Ca m'est déjà arrivé lors du mariage d'un pote.
Pour pouvoir loger tout le monde je devais partager un lit 2 places avec un ami de mon pote qui se mariait.
On s'était déjà vu quelques fois mais sans plus. Il savait que j'étais homo et évidemment il y a eu quelques blagues salaces pour l'organisation.
De toute façon il m'a prévenu qu'il ne dormirai pas et ferai la fête.
D'ailleurs il n'était pas spécialement mon genre, mais bien viril, plus baraqué que moi, un peu plus jeune, un peu beauf aussi.
A 3h00 du mat je suis allé me coucher exténué, la chaleur de cet été là rajoutait à l'épuisement.
A 5h00, le pote déboule dans la chambre dans un bordel monstrueux et trouve enfin la place du lit pour s'écrouler dessus en plein milieu en manquant de m'écraser.
Je lui dit de se pousser un peu mais il démarre direct à ronfler et je sens que je ne pourrai plus le réveiller.
J'essaie donc en vainc de le pousser.
Et de le tirer par ses fringues puisqu'il s'est écroulé habillé.
Complètement réveillé et maintenant habitué à la semi obscurité (la lumière de la lune éclairait la pièce) je me lève en slip.
Enervé mais aussi excité de voir ce mec sans réflexe à ma disposition je décide de le déssaper.
Je commence par lui retirer ses chaussures non sans peine, puis ses chaussettes qui accrochent car humides de transpiration.
Les pieds massifs enfin à l'air exhalent une odeur chaude de chaussette qui commencent à provoquer quelques démangeaisons dans mon slip.
Comme il est sur le dos, je réussi enfin à le retourner pour défaire sa ceinture et baisser petit à petit son pantalon.
Là au sommet de ses cuisses poilues, s'échappant par la partie inférieure de son caleçon sa queue en érection semi décalotée, pas très longue mais bien épaisse. Une paire de belles couilles velues et pendantes sous l'effet de la chaleur roulent sur ses cuisses.
Cette vision me fait direct bander.
Je m'attaque à la chemise complètement trempée de sueur et pour l'enlever je dois soulever son buste et le coller contre le miens.
Son buste finalement mois poilu que je l'imaginais me couvre de sa sueur. j'effleure même son visage et ses lèvres et je respire un instant son haleine chargée d'alcool et de tabac.
Là je deviens aussi dur qu'un barreau de chaise d'autant que je sens contre ma cuisse son service 3 pièces bien moite.
Je prends du recul et observe ce corps offert, viril, dégageant une odeur bien mâle.
Là, je craque totalement et je me dis "tant pis, j'y vais, j'ai trop envie".
Je descends donc le caleçon sur ses chevilles puis le retire.
Je remonte en respirant son corps des pieds à la tête.
Puis je redescends sur la touffe de poils noirs et humide du pubis où repose maintenant son gland turgescent.
Je saisis à pleine main sa verge bien gonflée et si épaisse que ma main n'en fait pas le tour.
Je commence un lent va et vient et je le masturbe doucement jusqu'à ce que le rythme s'accélère et que le gland se trouve entièrement décalotté.
Pas de réaction significative, il ronfle toujours.
Puis je sens que sa verge se durcit un peut plus, ses couilles remontent, il écarte un peu les jambes en les remontant et mets ses bras derrière la tête.
Un filet de mouille coule sur ma main puis sur les poils qui remontent sur son nombril.
Cette odeur de mouille et de gland surchauffé me rend dingue et je m'en approche pour humer l'ensemble.
Et là, tétanisé je sens sa main saisir ma tête pour la diriger avec assurance sur sa queue.
Passé le moment de panique, ne sachant pas si il était réellement réveillé, je finis par gober son gland puis sa queue entière.
Cette fois je sens son bassin faire un va et vient et sa main l'accompagner pour que je le suce sans aucune ambiguïté à fond.
Je le sens haleter et je me saisis doucement de son paquet pour le malaxer.
Je ne m'attendais pas à cette réaction mais je le sens gémir et frémir, monsieur est apparemment très sensible des couilles...
Je continue donc le mouvement en continuant à l'astiquer dans ma bouche et malaxer et lui étirer doucement le paquet.
A ma grande surprise ses cuisses s'écartent et se relèvent un peu plus. et il saisit avec sa main la mienne qui lui palpait le paquet pour la diriger vers sa rondelle toute humide cernée par ses poils collés par la sueur.
je suis étonné mais maintenant il n'y a plus d'ambiguïté, je commence à titiller sa rondelle et bientôt j'introduis la pointe d'un doigt.
Là les râles se font plus intenses, sa queue se crispe, je rentre le doigt doucement en entier et fait quelques va et vient.
Je réalise que je suis en train de sucer cette grosse bite et de doigter ce mec bien viril.
Je sens soudain grace au doigt introduit, la crispation des premiers spasmes et j'ai le réflexe de retirer sa bite de ma bouche.
Je la reprends à pleine main et je sens le passage du foutre qui gicle et s'écrase plusieurs fois contre mon torse puis son ventre.
Il hoquette, ses jambes remontent, l'un de ses pieds se plaque sur mon visage et je mordille ses orteils crispés.
Ses mains se plaquent sur mes avant bras comme pour me stopper mais rien n'y fait, le plaisir est trop intense et je continue à le doigter plus profond et doucement en caressant sa prostate et en le branlant.
Quand les râles s'arrêtent et que je sens sa queue recouverte de foutre ramollir dans ma main je retire doucement mon doigt de son cul.
Avec quelques mouchoirs en papier j'essuie son ventre et sa queue.
Il se tourne alors en grognant, et en quelques instants les ronflements recommencent.
Je finis alors par me branler en astiquant ma queue avec le reste de son foutre que j'ai sur la main et en matant son cul et sa raie couverts de poils humides.
Je jouis rapidement et me nettoie à mon tour avec les mouchoirs.
le matin je me suis réveillé plus tôt pour me laver et récupérer mes affaires.
On s'est revu de loin au petit déj. J'ai senti qu'il m'évitait et je n'ai pas voulu le mettre plus mal à l'aise.
Mais cela reste un très bon souvenir de mariage