Histoires de branle (Perso ou sur le net)
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padifisher
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Histoires de branle (Perso ou sur le net)

par padifisher » Mer 22 Jan 2025 01:17

salut ajoutez tous les bonnes histoires de branle, les votres ou trouvé sur le net
que des bonnes histoires de branle ;)

padifisher
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Re: Histoires de branle (Perso ou sur le net)

par padifisher » Mer 22 Jan 2025 01:18

Sur le net : Citebeur

Avec mes potes on n’est pas pudiques entre nous. On n’a aucune gêne à se foutre à oilpé quand on est entre nous dans la douche au foot ou même simplement chez l'un de nous quand les darons ne sont pas là bien sûr. L'autre jour on est allé chez oim avec mes potes. L'appart était vide, cool on s'est foutus à oilpé direct OKLM. Mes potes m’ont demandé “wesh t’as pas un film de boule, on a envie de se vider les couilles nous”. “-Si les gars attendez j'arrive”. J’vais chercher c’ki faut sans oublier le sopalin parce qu’avec mes potes on est des gros gicleurs alors faudrait pas en foutre partout. Je mets le film, je m'installe trkl avec mes potes sur le canapé. Mes potes ont déjà commencé à s'astiquer la teub, on commence tous à bander comme des porcs quand on voit la chienne du film de boule se faire défoncer par 3 blacks. Un dans le cul, un dans la chatte et un dans la bouche. Mes potes ne se gênent pas de faire des commentaires “-ahhh la salope j’kifferais trop la baiser comme aç”. Mon autre pote lui se branle en se touchant les couilles “-oh putain les gars j’kiff trop me faire pépon en me faisant toucher les couilles, là j’kifferais trop une bonne salope comme dans le film”. On rigole bien entre potes, on ne se gêne pas, on est entre nous. D'un coup la porte s'ouvre et mon grand frère rentre avec ses potes “-alors les frérots on s’fait pas chier à c’ke j’vois, putain elle est bonne la salope les gars ça vous dit pas là de vous vider les couilles vite fait ?”. Ses potes disent oui et ils se foutent tous à oilpé comme nous et nous rejoignent sur le canapé “-allez les gars faut se serrer un peu là”. On se sert et mes cuisses nues touchent celles de mes potes poilus. On continue de se branler et on commente tous le film. Ça ne me gêne pas de me branler devant mon reuf, on s'est déjà vu à oilpé donc c’est cool, on continue tous à se branler quand les gars commencent à prendre du sopalin parce que la fumée monte. Mdr c trop bon de se branler entre mecs, on file tous les uns après les autres et on inonde le sopalin. Les couilles bien vidées mon reuf et ses potes partent au foot. En partant mon frère me lâche “-j'ai pas compris frérot, t’es devenu un homme maintenant, t’as bien changé”. On se check et il part avec ses potes. Moi avec mes potes on reste là comme des cons à oilpé. Un de mes potes lâche “-putain trop chelou de se branler avec les grands de le téci mais ça va ct cool, bon j’dois pisser mtn mdr”. On a tous envie de pisser alors on va dans la salle de bain et on se fout devant la baignoire et on lâche notre pisse de bonhomme. Depuis à chaque fois qu'on se revoit on se refait ça, c trop bon la branle entre couilles.

padifisher
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Re: Histoires de branle (Perso ou sur le net)

par padifisher » Mer 22 Jan 2025 01:52

sur un site

Salut, je m’appelle Philippe et je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée au lycée, il y a une trentaine d’années.

Nous avions tous 18 ans. Moi, j’ai toujours su que j’étais bi car, déjà à cette époque, j’aimais mater les mecs dans les vestiaires sous les douches après le sport. Mes deux camarades de l’époque s’appelaient Paul et Nicolas. On pratiquait du sport ensemble au lycée. On se retrouvait 2 ou 3 fois par semaine à l’entrainement de volley. J’aimais déjà admirer les beaux muscles des mecs qui sautaient pour lancer le ballon, les belles cuisses qui bandaient sous l’effort, les biceps qui se contractaient pour recevoir une passe.

Et bien sûr, dans les douches, je ne me privais pas de mater les beaux mecs sportifs de mon club. Ça se passait toujours pareil : on se mettait à poil, le plus naturellement du monde. On mettait notre serviette autour des hanches et on se dirigeait vers les douches communes. On accrochait notre serviette et on allumait les douches. Tout le monde parlait dans les douches, on se chamaillait un peu, et moi, je matais d’abord les culs bombés et ensuite, car ils se retournaient tous à un moment donné, les bites poilues qui dansaient sous mes yeux. Et oui... à l’époque on ne s’épilait pas. Il y en avait des petites et d’autres bien plus grosses, longues et dodues. Les corps étaient tous minces et musclés. Les mecs n’avaient vraiment aucune pudeur. Ils se douchaient et parlaient en même temps, passant leur main sur leur membre viril, l’exhibant sans aucune gêne. Ça ne gênait personne de se faire mater par les autres...

Moi, j’étais blond, de corpulence moyenne avec un petit ventre... et une petite queue, je n’étais pas très poilu.

Nicolas était grand (1,85m) et très maigre. Il avait une queue plutôt normale qui me laissait rêveur de devant. Il était très poilu, il avait des poils partout : sur le corps, les jambes, le pubis, les couilles et même dans le dos. Et il y avait Paul... il avait tout pour lui : une gueule d’ange ... et une bonne teub entre ses jambes, épaisse, marron et bien longue. Je la matais dès que j’en avais l’occasion. Elle pendait mollement sous ses couilles dodues sur lesquelles elle formait un bon arc de cercle. On devinait même un gros gland sous le long prépuce. Il faisait 1,75m et il était de corpulence normale avec sur le pubis une jolie broussaille bien velue remontant jusqu'au nombril. Je peux vous dire que ça faisait déjà bien 3 ou 4 ans que je fantasmais dessus... J’avais souvent échafaudé des plans pour lui avouer mon admiration et pour le pousser à me laisser le sucer.

En fin d’après-midi après les cours ou les week-ends, Paul, Nicolas et moi nous retrouvions ensemble. On sortait, on jouait ensemble à des jeux de société ou à des jeux vidéo, on se matait des films. Une nuit, j’avais fait un rêve. Je ne sais pas s’il était prémonitoire... mais il avait renforcé mon envie pour la belle bite de Paul. Nous étions seuls dans les vestiaires. Lui nu, moi avec une serviette autour de la taille. Il exhibait comme à son habitude son gros morceau. Il se le triturait sans arrêt sous la douche. Et il s’est mis à bander. Il me regardait bizarrement. Je me suis alors approché de lui et je me suis agenouillé devant sa bite. Ses yeux semblaient m’encourager. Je l’ai alors prise en bouche et je l’ai sucée. Lui posait sa main sur ma tête et il accompagnait mes mouvements de suce. Sa bite devenait énorme. Très vite, il m’a éjaculé dans la bouche. Je me suis réveillé en sursaut pour constater que j’avais eu une éjaculation nocturne.

Un samedi, alors que je m’ennuyais, Paul m’a appelé et m’a demandé si je voulais passer pour jouer à la console. Je me suis alors rendu chez lui avec plaisir. Quand j’ai sonné, lui et Nicolas étaient déjà en train de jouer. J’ai attendu qu’ils finissent puis nous en avons commencé une autre, ensemble. J’ai gagné une partie et on s’est alors dit qu’on pouvait faire une pause. Paul est alors allé chercher à boire. Nicolas et moi avons commencé à regarder sa collection de vidéo. On voulait en effet se mater un film après la troisième partie. Nicolas s’est soudain esclaffé et il m’a dit :

- Regarde ! Un porno !

En effet, une VSH trainait dans un coin où on voyait une femme avec de gros nichons. Nous avons alors entendu derrière nous :

- Putain ! Mon père n’a pas rangé sa vidéo ! Ça rend ma mère dingue !

- Ton père se branle devant des vidéos et ta mère est au courant !, me suis-je écrié.

C’est sorti d’un coup. J’avais déjà vu que mon père avait des films X mais il les cachait bien.

- Oui ! Regarde ! Il a toute une collection !

Paul a alors ouvert un tiroir et en effet, il y avait plein de cassettes. Nous en avons pris quelques-unes et nous les avons observées. J’ai alors remarqué que Paul portait sa main à son paquet... il s’est mis à se triturer son matos à travers son pantalon. Nicolas a fait semblant de tousser et Paul s’est alors excusé

- Désolé... je peux pas regarder ces cassettes sans vouloir me branler.

J’ai alors vu que sa queue s’allongeait et le tissu de son jean se tendait... Comme un réflexe, et en repensant à mon rêve cochon, j’ai alors senti que ma queue se mettait aussi à gonfler... Je suis sûr que Paul a remarqué les mouvements au niveau de mon bas-ventre, car il s’est remis à triturer sa bite. Il avait l’air d’avoir un sacré morceau ! Mon rêve devait avoir bien deviné ce qui s’y cachait. Nous regardant à tour de rôle, il a alors sorti sa bite qu’il a commencée à caresser. Nicolas s’est exclamé.

- Putain, tu fais quoi là ?

- Ce n’est rien... Ça ne vous dirait pas une séance de branlette entre potes...

- Quoi ?

- Ben oui ! Y a pas mal de groupes de potes qui font ça.

- Ah bon ? Qui ?

- Je sais pas...

- Comment tu sais ça ?

- Mon cousin m’a parlé de ses potes de foot avec lesquels ils se branlaient de temps en temps.

- C’est chaud, ai-je lâché !

- Cette discussion m’a trop donné la trique, a repris Paul. Je vois que Philippe, ton entre-jambe bouge aussi. Ça te dit qu’on se mate un porno ensemble.

- Oui, ai-je murmuré, après hésitation.

Paul a alors mis la cassette qui trônait sur le meuble et le film a démarré. Il a fait descendre son pantalon sur ses chevilles et il s’est assis. Je l’ai imité. Et en effet, il avait une putain de queue ! J’aurais dit 19 ou 20 cm ! Moi, avec mes 12 cm, je me sentais un peu ridicule... Paul souriait, tenant sa batte fièrement dans sa main. Nicolas nous regardait, médusé, sans bouger.

- Allez, Nicolas, viens avec nous ! On est entre mecs !

Après quelques secondes d´hésitation, il est venu s’assoir à côté de Paul qui se retrouvait au milieu. Paul a commencé à faire des va-et-vient sur sa queue. Je l’ai imité. Je bandais comme un taureau, cette situation m’excitait.

Après quelques minutes, Nicolas a finalement ouvert sa braguette et il en a sorti sa bite, tendue. Il avait une plus petite queue que celle de Paul, elle faisait 17 cm et elle était fine. Nous avons alors commencé à nous masturber les uns à côté des autres. Paul a ensuite dit :

- Allez, on se déshabille ? On sera plus à l’aise.

Nous nous sommes exécutés. J’avais vue sur deux magnifiques derrières qui étaient bien musclés. Nicolas et Paul regardaient le porno. Moi, mon regard déviait un peu et je matais leur corps et leur queue en essayant de ne pas me faire remarquer. Mais au bout de quelques minutes, Paul a ouvertement regardé nos teubs, sans rien dire, un petit sourire au coin des lèvres. Nicolas restait plongé dans le porno. J’admirais la bite de Paul. J’avais tellement fantasmé dessus... et elle était encore plus belle que ce que j’imaginais !

Au bout d’un moment, Nicolas a craché sur son gland pour ne branler que cette partie. Sur le porno, la grosse queue du mec est entrée dans la chatte de la meuf et il s’est mis à la pilonner. A ce moment, le gland de Paul a laissé échapper du precum. Il a commencé à accélérer sa branle. Moi aussi, je m’astiquais bien. Paul a été le premier à éjaculer. Il a poussé un cri et 6 jets de spermes sont sortis de sa bite. Le premier a atterri au milieu de son torse. Les autres étaient moins puissants et ils se sont écrasés sur son ventre et dans son pubis. Il a alors secoué sa queue et quelques gouttes sont venus voltigées sur mon ventre. Le contact de son sperme chaud a eu raison de moi. J’ai éjaculé. Ma petite bite a juté un jet super puissant qui a atteint mon menton. Les autres ont tapissé mon torse. J’ai compté une dizaine de jets. Je n’avais jamais joui comme ça !

Nicolas a éjaculé au bout de quelques minutes. Ses jets sont sortis de sa queue et ont coulé tout le long. Une fois finis, Paul a retiré la cassette et l’a remise à sa place. Puis, il a dit :

- C’était la première fois que je me suis branlé avec des potes. C’était vraiment bien ! Il faudra remettre ça.

Nous avons tous acquiescé. Et après, je me suis branlé plusieurs fois par jour en repensant à cette séance de branle entre potes. Nous nous sommes retrouvés les week-ends suivants et nous nous sommes masturbés à chaque fois.

Au bout de quelques semaines, l’expérience est allée un peu plus loin.

Un vendredi, après les cours, nous sommes allés chez Paul et ayant constaté que nous étions seuls, on a mis un porno. Directement, sans hésiter, on s’est tous mis à poil et on a commencé à se branler. On y avait pris gout, il me semble. On s’était même mis à faire des commentaires genre :

- Ah tu ne branles que ton gland ?

- Et toi, tu te branles sans te décalotter ?

- Tu bandes super dur aujourd’hui, non ?

Nicolas et moi nous branlions ce jour-là lentement tandis que Paul se donnait à fond. Puis à un moment, il s’est arrêté en disant :

- Putain, j’ai trop mal au bras ! Je me suis branlé ce matin et je crois que ça a du mal à venir maintenant...

- Tu veux de l’aide, ai-je dit en ricanant.

- Oui pourquoi pas !

Je l’ai regardé bizarrement. Me proposait-il que je le branle ? Sans me laisser le temps de répondre, il a pris ma main et l’a collé contre sa bite qui était un peu molle. Sans opposer de résistance, je me suis mis à le branler. Sa queue s’est mise immédiatement au garde-à-vous. Putain ! J’avais entre mes mains la queue sur laquelle je fantasmais depuis si longtemps ! Je me suis mis à l’activer. Paul a alors ajouté :

- Regarde, je bande mieux grâce à toi ! Tu veux que je te branle aussi ?

J’ai seulement fait un « Oui » timide de la tête et il s’est emparé de ma queue. Quelle sensation incroyable ! C’était la première fois que je touchais une autre bite que la mienne... et que quelqu’un d’autre que moi branlait ma teub. Nous nous branlions doucement. Nicolas ne bronchait pas, il regardait le porno. Puis, Paul s’est penché sur ma queue et il a craché dessus. Et il a repris la branle, cette fois plus rapidement. Sa bave faisait des bruits humides qui me plaisaient beaucoup. J’ai aussi accéléré le mouvement. Au bout de quelques minutes, j’ai fermé les yeux et j’ai murmuré :

- Tu vas me faire jouir.

Il a alors accéléré le mouvement. Moi, je gardais bien sa queue en main tandis que je soufflais. J’ai éjaculé de nombreux jets sur tout mon corps. Un a même atterri dans mes cheveux. Une fois fini, j’ai repris mes esprits et j’ai continué de branler Paul. Mes va-et-vient étaient plus rapides. Paul a alors saisi la queue de Nicolas qui s’est laissé faire et qui a joui très vite. Paul a éjaculé sous mes caresses appuyées. Sa bite s’est mise à tressaillir entre mes doigts et j’ai senti comment elle pompait le jus hors de la queue. Le premier jet a atterri directement entre ses pectoraux. Les deux suivants se sont écrasés sur son ventre et le dernier, le plus puissant, a volé dans ses cheveux. J’avais du sperme sur les doigts que j’ai léché discrètement sur le chemin de la salle de bain. Il avait un bon goût sucré.

Nous nous sommes ainsi branlés très souvent. Plusieurs fois par semaine. J’étais devenu accroc à leurs bites, que je rêvais même de sucer... mais je ne voulais pas gâcher le « jeu » qui devait, malheureusement pour ma bouche, rester hétéro. Jusqu’au jour où...

Depuis, on se branlait mutuellement, sans chichi. Dès qu’on mettait le porno en route, je prenais directement la bite de Paul en main qui branlait Nicolas qui lui me branlait. Le temps passant, on s’était rapproché, nos genoux se touchaient, nos jambes étaient les unes sur les autres. Il n’y avait plus de gêne.

Une fois, au début du film X, alors que la meuf suçait la grosse queue d’un Russe, Paul a dit :

- Ça doit être bien de se faire sucer la queue ! Avec ses lèvres, la meuf doit faire du bien !

- Moi, j’ai essayé de me sucer moi-même mais ma bite est trop petite, a ajouté Nicolas.

- Ah, j’ai aussi essayé... mais ça n’a pas marché non plus !

- Et toi, Philippe ?

- Non, je me suis jamais fait sucer.

Je me suis alors dit que je leur aurais bien proposé de m’occuper de leur queue. Mais je n’osais pas. Et Paul m’a alors surpris... il s’est penché sur ma bite et il l’a enfoncée dans sa bouche ! Putain, quelle sensation ! Il faisait tourner sa langue autour de mon gland. Puis, il a enfoncé ma queue dans sa bouche. Il avait le nez dans mes poils de pubis. Il a fait quelques allers-retours puis il s’est redressé en disant :

- Alors, c’était comment ?

- Putain ! C’était trop bon.

Paul me regardait alors en souriant. J’ai laissé tomber mes dernières résistance et j’ai voulu lui rendre la pareille. Je me suis mis à genoux devant lui et j’ai gobé son gros gland. Je l’ai léché et sucé. Paul gémissait fort. Il répétait :

- Ouah ! Tu fais ça trop bien !

Puis, j’ai enfoncé sa queue dans la bouche. Elle a passé mon palais puis elle a touché ma glotte. J’ai alors fait des va-et-vient. Très vite, il a dit :

- Putain, arrête, sinon je vais jouir.

Mais j’ai continué. J’ai senti sa queue se tendre et les jets se sont mis à gicler dans ma bouche et dans ma gorge. Quand sa bite s’est ramollie, je l’ai ressortie de ma bouche, j’ai léché le sperme qui restait encore sur sa queue et je suis passé à Nicolas. Je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma gorge. Lui me caressait le dos et il fermait les yeux, savourant ce nouveau plaisir. Il a joui après 10 minutes. Son premier jet est allé directement s’exploser contre mon gosier. Il a été suivi de deux autres qui ont coulé sur ma langue... et je les ai bien sûr avalés.

Ils m’ont alors branlé, Paul a même léché mes boules et ma queue et j’ai joui un geyser de sperme. J’étais tellement chaud ! Le premier jet a jailli et est parti derrière le canapé. Les 8 huit autres ont été moins puissants et ils ont tapissé mon corps, entièrement, tels une pluie de sperme.

Et après cet épisode, nous nous sommes souvent branlés et sucés ensemble. J’étais le seul qui prenait le sperme en bouche et qui l’avalait. Mais ce n’était pas grave. J’avoue que j’aurais bien aimé aller plus loin ... ce que j’ai bien sûr fait depuis, mais avec d’autres mec.

Et c’est vrai que moi j’ai toujours su que j’étais bi. J’étais tellement content de voir mes coéquipiers nus ainsi que leurs bites au repos dans les vestiaires... Et surtout, j’étais tellement heureux que Nicolas, Paul et moi ayons fini à poil en train de se branler et de se sucer.

Merci à Philippe pour ses confessions.

Ceci était une histoire réelle !

padifisher
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Re: Histoires de branle (Perso ou sur le net)

par padifisher » Mer 22 Jan 2025 02:21

ici :

la première fois c'était en internat d'été. j'avais alors 13/14 ans. Je n'avais pas été très bon à l'école l'année précédente du coup mes parents pour se "débarasser de moi" une partie de l'été m'avait inscrits dans une pensionnat d'été ou l'on pouvait rattraper les cours : tersac.

Les cours étaient sympas, mais le soir ca devenait plus interessant. Coupés du monde sans smarphones, sans internet ni meme bouquin de cul. L'atmosphere dans les dortoirs des garçons était sexualisée, même si personne ne mettait de mot la dessus, mais elle était aussi le résultat d'une discipline dure et d'un travail acharné la journée.

Nous étions par catégorie d'age dans des chambres de 8/10, mais on croisait assez facilement les autres qui allaient à la douche en serviette et qui faisaient des blagues. Je me souviens d'un mec plus vieux d'une autre chambre qui faisait une blague sur un de ses potes de chambrée en disant qu'il n'arrivait pas a bander à fond... très sexualisé.

Un soir j'ai commencé a entendre les autres s'astiquer sous les draps, petit à petit c'est devenu un rituel tous les mecs on se branlait en meme temps, on voyait dans la peine ombre les draps s'agiter, on parlait doucement pour ne pas se faire prendre par le pion, ca nous excitait grave je crois de le faire en meme temps de se raconter quand on allait venir ou "ou on en était".

Un soir le "leader" de notre chambre, alors qu'on avait tous commencé à se branler, le plus âgé qui avait le lit qui jouxtait le mien est sorti de son lit la bite à l'air et bien raide pour aller rejoindre le lit du collegue à coté. On les a entendu gémir tous les deux pendant de longues minutes, et ca aussi c'était un rituel mais qui ne les concernait que les deux. Les autres on se branlait tranquille dans nos lit pendant que les deux autres se caressaient ou peut etre plus sous les draps de l'un ou de l'autre. C'était hyper excitant d'entendre les bruits des poto, les gemissements, et de sentir les savoir chaud autour.

Plus exicitant encore, et autre histoire.

Toujours pour se débarasser de moi, mes parents sur mon choix m'avaient envoyé en colonie avec l'AROEVEN l'été suivant 3 semaines en sac à dos en Corse et tante de Saint Florent à Calvi ... intitulé je m'en souviens encore "cochon sauvage ou sanglier domestique" tout un programme.

Les réputations se font vite et rien que le trajet de Bordeaux à Marseille ou on devait prendre le bateau, je savais que je ne serais pas le plus "populaire" mais pas le dernier non plus.

Arrivé en à saint-florent, on devait faire le choix des compagnons de chambrées c'était au au tirage au sort. Je me retrouve avec un beau gosse de la colo, et un gars moins populaire que moi. On monte la tente, c'était vraiment petit, souvent les choses se font naturellement sur la base de la popularité, le BG prend le coté droit, moi le coté gauche et le mec pas populaire aura la place la moins pratique pour dormir : au milieu.

Dès le premier jour le BG ne traine pas avec mon groupe constitué de mecs et meuf un peu lambda mais avec deux frères mais un midi je les entends discuter un peu à l'écart à propos d'un concours de bite qu'ils ont fait tous les 3 il plaisantent s'en amusent d'avoir la même bite de s'est comparé d'avoir regardé la bite l'un de l'autre ... Le mec moins populaire je ne sais plus avec qui il trainait.

Dès le courant de la première semaine, on constate que la place sous la tente est vraiment petite, on se touche presque en dormant. Dès le départ aussi on sent que chacun essaye de se branler discretos sous la tente. Je me souviens même que le beau gosse me pose la question "Antoine tu fais quoi ?" je lui répond "rien ca doit etre le vent". je mens sans honte. L'habitude vient qu'on se branle dans nos duvets, puis on dort en dehors parce qu'il fait trop chaud sinon.

Mais le vrai tournant viendra du mec pas populaire du milieu, un soir de - vraiment le tout début de la colo - alors qu'on se faisait de moins en moins discrets pour se branler, le mec rallume une torche juste "pour voir ma bite" il ne me laisse pas vraiment le choix. il rallume et je vois les deux autres deja hors de leurs duvets. Il rapproche une lumière de moi pour bien voir ma teub. Je vois son visage qui se rapproche Il commence aussi à s'astiquer et le beau gosse suit aussi.

Sans me vanter je sais que j'ai la plus grosse teub, ma bite qui aujourd'hui fait 20 cm devait en faire17 à l'époque. Le beau gosse doit avoir comme le mec pas populaire (14/15). Il s'en étonnent tous les deux, en me disant que j'ai vraiment une belle teub, que j'ai de la chance. Je dois avouer que comme je la vois tous les jours, je n'avais pas spécialement remarqué.

Le soir suivant l'ambiance à changée. on se branle sans gêne avec la torche. chacun astique son manche, mais on voit clairement la bite de l'autre. Le matin dans la tente ca sent le male en rut, la nuit de baise j'aime ca ca m'excite. D'autant plus que nos fringues mal lavées dans des campings, puent un peu toutes.

On bouge pas mal d'endroits, saint florent, porto, mais à Corte les choses changent de nouveau. dèja la tente pue totalement le slip, la chausette bref le bon poto. Nos fringues qu'au début nous rangions bien sont partout là un slip là des chausettes sans plus aucune pudeur j'aime cette ambiance.

Mes deux compagnons de chambrées sont surement aussi exictés que moi à l'idée de retrouver nos branles nocturnes au milieu de ce foutras de fringues et d'odeurs sales. (mais on est encore au milieu de la colo). En fait c'est peut etre à cause de la taille de ma teub mais je sens que les deux autres sont intéressés par ma bite il veulent souvent la voir... les différences de popularité s'effacent au fil des jours au profit de la complicité de chambrée.

Bref cela change de nouveau, le mec du milieu cela fait quelques jours que je sens qu'on a plus de contacts quand on se branle, la un bout de cuisse, là un doigt sur ma cuisse, un coude... jamais a mon initiative toujours à la sienne. Un soir il reprend la torche et me dit "tu me montre ta bite ?" Je suis allongé, il se redresse, jusque là J'en avais l'habitude mais là, il s'approche avec la torche, la regarde, il approche son visage reste quelques instant, et fini par la gober ce bon poto. On ne s'était alors jamais masturbé mutuellement ni rien.

La retenue sage qui avait prévalue jusque là a été franchie, il me taille une bonne pipe... la première de toute ma vie. Visiblement le beau gosse est très excité et au bout d'une ou deux minutes lui fait signe qui lui aussi il aimerait bien se faire pépon.

De là c'est parti, tous les soirs en fait on ne reste plus dans nos duvets. Le beau gosse et moi on est a genoux dans la tente cote cote et l'autre nous suce par terre passant d'une bite à l'autre. Avec le beau gosse on se touche, on se caresse les cheveux, le torse, le dos, partout, on fini par se rouler quelques gloches pendant que l'autre nous pompe par terre. Quelques fois le mec du milieu avale nos spermes mais le plus souvent on jute sur une chaussette ou quoi.

Cela se passe comme ca tous les soirs jusqu'a là fin de la colo. La journée le beau gosse s'est rapproché d'une nana qui est une de mes potes, ils "sortent" ensemble, et se fait pépon tous les soirs.

Le dernier soir le mec du milieu nous pompe depuis un moment, comme à son habitude, on se roule des galoches avec le beau gosse, on est tous un peu triste sans se le dire parce qu'on sait que c'est la dernière fois. Le mec du milieu nous dit qu'il aimerait faire un truc spécial. on s'arrête de se carresser avec le beau gosse, et on l'écoute. Il veut qu'on jute sur son dos. Avec le beau gosse on se regarde, d'un air 'ouais pas de soucis' mais on voit pas le del.

On été dejà bien avancé dans notre branle nocturne, le mec du milieu se retourne et nous montre son dos, avec le beau gosse toujours à genoux on fini par juter sur son dos, ses épaules, son cul... il est couvert de foutre mais ca n'a pas l'air de le déranger. Nous on a fini, il se branle juste aussi et on s'endors.

padifisher
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Re: Histoires de branle (Perso ou sur le net)

par padifisher » Mer 22 Jan 2025 02:39

ici ;
J’ai grandi dans une famille naturiste. Depuis que je suis enfant on part en vacances dans différents campings naturistes dans le sud. Mon cousin, qui a un an de plus que, partais presque chaque année avec nous.
Pendant les vacances de mes 13 ans, on est parti au domaine Riva Bella. Mon cousin avait 14 ans, il était en pleine puberté : des poils sur son sexe, son sexe qui grandissait, la voix mué. La mienne débuté.
Un après-midi on était tous les deux sur la terrasse, il a commencé à parler de branlette. Il m’a dit qu’il pouvait gicler depuis presque qu’un an et qu’il le faisait régulièrement, moi j’étais super intéressé parce que je n’avais pas encore une seul fois, je pensais que j’étais en retard. Il me disait qu’il regardais du porno de temps en temps, moi j’en avais regardé une ou deux fois max. A force de parler de sexe nos deux bites étaient au garde à vous. On est rentré dans notre chambre et mon cousin a lancé un porno sur sa tablette. Puis il m’a dit « je vais te montrer c’est quoi de gicler » et il a commencé à se branler. Je l’ai vite rejoins dans son activité, on était côte à côte à poil en train de se mater nos bites. La sienne était assez grande pour son âge, dans mes souvenirs je dirais un bon 13-14 cm, elle avait des poils blonds. La mienne était plus petite environ 12 cm et quelques poils brun.
On se branlait depuis une dizaine de minutes j’étais super excité et lui aussi un moment je lui dit « t’as de la chance ta bite est super grosse » il me répond de suite « tu peux me toucher la bite si tu veux vraiment voir » . J’étais un peu choqué mon cœur battait à fond mais j’acceptais. Il retirait sa main et j’empoignais sa queue, il gémit et me dit de faire quelques vas-et-viens ce que je fis. A son temps il empoigna ma queue et la branla. Je sais pas combien de temps à duré cette branlette mutuelle mais c’était exquis.
Je sentais l’orgasme arriver et lui aussi vu ses gémissements. A ma grande surprise j’ai giclé pour la première fois de ma vie, d’abord un petit jet puis trois plus gros qui ont atterri sur mon ventre et sur sa main. Lui aussi me rejoignais dans ma gicle, des jets beaucoup plus impressionnant quatre gros qui on atterrit sur ma main, mon avant bras, qui ont recouvert son ventre jusqu’à son cou. Je ne sais pas combien de jets il envoya mais je dirais entre 5 et 10. Son sperme était visqueux, le mien un peu moins, pas encore très développé.
A la fin de cette orgasme, il sorti de la chambre pour aller dans la salle de bain et me dit « ta première giclette t’es un homme maintenant grâce a ma main ». Quand il était sorti de la chambre j’étais trop curieux j’ai goûté mon jus, goût très spécial pas tres bon en bouche, puis j’ai goûté le sperme de mon cousin, beaucoup plus visqueux en bouche un peu plus sucré, il avait meilleur goût je trouve.

Francois515
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Re: Histoires de branle (Perso ou sur le net)

par Francois515 » Mer 22 Jan 2025 05:46

padifisher a écrit :sur un site

Salut, je m’appelle Philippe et je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée au lycée, il y a une trentaine d’années.

Nous avions tous 18 ans. Moi, j’ai toujours su que j’étais bi car, déjà à cette époque, j’aimais mater les mecs dans les vestiaires sous les douches après le sport. Mes deux camarades de l’époque s’appelaient Paul et Nicolas. On pratiquait du sport ensemble au lycée. On se retrouvait 2 ou 3 fois par semaine à l’entrainement de volley. J’aimais déjà admirer les beaux muscles des mecs qui sautaient pour lancer le ballon, les belles cuisses qui bandaient sous l’effort, les biceps qui se contractaient pour recevoir une passe.

Et bien sûr, dans les douches, je ne me privais pas de mater les beaux mecs sportifs de mon club. Ça se passait toujours pareil : on se mettait à poil, le plus naturellement du monde. On mettait notre serviette autour des hanches et on se dirigeait vers les douches communes. On accrochait notre serviette et on allumait les douches. Tout le monde parlait dans les douches, on se chamaillait un peu, et moi, je matais d’abord les culs bombés et ensuite, car ils se retournaient tous à un moment donné, les bites poilues qui dansaient sous mes yeux. Et oui... à l’époque on ne s’épilait pas. Il y en avait des petites et d’autres bien plus grosses, longues et dodues. Les corps étaient tous minces et musclés. Les mecs n’avaient vraiment aucune pudeur. Ils se douchaient et parlaient en même temps, passant leur main sur leur membre viril, l’exhibant sans aucune gêne. Ça ne gênait personne de se faire mater par les autres...

Moi, j’étais blond, de corpulence moyenne avec un petit ventre... et une petite queue, je n’étais pas très poilu.

Nicolas était grand (1,85m) et très maigre. Il avait une queue plutôt normale qui me laissait rêveur de devant. Il était très poilu, il avait des poils partout : sur le corps, les jambes, le pubis, les couilles et même dans le dos. Et il y avait Paul... il avait tout pour lui : une gueule d’ange ... et une bonne teub entre ses jambes, épaisse, marron et bien longue. Je la matais dès que j’en avais l’occasion. Elle pendait mollement sous ses couilles dodues sur lesquelles elle formait un bon arc de cercle. On devinait même un gros gland sous le long prépuce. Il faisait 1,75m et il était de corpulence normale avec sur le pubis une jolie broussaille bien velue remontant jusqu'au nombril. Je peux vous dire que ça faisait déjà bien 3 ou 4 ans que je fantasmais dessus... J’avais souvent échafaudé des plans pour lui avouer mon admiration et pour le pousser à me laisser le sucer.

En fin d’après-midi après les cours ou les week-ends, Paul, Nicolas et moi nous retrouvions ensemble. On sortait, on jouait ensemble à des jeux de société ou à des jeux vidéo, on se matait des films. Une nuit, j’avais fait un rêve. Je ne sais pas s’il était prémonitoire... mais il avait renforcé mon envie pour la belle bite de Paul. Nous étions seuls dans les vestiaires. Lui nu, moi avec une serviette autour de la taille. Il exhibait comme à son habitude son gros morceau. Il se le triturait sans arrêt sous la douche. Et il s’est mis à bander. Il me regardait bizarrement. Je me suis alors approché de lui et je me suis agenouillé devant sa bite. Ses yeux semblaient m’encourager. Je l’ai alors prise en bouche et je l’ai sucée. Lui posait sa main sur ma tête et il accompagnait mes mouvements de suce. Sa bite devenait énorme. Très vite, il m’a éjaculé dans la bouche. Je me suis réveillé en sursaut pour constater que j’avais eu une éjaculation nocturne.

Un samedi, alors que je m’ennuyais, Paul m’a appelé et m’a demandé si je voulais passer pour jouer à la console. Je me suis alors rendu chez lui avec plaisir. Quand j’ai sonné, lui et Nicolas étaient déjà en train de jouer. J’ai attendu qu’ils finissent puis nous en avons commencé une autre, ensemble. J’ai gagné une partie et on s’est alors dit qu’on pouvait faire une pause. Paul est alors allé chercher à boire. Nicolas et moi avons commencé à regarder sa collection de vidéo. On voulait en effet se mater un film après la troisième partie. Nicolas s’est soudain esclaffé et il m’a dit :

- Regarde ! Un porno !

En effet, une VSH trainait dans un coin où on voyait une femme avec de gros nichons. Nous avons alors entendu derrière nous :

- Putain ! Mon père n’a pas rangé sa vidéo ! Ça rend ma mère dingue !

- Ton père se branle devant des vidéos et ta mère est au courant !, me suis-je écrié.

C’est sorti d’un coup. J’avais déjà vu que mon père avait des films X mais il les cachait bien.

- Oui ! Regarde ! Il a toute une collection !

Paul a alors ouvert un tiroir et en effet, il y avait plein de cassettes. Nous en avons pris quelques-unes et nous les avons observées. J’ai alors remarqué que Paul portait sa main à son paquet... il s’est mis à se triturer son matos à travers son pantalon. Nicolas a fait semblant de tousser et Paul s’est alors excusé

- Désolé... je peux pas regarder ces cassettes sans vouloir me branler.

J’ai alors vu que sa queue s’allongeait et le tissu de son jean se tendait... Comme un réflexe, et en repensant à mon rêve cochon, j’ai alors senti que ma queue se mettait aussi à gonfler... Je suis sûr que Paul a remarqué les mouvements au niveau de mon bas-ventre, car il s’est remis à triturer sa bite. Il avait l’air d’avoir un sacré morceau ! Mon rêve devait avoir bien deviné ce qui s’y cachait. Nous regardant à tour de rôle, il a alors sorti sa bite qu’il a commencée à caresser. Nicolas s’est exclamé.

- Putain, tu fais quoi là ?

- Ce n’est rien... Ça ne vous dirait pas une séance de branlette entre potes...

- Quoi ?

- Ben oui ! Y a pas mal de groupes de potes qui font ça.

- Ah bon ? Qui ?

- Je sais pas...

- Comment tu sais ça ?

- Mon cousin m’a parlé de ses potes de foot avec lesquels ils se branlaient de temps en temps.

- C’est chaud, ai-je lâché !

- Cette discussion m’a trop donné la trique, a repris Paul. Je vois que Philippe, ton entre-jambe bouge aussi. Ça te dit qu’on se mate un porno ensemble.

- Oui, ai-je murmuré, après hésitation.

Paul a alors mis la cassette qui trônait sur le meuble et le film a démarré. Il a fait descendre son pantalon sur ses chevilles et il s’est assis. Je l’ai imité. Et en effet, il avait une putain de queue ! J’aurais dit 19 ou 20 cm ! Moi, avec mes 12 cm, je me sentais un peu ridicule... Paul souriait, tenant sa batte fièrement dans sa main. Nicolas nous regardait, médusé, sans bouger.

- Allez, Nicolas, viens avec nous ! On est entre mecs !

Après quelques secondes d´hésitation, il est venu s’assoir à côté de Paul qui se retrouvait au milieu. Paul a commencé à faire des va-et-vient sur sa queue. Je l’ai imité. Je bandais comme un taureau, cette situation m’excitait.

Après quelques minutes, Nicolas a finalement ouvert sa braguette et il en a sorti sa bite, tendue. Il avait une plus petite queue que celle de Paul, elle faisait 17 cm et elle était fine. Nous avons alors commencé à nous masturber les uns à côté des autres. Paul a ensuite dit :

- Allez, on se déshabille ? On sera plus à l’aise.

Nous nous sommes exécutés. J’avais vue sur deux magnifiques derrières qui étaient bien musclés. Nicolas et Paul regardaient le porno. Moi, mon regard déviait un peu et je matais leur corps et leur queue en essayant de ne pas me faire remarquer. Mais au bout de quelques minutes, Paul a ouvertement regardé nos teubs, sans rien dire, un petit sourire au coin des lèvres. Nicolas restait plongé dans le porno. J’admirais la bite de Paul. J’avais tellement fantasmé dessus... et elle était encore plus belle que ce que j’imaginais !

Au bout d’un moment, Nicolas a craché sur son gland pour ne branler que cette partie. Sur le porno, la grosse queue du mec est entrée dans la chatte de la meuf et il s’est mis à la pilonner. A ce moment, le gland de Paul a laissé échapper du precum. Il a commencé à accélérer sa branle. Moi aussi, je m’astiquais bien. Paul a été le premier à éjaculer. Il a poussé un cri et 6 jets de spermes sont sortis de sa bite. Le premier a atterri au milieu de son torse. Les autres étaient moins puissants et ils se sont écrasés sur son ventre et dans son pubis. Il a alors secoué sa queue et quelques gouttes sont venus voltigées sur mon ventre. Le contact de son sperme chaud a eu raison de moi. J’ai éjaculé. Ma petite bite a juté un jet super puissant qui a atteint mon menton. Les autres ont tapissé mon torse. J’ai compté une dizaine de jets. Je n’avais jamais joui comme ça !

Nicolas a éjaculé au bout de quelques minutes. Ses jets sont sortis de sa queue et ont coulé tout le long. Une fois finis, Paul a retiré la cassette et l’a remise à sa place. Puis, il a dit :

- C’était la première fois que je me suis branlé avec des potes. C’était vraiment bien ! Il faudra remettre ça.

Nous avons tous acquiescé. Et après, je me suis branlé plusieurs fois par jour en repensant à cette séance de branle entre potes. Nous nous sommes retrouvés les week-ends suivants et nous nous sommes masturbés à chaque fois.

Au bout de quelques semaines, l’expérience est allée un peu plus loin.

Un vendredi, après les cours, nous sommes allés chez Paul et ayant constaté que nous étions seuls, on a mis un porno. Directement, sans hésiter, on s’est tous mis à poil et on a commencé à se branler. On y avait pris gout, il me semble. On s’était même mis à faire des commentaires genre :

- Ah tu ne branles que ton gland ?

- Et toi, tu te branles sans te décalotter ?

- Tu bandes super dur aujourd’hui, non ?

Nicolas et moi nous branlions ce jour-là lentement tandis que Paul se donnait à fond. Puis à un moment, il s’est arrêté en disant :

- Putain, j’ai trop mal au bras ! Je me suis branlé ce matin et je crois que ça a du mal à venir maintenant...

- Tu veux de l’aide, ai-je dit en ricanant.

- Oui pourquoi pas !

Je l’ai regardé bizarrement. Me proposait-il que je le branle ? Sans me laisser le temps de répondre, il a pris ma main et l’a collé contre sa bite qui était un peu molle. Sans opposer de résistance, je me suis mis à le branler. Sa queue s’est mise immédiatement au garde-à-vous. Putain ! J’avais entre mes mains la queue sur laquelle je fantasmais depuis si longtemps ! Je me suis mis à l’activer. Paul a alors ajouté :

- Regarde, je bande mieux grâce à toi ! Tu veux que je te branle aussi ?

J’ai seulement fait un « Oui » timide de la tête et il s’est emparé de ma queue. Quelle sensation incroyable ! C’était la première fois que je touchais une autre bite que la mienne... et que quelqu’un d’autre que moi branlait ma teub. Nous nous branlions doucement. Nicolas ne bronchait pas, il regardait le porno. Puis, Paul s’est penché sur ma queue et il a craché dessus. Et il a repris la branle, cette fois plus rapidement. Sa bave faisait des bruits humides qui me plaisaient beaucoup. J’ai aussi accéléré le mouvement. Au bout de quelques minutes, j’ai fermé les yeux et j’ai murmuré :

- Tu vas me faire jouir.

Il a alors accéléré le mouvement. Moi, je gardais bien sa queue en main tandis que je soufflais. J’ai éjaculé de nombreux jets sur tout mon corps. Un a même atterri dans mes cheveux. Une fois fini, j’ai repris mes esprits et j’ai continué de branler Paul. Mes va-et-vient étaient plus rapides. Paul a alors saisi la queue de Nicolas qui s’est laissé faire et qui a joui très vite. Paul a éjaculé sous mes caresses appuyées. Sa bite s’est mise à tressaillir entre mes doigts et j’ai senti comment elle pompait le jus hors de la queue. Le premier jet a atterri directement entre ses pectoraux. Les deux suivants se sont écrasés sur son ventre et le dernier, le plus puissant, a volé dans ses cheveux. J’avais du sperme sur les doigts que j’ai léché discrètement sur le chemin de la salle de bain. Il avait un bon goût sucré.

Nous nous sommes ainsi branlés très souvent. Plusieurs fois par semaine. J’étais devenu accroc à leurs bites, que je rêvais même de sucer... mais je ne voulais pas gâcher le « jeu » qui devait, malheureusement pour ma bouche, rester hétéro. Jusqu’au jour où...

Depuis, on se branlait mutuellement, sans chichi. Dès qu’on mettait le porno en route, je prenais directement la bite de Paul en main qui branlait Nicolas qui lui me branlait. Le temps passant, on s’était rapproché, nos genoux se touchaient, nos jambes étaient les unes sur les autres. Il n’y avait plus de gêne.

Une fois, au début du film X, alors que la meuf suçait la grosse queue d’un Russe, Paul a dit :

- Ça doit être bien de se faire sucer la queue ! Avec ses lèvres, la meuf doit faire du bien !

- Moi, j’ai essayé de me sucer moi-même mais ma bite est trop petite, a ajouté Nicolas.

- Ah, j’ai aussi essayé... mais ça n’a pas marché non plus !

- Et toi, Philippe ?

- Non, je me suis jamais fait sucer.

Je me suis alors dit que je leur aurais bien proposé de m’occuper de leur queue. Mais je n’osais pas. Et Paul m’a alors surpris... il s’est penché sur ma bite et il l’a enfoncée dans sa bouche ! Putain, quelle sensation ! Il faisait tourner sa langue autour de mon gland. Puis, il a enfoncé ma queue dans sa bouche. Il avait le nez dans mes poils de pubis. Il a fait quelques allers-retours puis il s’est redressé en disant :

- Alors, c’était comment ?

- Putain ! C’était trop bon.

Paul me regardait alors en souriant. J’ai laissé tomber mes dernières résistance et j’ai voulu lui rendre la pareille. Je me suis mis à genoux devant lui et j’ai gobé son gros gland. Je l’ai léché et sucé. Paul gémissait fort. Il répétait :

- Ouah ! Tu fais ça trop bien !

Puis, j’ai enfoncé sa queue dans la bouche. Elle a passé mon palais puis elle a touché ma glotte. J’ai alors fait des va-et-vient. Très vite, il a dit :

- Putain, arrête, sinon je vais jouir.

Mais j’ai continué. J’ai senti sa queue se tendre et les jets se sont mis à gicler dans ma bouche et dans ma gorge. Quand sa bite s’est ramollie, je l’ai ressortie de ma bouche, j’ai léché le sperme qui restait encore sur sa queue et je suis passé à Nicolas. Je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma gorge. Lui me caressait le dos et il fermait les yeux, savourant ce nouveau plaisir. Il a joui après 10 minutes. Son premier jet est allé directement s’exploser contre mon gosier. Il a été suivi de deux autres qui ont coulé sur ma langue... et je les ai bien sûr avalés.

Ils m’ont alors branlé, Paul a même léché mes boules et ma queue et j’ai joui un geyser de sperme. J’étais tellement chaud ! Le premier jet a jailli et est parti derrière le canapé. Les 8 huit autres ont été moins puissants et ils ont tapissé mon corps, entièrement, tels une pluie de sperme.

Et après cet épisode, nous nous sommes souvent branlés et sucés ensemble. J’étais le seul qui prenait le sperme en bouche et qui l’avalait. Mais ce n’était pas grave. J’avoue que j’aurais bien aimé aller plus loin ... ce que j’ai bien sûr fait depuis, mais avec d’autres mec.

Et c’est vrai que moi j’ai toujours su que j’étais bi. J’étais tellement content de voir mes coéquipiers nus ainsi que leurs bites au repos dans les vestiaires... Et surtout, j’étais tellement heureux que Nicolas, Paul et moi ayons fini à poil en train de se branler et de se sucer.

Merci à Philippe pour ses confessions.

Ceci était une histoire réelle !

Francois515
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Re: Histoires de branle (Perso ou sur le net)

par Francois515 » Mer 22 Jan 2025 05:51

magnifique récit et bandant cela me rappel ma jeunesse. j'ai eu un peu pret les meme potes

padifisher
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Enregistré le : Lun 13 Juin 2016 20:57

Re: Histoires de branle (Perso ou sur le net)

par padifisher » Lun 27 Jan 2025 15:37

Les faits que je vais vous raconter se sont déroulés la semaine dernière et m’ont décidé à me lancer en tant qu’auteur (après avoir été un lecteur assidu…). Je m’appelle Anthony, Montpelliérain de 31 ans et expatrié sur Paris depuis quelques années. Ouvertement gay, bien dans mes baskets, plutôt discret. J’adore le sport et je pratique régulièrement la natation, la boxe et la musculation en salle. Pour une première introduction, ça suffira. N’hésitez pas à me faire parvenir vos avis par mail si cette histoire vous a plu - J’en ai bien d’autres en réserve.

Après 2 semaines de congés bien mérités, je suis rentré sur Paris la semaine dernière. Qui dit retour de congés dit reprise de la routine sportive, ce qui m’avait bien manqué. Première séance à la salle de sport, je décide d’y aller tranquillement pour une reprise en douceur. Ce sera des exercices de mobilités et un peu de jambes. La salle que je fréquente est de taille moyenne avec une population d’adhérents assez variée. Ce qui me plait c’est que ce n’est pas bondé en dehors des horaires de pointe, donc en général j’essaye d’y aller le matin ou pendant la pause déjeuner. Cette fois-ci c’est presque désert, il faut dire que nous sommes à la mi-août et que c’est le milieu d’après-midi (je ne travaille pas ce jour-là). Je fais ma séance tranquillement, dans ma bulle avec mon planning d’entrainement en tête et une playlist pop dans les oreilles. Au bout d’une heure je commence à me sentir bien fatigué et je me dirige vers les vestiaires, avec la satisfaction d’avoir fait une bonne séance. J’adore le sentiment de relâchement du cops et de l’esprit qu’on ressent après un effort physique, c’est ma drogue à moi !
Les vestiaires de ma salle sont de taille modeste avec 4 rangées de casiers séparées par des bancs. Les douches sont dans le prolongement : 2 rangées de 4 cabines les unes en face des autres, avec des séparations latérales en verre flouté mais sans portes ni rideaux. Ça peut surprendre au début quand on n’est pas habitué aux douches collectives, puis finalement on s’y fait assez vite. Personnellement je ne suis pas très pudique, et puis ça me plait de savoir qu’à tout moment je peux me retrouver nu face à un gars… Là c’est mon côté mateur qui parle ! Mais pendant les heures creuses je ne croise pas grand monde dans les vestiaires et je suis souvent seul sous la douche. Il y a aussi une partie spa, dans une salle séparée des vestiaires par une baie vitrée et qui comprend un grand jacuzzi, un sauna, un hammam et 2 « douches sensorielles ». Ça ne fait pas partie de ma routine de m’y arrêter, mais cette fois-ci en passant devant ça me tente bien.

De retour à mon casier je cherche dans mon sac mais aucune trace de mon maillot de bain, j’ai dû le laisser à l’appart. Tant pis, une serviette autour de la taille fera l’affaire. Je me dirige vers l’espace spa et sans surprise, je ne croise personne. Il doit quand même y avoir quelques gars car je vois des serviettes pendues ici et là. Je commence par une douche sensorielle pour enlever la sueur et je laisse l’alternance d’eau chaude et d’eau froide détendre mes épaules. Pendant ce temps je remarque du coin de l’œil que quelqu’un vient de passer et de se mettre dans la seconde douche juste à côté. Comme pour les douches collectives du vestiaire, les 2 douches du spa sont ouvertes et sont simplement séparées par une paroi en verre. Je termine cette douche express et je remets ma serviette autour de la taille sans me sécher. Je me dirige vers le sauna et j’aperçois un autre gars en ouvrant la porte en bois. Il doit avoir la trentaine, cheveux noirs et barbe de quelques jours, bien bâti. Il porte un boxer de bain bleu foncé. On se salue et je vais m’asseoir vers le fond, histoire de ne pas me mettre juste à côté de lui. Pour être confortable j’ouvre ma serviette mais je garde un côté rabattu ma cuisse pour couvrir mon sexe. Depuis ma place j’ai une vue directe sur la porte et sur le mec, qui est sur ma droite de profil. Je me souviens l’avoir vu quelques fois déjà. Quelques minutes passent sans que nos regards se croisent, puis la porte s’ouvre et une troisième personne se joint à nous.

Je reconnais le gars qui était à côté de moi sous la douche toute à l’heure, la cinquantaine, musclé. Il a des airs de Dirk Caber, ce qui n’est pas pour me déplaire au contraire ! Pour le coup lui je le vois très souvent s’entrainer. Il s’installe sur ma gauche et enlève totalement sa serviette pour s’asseoir dessus. Du coin de l’œil j’ai pu voir sa queue, assez longue, mais surtout très épaisse, sans aucun poil. Il change de position plusieurs fois et je saisis chaque opportunité pour le mater un peu plus. Il faut dire qu’il est bien bandant avec son corps musclé et tout en sueur ! Je vois que le mec à ma droite le regarde de temps en temps, mais sans plus. J’essaie de ne pas me faire de films dans ma tête pour éviter une érection et après quelques minutes je ne supporte plus la chaleur et je sors pour prendre une douche froide.

Quelques minutes passent et je décide de faire un dernier passage au sauna avant de rentrer. Je m’installe à la même place. Les deux autres mecs n’ont pas bougé. Pourtant je sens comme une tension dans l’air, et j’ai l’impression d’avoir interrompu quelque chose. Je regarde le mec sur ma droite, il a les deux mains posées sur son paquet. C’est suspect. Je sens les battements de mon cœur s’accélérer. A ce moment il se lève pour sortir, et c’est la confirmation : il a clairement une érection qui déforme son maillot ! Ça lui fait une belle bosse qui part vers le bas, bien visible dans son boxer trempé de sueur. Je ne peux pas m’empêcher de mater et je sens un frisson d’envie me parcourir le corps. Il s’en va rapidement – dommage ! Je me retrouve seul avec le gars sur ma gauche que je suspecte être à l’origine de ce départ en vitesse.

Je jette un regard furtif et je suis sûr que sa bite a pris du volume. Il ne cherche pas à le cacher, ce qui m’excite encore plus. Je dois mettre une main sur mon paquet pour dissimuler comme je peux mon érection sous ma serviette. Je suis tiraillé entre l’envie de provoquer quelque chose et la peur de se faire surprendre à tout moment. Je n’ai pas le temps de me décider que monsieur se lève, sans sa serviette. Il se dirige vers le sablier accroché à côté de la porte et le retourne. J’ai une vue directe sur ses fesses et tout son corps. Soit le mec est très à l’aise, soit c’est une invitation à le mater ! Il reste planté là, le regard fixé sur le sablier. Puis il se retourne et je me retrouve face à lui. Mon regard se porte directement sur sa queue. Elle a l’air lourde, bien épaisse. Il n’a qu’un début d’érection et pourtant je la trouve déjà impressionnante. Je lève mes yeux et nos regards se croisent. Mon cerveau gèle pendant un instant sous le coup du stress et de l’excitation. J’essaie de sourire pour lui faire comprendre que j’apprécie la vue. Lui :
« Elle te plait ?
- Oui pas mal…
- Tu veux la toucher où toi aussi tu vas partir en courant ?
- Ah je me disais bien que j’avais interrompu quelque chose tout à l’heure !
- Peut être oui… »
Il se rapproche de moi lentement et je tends ma main vers sa queue pour la saisir. Elle est lourde, chaude. Je fais des mouvements de va-et-vient tout doucement et je la sens grossir dans ma main. Je m’applique pour faire des mouvements sur toute la longueur et lui accompagne mon geste avec des mouvements de bassin. Lui : « Enlève ta serviette et touche-toi aussi. Par contre faut qu’on soit rapide ». Je m’exécute avec plaisir. Entre la chaleur du sauna et la scène qui est en train de se dérouler, j’ai l’impression que je vais exploser. Je continue de le branler jusqu’à ce qu’il bande totalement. Sa queue est si lourde qu’elle ne se dresse pas beaucoup. Je mets de la salive sur ma main pour lubrifier son membre et rendre le mouvement plus fluide. Il a l’air de bien kiffer ça ! Je pourrais déjà éjaculer tellement je suis excité alors j’arrête de me branler et pose une main sur son torse pendant que je continue mes va-et-vient sur sa queue. J’en profite pour serrer ses pecs bien musclés. « J’ai l’air de te plaire hein ? » me dit-il avec un sourire coquin. En guise de réponse je baisse la tête et prends son membre dans ma bouche. Je commence à sucer son gros gland en mettant beaucoup de salive. Je sais déjà que je n’arriverai pas à la prendre entièrement alors je continue de le branler pendant que je passe des coups de langue sur l’extrémité de sa queue. Il commence à gémir de plaisir et intensifie ses mouvements de bassin. Je passe une main sur son pubis totalement rasé. Je suis plutôt attiré par les mecs poilus, alors ça me change. Je termine ma fellation en m’assurant de laisser le plus de salive possible pour la branle finale. Lui est toujours debout, moi assis face à lui. Je prends sa queue avec mes deux mains et je serre. Je relâche la pression, puis je serre de nouveau. Je vois dans son regard qu’il adore ça alors je serre encore un peu plus tout en le branlant. Moi je n’en peux plus, je me branle frénétiquement et j’en fais de même avec sa bite au bord de l’explosion. Je sens que ça vient et j’éjacule partout sur mon ventre et mon torse et cette vue le fait partir lui aussi. Je sens sa bite se contracter et les jets de sperme remonter. Il lance des gémissements sourds. J’en reçois sur la barbe, le torse, j’ai en plein les mains. Je continue de le branler fort jusqu’à ce que son corps se plie sous les spasmes de plaisir. Pendant quelques secondes on reste sans bouger, haletants, le corps en sueur. Le contexte ne nous laisse pas plus de temps pour savourer l’instant et j’utilise ma serviette pour essuyer les traces de nos ébats sur mon corps. Lui se rassoit sur sa serviette pour reprendre son souffle, et moi je file sous la douche après lui avoir dit à bientôt.

Malgré une douche froide je n’ai pas arrêté de bander sur le trajet de retour, et j’ai dû me branler une autre fois en rentrant chez moi, incapable de penser à autre chose que ce qu’il venait de se passer.

monuty
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Re: Histoires de branle (Perso ou sur le net)

par monuty » Lun 27 Jan 2025 17:37

Je me souviens de ma première branle c'était avec un cousin
En vacances chez lui on était dans sa chambre il me montrait des magazines de cul qu'il avait
On était tous les 2 bien excités
Un moment il me demande si je me suis déjà branlé
Je lui dis que non je ne sais pas ce que c'est
J'avais 12 ans et lui devait avoir 15 ou 16 ans
Il me dit vient on va dans le salon on s'installe dans le canapé et il lance un film porno sur la télé
Première fois que je matte un porno c'était génial
Un moment il me dit vas-y on se déshabille
On baisse chacun son pantalon et son boxer
Moi j'ai encore une petite queue elle est toute raide
Lui a une queue beaucoup plus grosse et grande que moi, bien développée idem pour ses couilles
Il me montre bien sur sa queue comment il faut faire des va et vient
Je suis hypnotisé par sa queue je la matte plus que le film
Un moment il m'explique que la couronne du gland est très sensible de fait le tour de mon gland avec son doigt pour me montrer
C'est hyper bon
On se branle pendant une dizaine de minutes et il me dit qu'il va éjaculer
Je continue de bien regarder sa bite et sa main qui monte et descend
Il me dit regarde ça vient et il éjacule plusieurs gros jets de sperme sur son ventre j'ai l'impression que c'est une fontaine !
Moi je n'ai pas éjaculé mais j'ai eu l'impression quand même d'avoir un orgasme tellement c'était excitant !

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