padifisher a écrit :Bonjour à tous, voilà je me lance à mon tour après m'être délecté des histoires de ce site depuis déjà un bon moment.
Je me présente, je m’appelle « C », j’ai 37 ans, bien foutu, je fais pas mal de sport, tête rasée, yeux bleus, tatoué, une bonne queue de plus de 19cm, belles lèvres et vis à Paris depuis quelques années à présent mais j’ai grandi en Bretagne.
Cette première histoire se passe quand j’étais adolescent. Mon cousin et moi étions sur le lit de mes parents en train de regarder la télévision. Mon cousin avait quelques années de plus que moi. On était donc en train de mater la TV et il n’y avait pas grand chose. Je commençais à m’emmerder sec. Là, je commence à emmerder mon cousin qui lui a l’air d'apprécier le programme. Je le regarde avec un air de petit con et lui dis :
— J'ai pas assez de place, et commence à le pousser.
Il me dit que je suis chiant, ce qui me fait marrer. Je continue à le pousser comme je peux car il est bien plus fort que moi. Et là on commence une partie de lutte. Lui était en plus très sportif, il faisait du foot et avait une masse musculaire bien développée. La baston commence mal pour moi. On entame un corps à corps et là, je me fais expulser du lit. En sueur et un peu nerveux, je saute de nouveau sur le lit et regarde mon cousin et lui dis :
— Allez, allez, viens ! Tu me fais pas peur ! Je vais te défoncer !
Il est mort de rire. On se chope les mains, j'essaye d'avoir le dessus ; ça ne marche pas. Je tombe sur le lit. Je passe les jambes autour de lui et j'ai des jambes assez musclées. Je commence à serrer de toutes mes forces. Il ne peut plus respirer et a un peu mal. Il lâche la prise et je le pousse au sol. Il me regarde et est mort de rire. On est tous les deux en sueur et on respire comme des bœufs. Il remonte sur le lit et me dit :
— Cette fois, je ne vais plus me laisser avoir par ta prise.
Et là, on se saute dessus. J'essaie la même technique mais je n'y arrive plus. Il me jette en 2 sec. Je suis super énervé. Je lui saute directement dessus. Je suis comme un jouet dans ses mains. Ça me met en rage ! J'essaie de le tenir le plus possible pour ne pas me retrouver à terre. Putain, je suis mort de fatigue et je sens que je perds mes prises. Alors dans un geste désespéré, je lui choppe le paquet et serre. Il lâche tout immédiatement. Il est à ma merci. Et je l'expulse direct. Là, il reste au sol et se tient les couilles. Il me dit :
— Putain, c'est pas du jeu C.
Je lui réponds avec mon air de petit con :
— Ben attends, t'es plus fort que moi. Il faut bien jouer avec ses armes !
Il me répond que c'est de bonne guerre. Là, je pensais qu’il n’allait plus vouloir jouer, mais il remonte sur le lit et me dit :
— Ok ! Je vois que tous les coups sont permis.
Là il se remet à quatre pattes et me regarde comme une bête sauvage, avec la rage dans les yeux. Ça ne rigole plus. On est comme des dingues l'un sur l’autre, on respire comme des bêtes. On est trempé de sueur, j'essaie de lui rechopper les couilles mais il se tord dans tous les sens pour que je ne puisse pas. Ma prise ne tient jamais. On continue à se battre. Nos corps sont emmêlés et je pense que sous l'action de mes différentes prises de main et frottement de corps à corps, je sens la queue de mon cousin devenir super dure. Je ne me démonte pas. Je lui chope sa queue et lui serre le plus fort possible. Putain ! Elle est énorme, mes doight en font à peine le tour. Je lui serre et lui tords pour avoir le dessus. Il n'arrive plus à bouger tellement je lui tiens bien la queue. Je lui dis :
— Putain t'as la trique !
Il me répond :
— Ben ouais, à force de la tripoter, ça fait toujours ça !
On se regarde tous les deux avec un sourire et je le pousse du lit. Il se relève et clairement, son froc est déformé par la forme de sa queue, il bande comme un âne. À travers le survêt, je peux deviner un membre énorme. Mon cousin a une queue de ouf. Moi aussi je commence à bander, j'avoue, tellement la vue et le fait de l'avoir tenue dans ma main m'ont excité. On recommence à se battre.
Mon cousin me choppe la queue et j'en fais de même. On continue tous deux à se battre avec les queues raides à la dispo de l'autre. Ma curiosité est à son paroxysme, j'ai envie de voir cette queue. Alors pendant une prise, je passe ma main entre l’élastique du jogging et son ventre et je sens le gland de mon cousin, bien rond, bien gros et super humide. Il me fait pivoter, ma main se dégage et je tombe au sol. Il a le gland et une partie de son manche sortis. Il ne la range pas. Il me regarde la queue à moitié dehors et me dit :
— Pas le droit de remettre un vêtement enlevé ou de toucher à quoi que ce soit. Et le prochain qui tombe a un gage ? Tu es ok ?
— Ok !
Les hostilités recommencent, ça dure un bon moment et je lui baisse le froc. Il a la bite et les fesses à l’air. Putain ça sent le mec. Il a les genoux ceinturés par son pantalon. C'est plus facile pour moi. Alors je le pousse avec mes jambes. Il est au sol. Il remet son pantalon et me demande quel est le gage. Je ne sais pas trop quoi dire, je n'ose pas trop, c’est la première fois que je fais ça. Je luis dis :
— Je veux voir ta bite de près pendant deux minutes.
Alors il se plante devant moi et me dit :
— Vas-y, baisse mon slip.
Alors sans aucune délicatesse, je luis tire le pantalon et le slip d'un coup ; sa queue saute devant mon nez. Elle est énorme, dans les 17 ou 18cm mais super épaisse. Un gland de bonne taille et une odeur de mâle. Je n'ose pas y toucher. Merde, j'aurais dû mettre ça dans mon gage. Et là, par miracle, mon cousin me dit :
— Tu peux la toucher si tu veux.
Comme je ne veux pas qu'il me prenne pour un pédé, je n’ose pas la prendre en main. Alors je le regarde et lui donne des claques sur la queue. Il me dit :
— Doucement ça latte. Fais gaffe ! Deux minutes, allez ! Je veux ma revanche.
Là, les chose vont vite, pas le temps de faire grand chose ; je suis à terre. Je suis à sa merci.
— Alors tu veux quoi ?
— Faire ce que je veux de ta bite pendant deux minutes moi aussi.
Je m'étais peu tripoté surtout mais jamais vraiment trop branlé. Il empoigne ma bite qui à l'époque n’était pas aussi grosse qu'aujourd'hui. Et il la décalotte doucement. C'est trop bon d'avoir une main sur ma queue. Il commence des va-et-vient.
— Fffffh !
J’essaie de rester calme mais c’est délicieux cette sensation. Merde les deux minutes sont terminées. Il me dit qu’il n’a plus trop envie de se battre. Je suis assez dessus. On bande toujours tous les deux. Il me demande :
— Tu as déjà vu un film de cul ?
— Oui !
Merci les K7 de cul que mes parents cachaient...
— Tu as vu les gens comment ils baisaient ?
— Euh oui ?!
— Tu sais, il font semblant dans les films érotiques ?
— Ben oui je sais.
— Ça te dirait que l’on fasse semblant ?
- Euh si tu veux.
Et là il me grimpe dessus et commence à se frotter contre moi en faisant semblant de gémir. J’avoue que je ne comprenais pas trop. Mais au moment où il a pris ma queue en main, j'ai su que je pouvais en faire de même. On a commencé à se branler l’un sur l’autre, nos queues se frottaient. Je sentais la chaleur de sa bite sur ma queue et mon ventre et ses couilles taper sur moi. C’était très excitant ! On a joué comme ça un bon moment. Quand un bruit retentit, il a alors rangé sa bite et est parti, on m'a jamais recommencé.
Après cette expérience, je me suis branlé d’autres fois avec des potes lors de soirées. Mais ça. c’est une autre histoire.
Lui est à présent marié avec des enfants.
dommage !! t'aurais pu continuer avec lui , vous avez l'air de vous etes bien compris cette journée là !
