par bobparis »
Mer 19 Aoû 2020 10:44
y a une dizaine d'années, il n'y avait qu'un seul hôtel dans la zone naturiste du Cap d'Agde. Hôtel entièrement naturiste bien sur. J'étais venu fin juin pour un week-end. Dans l'hôtel tout le monde était a poil, génial. Ma chambre avec terrasse donnait au deuxième étage sur la piscine de l'hôtel.
Le samedi matin après mon petit déjeuner, direction piscine. Beaucoup de clients. Je trouve un transat libre autour de la piscine et m'allonge face à l'hôtel, nu comme tout le monde, non loin d'un couple d'une quarantaine d'années allongé sur le dos. A peine installé la femme prend la main de son mari et la pose sur son téton qu'il caresse avec ses doigts.la queue du mari en question commence à avoir des soubresauts et a s'étirer. Puis elle reprend cette main et la pose sur sa chatte épilée. En quelques secondes la queue de son mari se dresse et se met au garde à vous. Se décolle du ventre et le gland apparaît à moitié décalotté. Elle pose très vite une serviette le recouvrant des cuisses au torse pour cacher malheureusement cette queue en érection. Puis elle passe une main sous la serviette et commence à le masturber discrètement.
Ce spectacle ne m'a pas laissé insensible et étant moi aussi allongé sur le dos, ma queue est aussi au garde à vous, je remonte mes talons à hauteur des fesses et cache ma queue érigée et bien dure entre mes cuisses. Face a moi, de l'autre côté de la piscine je remarque alors un gars d'une trentaine d'années qui n'a lui aussi à priori rien perdu du spectacle (celui du couple, le mien?) et qui exhibe une superbe érection. Je mate sa belle queue dressée. Il se met alors dans la même position que moi pour cacher son érection, mais comme il est juste en face de moi je peux voir sa queue bandée comme il peut voir la mienne. Il me regarde. Et se caresse le gland. Ma queue devient de plus en plus dure. Je le regarde et me caresse le gland également. Il se lèche les doigts d'une main et se les passe sur le gland pour l'humecter. On reste comme ça pendant une dizaine de minutes a se mater et se caresser la queue. Mon gland commence à se mouiller de precum. Puis il se lève en rentre dans une chambre juste derrière son transat qui avait la porte fenêtre grande ouverte et me fait signe de le rejoindre.
Comme il y a beaucoup de monde autour de la piscine, pour être discret je vais dans le couloir des chambres du rez de chaussée. J'essaye de trouver sa chambre. Je vois une porte de chambre entrouverte. Je la pousse. Le gars est allongé sur son lit et se branle la queue bien exhibée et dressée. Je me rapproche et mate de près sa grosse et longue queue non circoncise, bien dure, et sa touffe de polis noirs qui recouvre ses belles couilles. Il me regarde et se branlé. Sous ma serviette nouée à la taille, ma queue forme un chapiteau. J'enlève la serviette pour la libérer et l'exhiber. Je me branle debout en lui matant la queue. On reste comme ça à se branler et se mater réciproquement. Il fait aller et venir sa main sur toute la longueur de sa queue, décalottant et recalottant à chaque fois son gros gland rouge et luisant de precum. Se caressant les couilles de l'autre main. Debout toujours je m'approche très près de lui sa main gauche attrape ma queue. Et il se met à me branler. Je lui rends la pareille me saisissant en main cette grosse, chaude et belle queue dure comme du bois. Puis il s'assied. Je m'assieds face à lui et me rapproche pour être queue contre queue. On se branle mutuellement puis queue contre queue et gland contre gland, une seule main branlant nos deux queues très dures. C'est vraiment très très bon de sentir nos deux queues et nos deux glands l'un contre l'autre.
On entend du bruit en on voit dans la chambre un autre gars qui se branle en nous matant. Il était au bord de la piscine avec sa femme tout à l'heure. Sa queue est vraiment énorme, très longue. Très épaisse et grosse avec de grosses veines. Queue et couilles rasées, circoncis. Je tends une main mais il refuse. Apparemment il veut mater sans se faire toucher ni branler par une autre main que la sienne. Il se rapproche et sa main s'empare de nos deux queues à la fois et il nous branle nos deux queues l'une contre l'autre vigoureusement. Je saisis son énorme queue très dure et le branle, l'autre gars lui caressant ses couilles rasées. On est là à se branler mutuellement et nos trois queues deviennent chacune de plus en plus dures.
Je dis que je suis prêt a éjaculer. A peine dit on crache en même temps chacun de longs jets de foutre. On se vide complètement. Génialement bon.
L'après midi je vais à la plage et mate et me fais vider les couilles dans les dunes deux fois.
La nuit suivante je suis réveillé à à peine six heures du matin par des cris et gémissements. J'ai l'impression qu'ils viennent de ma terrasse, j'ouvre la porte fenêtre, personne. Ça vient de la droite. Je regarde sur la terrasse d'à côté : ma voisine est en train de s'y faire baiser par son mari. Elle est debout penchée en avant la tête en direction du sol. Son mari la baise dehors à quelques mètres de moi, et son mari est celui qui nous a rejoint hier matin dans la chambre du rez de chaussée! Je vois l'énorme queue que j'avais en main hier matin et que j'ai fait éjaculer abondamment entrer et sortir de la chatte de sa femme qui gémit et crie.il me voit et me sourit. Je me rapproche encore et passe sur leur terrasse, Je me branle à cote d'eux les yeux rivés sur cette énorme queue qui pistonne cette chatte ouverte et que je vois entrer et sortir enduite de mouille. Une tête se penche depuis l'autre chambre certainement pour voir ce qui se passe : c'est le voisin de la piscine d'hier matin que sa femme masturbait sous la serviette. Il mate sans arrêt ma queue et l'autre queue.
Je lui fais un signe et repasse sur ma terrasse. J'entrouvre ma porte. Quelques minutes après il vient. Il saisit ma queue bien dure et la branle, je pose ma main sur cette grosse et dure queue non circoncise et le branle. Je décalotte et recalotte son gland, il mouille bien du gland. Je lui étale le precum sur le gland et le branle. Au bout d'une dizaine de minutes il éjacule contre le miroir de la chambre. Je jouis quasi instantanément dans sa main.