du quinquagénaire qui s'est levé d'un bond pour s'agenouiller devant le cul de son fils et le goder avec énergie, comme pour lui faire ravaler chaque syllabe. Signe que la colère paternelle n'était pas bien méchante : il continuait de se branler.Chantal m'appela. Elle était derrière moi, sur le canapé, les jambes écartées et la chatte offerte. Elle voulait que je décharge mon sperme sur sa toison brune. Je n'allais pas rechigner. Mon jus n'attendais que de gicler. En plein dans le mille : j'ai shampooiné la femme de mon chef. De sa main, elle étala ma semence tout en se masturbant. Elle se fit jouir et ses cris ont résonné sur chaque paroi.
A peine redescendue, elle s'adressa à Karim : "Venez me nettoyer". Mon collègue alla chercher un mouchoir dans la poche de son pantalon, mais elle le coupa dans son élan : "Avec votre langue". Hésitant, il s'est mis à genoux et a plongé la tête entre les cuisses de l'épouse. Il lapait le cocktail composé de mon sperme et de cyprine et semblait s'en délecter. Pendant cette dégustation, il continuait à s'astiquer et finit par venir sur le carrelage, en accompagnant chaque saccade d'un grognement d'animal sauvage.
Les regards se sont alors tournés vers Victor et Hector. Le fils et le père avaient changé de position et c'était désormais mon boss qui se faisait goder. "Maman, vient m'aider", murmura le jeune homme qui voulait qu'elle prenne le relais au godage. Cela lui permettait d'avoir ses deux mains libres pour se masturber et éjaculer sur son père. Il visa le torse poilu décoré de tétons pointant au maximum. "Petit salaud, beugla mon boss. Je vais t'apprendre à me respecter." Il demanda à sa femme de laisser son cul tranquille - ce qu'elle fit - et exigea que son fils s'agenouille. Mon patron a commencé sa correction en administrant des bifles à son rejeton, puis cracha la purée, épaisse et blanchâtre, sur le beau visage de sa progéniture.
"Tu m'as pas loupé", rigola le plus jeune, sans doute pour se donner un brin de contenance alors que dans cette posture là, il avait perdu de sa superbe. Les minutes qui ont suivi ont été un mélange étrange d'incrédulité (est-ce que cela venait bien de se passer ?), de gêne et de plaisir (parce que, au final, tout cela était bien bon). Un brin sous le choc, je ne me souviens plus comment je suis rentré chez moi, ni si nous avons discuté longuement ou non, tous ensemble, après ces jeux sexuels. Preuve que j'avais perdu toute rationalité : le lendemain matin, j'ai trouvé les chaussettes de mon chef au pied de mon lit. Je les avais mises par erreur, en me rhabillant. Depuis, je ne cesse de me demander si ce qu'il s'est passé cette soirée là était le fruit de la spontanéité où si Karim et moi avions été manipulés pour rejoindre les jeux pervers de mon patron. Je n'en ai pas eu la réponse. Mais j'ai eu ma prime de fin d'année.