Grossequeuejuteuse a écrit :Salut, je me demandais qui était adepte de cette pratique. Je suis bien tenté d'en faire mais je sais pas comment faire pour que ma teub ne se voit pas trop et pour éviter de bander comme un taureau toute la journée, avec le frottement du pantalon sur ma queue. Hésité pas non plus à donnez vos annectdotes.
Salut !
Il ne faut pas confondre "
freeballing" et "
nudité totale".
En "
nudité totale" (c'est rare, sauf chez soi, chez des potes, ou dans un espace naturiste), vos parties sont totalement libres, et totalement visibles, et donc, lorsque l'on s'assoit sur un banc public : oui, vos intimes sont en contact avec une surface pas forcément propre).
Le "
freeballing" consiste à ne pas porter de sous-vêtement sous son pantalon, quel qu'il soit : pantalon large, à pinces, jeans droits (serrés), short de sport, jogging...
On peut même, éventuellement, porter un caleçon, un boxer, un slip, sous ses pantalons, mais en laissant sa queue et ses couilles (balling...) sortir du sous-vêtement, par la poche kangourou de son slip ou par la braguette de son boxer ou de son caleçon.
Ainsi, la queue et les couilles, ne sont plus enserrées dans le sous-vêtement et ballottent librement, donc au contact du textile de ses pantalons.
Sentiment de liberté, impression (vérifiée) de laisser les regards juger de la forme, de la taille de sa morphologie. On peut même ainsi laisser savoir si l'on est circoncis ou pas.
Et, bien sûr, la queue et les couilles frottent régulièrement, à chaque mouvement, sur le textile de vos pantalons.
Mais, à moins de porter des pantalons en poil de castor ou en poil de sanglier, sérieusement, le contact et même le frottement de vos couilles sur le textile, n'est fondamentalement différent du contact avec le textile de vos sous-vêtements. Certes, dans un slip ou dans un boxer, lorsque votre queue et vos boules sont bien maintenues en place, il y a contact mais pas "frottements". Avec un caleçon, il ya bel et bien contact ET frottements sur le tissu du caleçon.
Bien entendu, si l'on est circoncis, ou si l'on a pris l'habitude d'être toujours (ou presque) décalotté, les contacts et les frottements s'exercent directement sur la peau hyper-sensible du gland.
J'ai pris l'habitude, depuis quelque temps, de me décalotter en permanence.
Au début, le prépuce a tendance à reprendre naturellement sa place et à recouvrir mon gland.
Puis, à force de décalotter, mon prépuce a pris l'habitude de rester en-dessous de la couronne du gland, et ne remonte qu'exceptionnellement.
Je suis donc habitué à avoir mon gland en contact direct avec les tissus que je porte, et à être soumis aux frottements. J'y ai gagné un gland plus résistant aux frottements, et donc plus endurant aux stimulations.
Sous les shorts de sport, je suis toujours tout nu, sans sous-vêtements; ceux-ci sont très souvent équipés d'un "filet" qui fait office se slip. Donc, pas besoin de doubler le "filet" avec un slip, redondant.
S'assoir jambes écartées avec un tel short de sport, surtout s'il n'est pas muni d'un "filet" c'est clairement entrer dans un mode "exhibitionnisme".
En conclusion, je suis chez moi, quand je suis seul, presque toujours totalement à poil (donc pas "freeballing, mais "nudité totale)".
Ne pas mettre de sous-vêtements sous mes pantalons de tous les jours : j'évite, car il est plus facile de changer quotidiennement de slip que de laver ses pantalons après chaque utilisation.
Mais l'idée de "freeballing" sous mes pantalons, je l'adopte parfois, en faisant sortir ma bite ET mes couilles par la poche kangourou de mes slips ou par la braguette de mes caleçons.
Et, alors, oui, j'éprouve tous les plaisir du free balling, tout en changeant quotidiennement de sous-vêtement.