par louise06 »
Mar 3 Juin 2025 07:51
Voici les différentes femelles dont j'ai pu (ou continue à) jouir des talons, sandales, ballerines et autres bottes, avec quelques photos lorsque disponibles :
- Ma femme — elle n'a pas beaucoup de paires et ne met plus souvent ses escarpins, malheureusement. Toutefois, elle met souvent ses ballerines et compensées à haut talon.
Ici, sa paire préférée de compensées, d'une belle couleur bleu strass, et à très haut talon (12 cm) . Elle venait de faire la rotation des paires d'hiver avec celles d'été, il y a quelques jours. J'en ai donc profité le résoir-même pour jouir de sa paire préférée sans savoir qu'elle la mettrait le lendemain. Résultat, la jute fraîche de la nuit s'est transformée en belles petites traces (footcrud) dans l'avant-pied, un vrai délice visuel, mais aussi olfactif et gustatif :

- Ma belle-mère — salope à laquelle je chipe ses dessous (strings, tangas, bas nylon, bas résilles, porte-jarretelles). L'idée qu'elle se demande où ses articles ont bien pu passer m'excite. Encore plus celle qu'elle puisse soupçonner son "gendre chéri" comme elle aime à m'apeller. Et j'aime juter dans ses bâtons de rouge à lèvres. Ainsi, quand elle me demande de passer chez elle pour un bricolage, une réparation et autre dépannage, j'adore la voir m'accueillir sur le pas de sa porte avec mon foutre à ses lèvres.
Ci-dessous, c'est ma première prise : sa culotte en dentelle rose que j'ai trouvée dans le panier à linge sale (hmmm) de sa salle de bain. Elle m'avait invité à prendre une douche chez elle après avoir travaillé son jardin en été pour éviter de tremper le siège de mon auto quand je repartirais :

La porte de sa salle de bain ne ferme pas complètement car il y a une petit lumière qui empêche de la verrouiller, ce qui me permet de la regarder quand elle prend sa douche. Pendant que je faisais mon essayage, ce jour-là donc, j'entendais ma belle-mère s'affairer dans sa chambre qui est juste à côté. Ainsi, je n'attendais qu'une seule chose : qu'elle vienne dans la salle de bain ayant oublié que j'y étais et me surprenne dans cette tenue, ce qui m'aurait forcé à tout lui avouer, et peut-être plus...
- Ma belle-soeur et ses filles — les occasions sont sporadiques mais ont révélé quelques belles surprises, tant en termes de chaussures que de dessous.
Ici, une superbe paire très sexy d'escarpins à bride arrière (slingbacks) de couleur blanche colombe. Je me suis assis à côté d'elle à table pour faire quelques photos incognito et elle m'a fait une petite séance improvisée d'essayage de sa paire juste sous mes yeux :

- Les amies et leurs filles — en particulier, une mère et sa fille qui ont des boîtes de talons du sol au plafond, littéralement.
Voici une superbe paire de Louboutin avec un string en dentelle noir, article que je lui ai chipé à l'issue de ma visite :

Quand je leur rends visite, j'alterne avec la fille qui est aussi accro que sa mère tant en chaussures qu'en dessous, je pense notamment au petit string noir ficelle style BDSM que je lui ai chipé dans le panier à linge sale qu'elle a dans sa chambre...
- Mes nombreuses collaboratrices au bureau — dont une fois surpris par ma DAF (une histoire incroyable).
CI-dessous, la magnifique paire de plateformes à très haut talon (15 cm), d'une de mes conseillères. J'en ai joui la veille pour la surprendre en photo et vidéo la porter le lendemain :

- La femme mariée de couples fétichistes — je les rencontre de façon sporadique, de façon trop espacée à mon goût.
Ici, une paire sublime de L.K. Bennett, extrêmement portée et de nombreuses fois jutée, offerte par une femme d'un couple à destination de celle d'un autre :

- Les retraitées rencontrées dans l'espace public — qu'elles soient plus ou moins belles, peut importe, j'aime toutes les aborder directement dans la rue pour revoir celles d'entre elles qui trouvent charmant, ou parfois intrigant, mon côté fétichiste.
Ci-dessous, une retraitée rencontrée sur le stationnement d'un magasin de chaussures juste avant qu'elle n'y rentre pour faire ses emplettes et qui m'a très vite invité chez elle. Elle portait la paire de mules classique, mais ô combien sexy, qu'elle a achetée dans ce magasin :

- Les vinties (propriétaires d'un vestiaire sur sur une célèbre plateforme en ligne de vente de vêtements de seconde main) dont j'achète les chaussures — c'est essentiellement pour le compte de personnes de leur entourage proche, la plupart du temps cette personne est un ami mais parfois c'est un fils ou un frère, trop excitant.
Ici, un vintie auprès de laquelle j'ai achetée ses paires de façon récurrente, plus d'une dizaine de paires en tout, pour le compte d'un de ses amis transis. Elle m'avais fait quelques photos personnalisées à ma demande (encore une autre histoire). Voici sa superbe paire d'escarpins à bride arrière (slingbacks) bicolore dont elle m'a gratifié d'un essayage privé. Mon commanditaire m'avait permis d'en jouir, ce que je ne fais pas habituellement quand je suis la mandaté, et c'est normal, sauf sur la demande expresse du mandataire qui trouve excitant que j'en profite avant :

- Les visiteuses de la piscine — ce sont aussi des professionnelles extérieures qui viennent manger en semaine au petit restaurant intérieur. La seule option qu'elles ont pour entrer est de passer par les vestiaires et le pédiluve, et donc elles se déchaussent et laissent leurs affaires civiles dans les paniers. Pour certaines, elles apportent leur maillot pour profiter de la terrasse du restaurant qui est sur la plage de la piscine, et donc elles laissent aussi dans le panier leurs dessous portés toute la matinée, parfois je découvre une belle lingerie avec string encore humide, un vrai régal.
Ici, la paire très excitante et bien portée de sandales noires à petit talon d'une fille qui fêtait son anniversaire avec ses copines ce jour-là, d'où leur tenue habillée :
- Les propriétaires des chambres privées — depuis l'arrivée en France en 2015 d'une célèbre plateforme de location entre particuliers, je ne vais plus à l'hôtel lors de mes déplacements professionnels en France et à l'étranger mais je loue un chambre privée chez l'habitante. Une sélection attentive de l'opportunité sur des critères spécifiques permet de s'assurer des expériences extraordinaires.
Ici, j'occupais la chambre du fils d'une directrice RH vivant seule dans sa maison avec lui parti faire ses études dans une autre ville. Une superbe quarantenaire, tronchée, cultivée, grande, svelte, longs cheveux blonds lissés. Ici, sa paire favorite, des escarpins à bout ouvert (peeptoes) bicolores, qu'elle a extrêmement portée, et notamment pendant la première semaine de mon séjour, et avec laquelle elle m'a laissé seul pendant ma dernière semaine car elle s'est absentée pour partir en voyage professionnel. Une fragrance absolument incroyable :

Pour la petite histoire, une location à une autre propriétaire a débouché sur une histoire totalement inattendue, mon cerveau en jouit encore...
- Les femmes de ménage — tout d'abord, celles de l'université où j'ai étudié après enseigné et, ensuite, celles qui venaient à la maison chez ma mère quand j'y habitais encore...
(pas de photos pour le reste des éléments de la liste des femelles)
- Les voisines et leurs filles de mon immeuble quand j'étais ado — j'avais trouvé une simple astuce pour leur emprunter leurs chaussures et également pour entrer chez la plus sexy d'entre elles en son absence (une autre histoire incroyable, c'est fou quand j'y pense encore)...
- Mes camarades de classe au collège et lycée — ça se passait dans le vestiaire du gymnaste lors des cours de sport. C'était la belle époque des ballerines car la génération baskets ne sévissait pas autant que de nos jours...
- Ma mère et soeurs — quand j'étais ado et habitais encore à la maison...
- La mère de mes camarades de lycée et collège — j'aillais chez eux pour jouer ou faire les devoirs, et parfois même en leur absence connaissant les astuces pour entrer chez eux lorsque leur maison/appartement était vide...
- Enfin, mes éducatrices à la maternelle — une mention spéciale pour elles — même si je n'étais pas assez mature pour spermer leurs chaussures, j'en ai quand même joui d'une autre façon car mes premiers souvenirs fétichistes sont quand j'aimais m'isoler dans le sas de l'entrée de la maternelle pour toucher et sentir les chaussures qui se trouvaient dans les casiers, dont les ballerines d'intérieur des éducatrices qui étaient absentes, mais aussi les talons, sandales et autres ballerines avec lesquelles les éducatrices présentes étaient venues à l'école