Scénario Sturbe entre père et fils
Pour les hommes qui aiment la branle comme moi avec jeunes mecs (fils).
Créé par Marcus77

10/05/2025 11:22

Qui est vrai papa pour me parler de tout et fantasme et inceste


10/05/2025 11:16

Yo

Des papas pour réel ou virtuel?

Ch fiston snap Loic111213


08/05/2025 23:25

Je remonte mon récit branle suce réel avec mon père pour certains.

C'était un mercredi après-midi, ma mère était au travail et ma soeur dans une grande école à Paris. J'avais à l'époque 13 ans. Mon père avait l'habitude de faire la sieste après manger. J'avais envie également ce jour-là de faire de même. Je me couchai à ses côtés en pyjama. Lui était torses nu et en slip. Au bout de 5mn je sentis sa main se poser sur mon paquet sur mon pantalon. Il se mit à me caresser bien comme il faut et tendrement. Je ne tardais pas à bander, j'aimais ce moment (après toutes ses années rien que d'en parler j'en bande encore). Il passa sa main chaude sous mon pantalon. Pris ma jeune queue dur dans sa main. Se mit à me masturber doucement. Souleva le drap et la couverture d'un grand geste.Il fit descendre mon pantalon, je voyais maintenant ma queue dans sa main qui faisait des va-et-vient. J'avais déjà surpris mon père se branler seul sur son lit. Sans être vu bien sûr, je faisais souvent cela aussi mais seul dans mon coin.Peu de temps après il enleva son slip et vit jaillir sa queue bien raide et veineuse me demanda si je voulais la prendre en main. Chose que je n'hésitai pas à faire et me mis à mon tour à le branler longuement.Pendant ce temps, il commença à prendre ma bite dans sa chaude bouche. La prit entièrement et me suça jusqu'au jus chaud qu'il prit en bouche et avala.Il me demanda si je voulais lui faire de même. Mais je n'ai pas voulu, son gros membre m'impressionnait un peu. C'était la première fois que je voyais un sexe d'adulte de plus en érection.Il me demanda plus tard si je voulais qu'il me pénètre. Mais là je n'ai pas voulu. Il n'avait pas insisté et compris ma réaction. Lorsque nous avons fini notre affaire il me caressa encore un peu le torse et mon bas-ventre. Nous avons eu cette relation uniquement deux fois. La troisième fut fatale, grillée un soir de gros orages par ma mère. Deuxième coup d'orage lol ce fut la fin de cette relation que je ne regrette toujours pas. N'en déplaise à certains qui diront peut-être que c'était de l'inceste. Mais je n'ai jamais refusé cela.

09/05/2025 22:19

Francois515 : mm c bandant


Papa ? Je suis bourré

SNAP : eitan_bst


05/05/2025 15:33

Papa pour fiston sur Paris (que du réel !)


04/05/2025 13:11

Qui pour branle cam perv sur Tg? Dm

DiJON discret

Défoncé par les Frères et Leur Père à la Queue XXL

MON TWITTER X : https://x.com/lopenordisere

C’était l’été indien, début septembre, une chaleur moite qui collait à la peau. J’avais 22 ans, un corps mince mais musclé par le sport, et je traînais chez un pote du lycée, Lucas, un mec cool avec qui je passais des heures à jouer à la console. On était affalés dans son salon, torse nu, en short, la sueur perlant sur nos pecs à cause de la canicule. La télé crachait les bruitages d’un jeu de combat, et l’ambiance était détendue, presque trop. Jusqu’à ce que tout bascule dans une spirale de vice que je n’avais jamais osé imaginer.

Vers 16h, la porte du salon s’est ouverte, et le frère aîné de Lucas, Théo, a débarqué. Une vingtaine d’années, un mètre quatre-vingt-dix de muscles saillants, des cheveux noirs en bataille et un regard de prédateur. Il sortait de sa chambre, vêtu d’un simple caleçon gris, moulant, qui ne laissait rien à l’imagination. Son torse était couvert d’une fine toison, et ses biceps roulaient à chaque pas.

J’ai buggé, la manette en main, incapable de détacher mes yeux de ce dieu vivant. Il nous a jeté un vague “salut” avant de filer vers la cuisine, son cul parfait dansant sous le tissu. Lucas a mis le jeu en pause, et j’ai bafouillé un “il est cool, ton frangin”. Il a haussé les épaules, habitué, mais moi, j’étais déjà ailleurs, la tête pleine d’images salaces.
Quand Théo est revenu, une canette à la main, j’ai cru halluciner. Son caleçon était tendu par une bosse énorme, une érection à peine contenue qui semblait me défier. Il m’a fixé, un sourire en coin, et m’a gratifié d’un clin d’œil discret mais sans équivoque. Mon cœur s’est mis à cogner, et ma queue a réagi dans mon short. J’étais grillé : ce mec savait que je le kiffais, et il en jouait. Sans réfléchir, j’ai lâché à Lucas : “Pause, mec, faut que j’aille pisser.” Il a hoché la tête, se levant pour aller chercher des sodas. Moi, j’avais autre chose en tête. Au lieu de filer aux chiottes, j’ai gravi l’escalier, le sang pulsant dans mes tempes. La porte de la chambre de Théo était entrouverte, comme une invitation.
Je l’ai poussé doucement, et là, putain, le choc. Théo était vautré sur son lit, nu, une main autour de sa queue. Et quelle queue ! Un monstre de 22 centimètres, épais, veiné, avec un gland rouge et luisant de précum. Ses couilles, lourdes et poilues, pendaient entre ses cuisses musclées. Il m’a vu, un sourire de loup sur les lèvres, et a grogné : “T’attends quoi, petit ? Viens t’amuser.” J’étais comme possédé. Sans réfléchir, j’ai balbutié : “Je… je peux te sucer ? Vite, Lucas va m’attendre.” Il a ri, un rire grave, et m’a fait signe d’approcher. “Je t’attendais, petite salope.”
Je me suis jeté à genoux devant lui, hypnotisé par cette bite énorme. L’odeur était forte, un mélange de sueur, de musc et de sexe brut. J’ai léché son gland, salé, glissant, avant d’engloutir sa queue. Elle était trop grosse, étirant mes lèvres à la limite de la douleur, mais je m’en foutais. J’ai pompé comme un affamé, bavant, gémissant, pendant qu’il me traitait de “bon suceur” et enfonçait sa bite plus loin dans ma gorge. Ses mains agrippaient mes cheveux, guidant mon rythme. En à peine deux minutes, il a grogné, ses couilles se contractant, et un flot de sperme brûlant a explosé dans ma bouche. J’ai tout avalé, pas le choix, le goût âcre et épais me faisant tourner la tête. “T’es doué, gamin,” a-t-il murmuré, me caressant la joue.

J’étais dans un état second, à la fois excité et mal à l’aise. J’ai essuyé ma bouche, mais des traces de sperme collant au coin de mes lèvres m’ont trahi. J’ai filé en bas, espérant reprendre mes esprits. Lucas m’attendait sur le canapé, deux sodas posés sur la table. Il m’a regardé, plissant les yeux. “C’est quoi, ça, au coin de ta bouche ?” J’ai viré écarlate, incapable de répondre. Il a éclaté de rire, un rire moqueur mais chargé de sous-entendus. “T’as sucé mon frangin, hein ? Sale petite pute.” J’étais mort de honte, mais il m’a attrapé par le bras. “Suis-moi.”

On a grimpé dans sa chambre, et là, tout a dégénéré. Lucas a baissé son short, révélant une queue respectable, pas aussi monstrueuse que celle de Théo, mais bien raide. “À mon tour, suce.” J’étais trop loin pour reculer. Je me suis mis à genoux, encore secoué par ma pipe d’en haut, et j’ai pris sa bite en bouche. Il était moins brutal que son frère, mais tout aussi dominateur, me tenant la tête pendant que je le pompais. Il gémissait, me traitant de “chienne” et de “vide-couilles”. Puis, il m’a relevé, m’a retourné et m’a plaqué sur son lit, à quatre pattes. “T’as sucé Théo, maintenant tu vas prendre ma queue dans ton cul.”
Il a craché sur mon trou, l’enduisant de salive, et a poussé son gland contre moi. La douleur m’a fait grimacer, mais j’étais tellement excité que je me suis cambré, l’invitant à aller plus loin. Il m’a enculé d’un coup sec, me faisant crier. “T’aimes ça, hein ?” grognait-il, me pilonnant sans ménagement. Son lit grinçait, et moi, j’étais perdu dans un mélange de douleur et de plaisir, mon cul s’ouvrant à chaque coup de reins. Il a joui vite, déchargeant dans mon cul, son sperme chaud coulant entre mes cuisses.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Alors qu’on reprenait notre souffle, la porte s’est ouverte avec un grincement. Un homme immense, la cinquantaine, se tenait dans l’encadrement. Leur père. Une armoire à glace, torse velu, barbe grise, et un regard qui vous transperce. Il portait un jogging, mais la bosse qu’il arborait était indécente. “C’est quoi ce bordel ?” a-t-il tonné, mais son ton était plus curieux que fâché. Lucas a bafouillé, mais moi, j’étais hypnotisé. Le père a baissé son froc, révélant une queue XXL, un véritable gourdin de 25 centimètres, épais comme une canette, avec des couilles poilues, énormes, pendantes, qui semblaient prêtes à exploser. “T’aimes les queues, gamin ? Alors viens voir le patron.”

J’étais tétanisé, mais mon corps a obéi. Je me suis approché, à genoux, et j’ai pris son monstre en bouche. C’était impossible à avaler entièrement, mais j’ai fait de mon mieux, bavant, gémissant, pendant qu’il grognait des “putain, t’es une bonne salope”. Ses couilles tapaient contre mon menton, lourdes, odorantes. Théo, qui avait entendu le vacarme, nous a rejoints, sa queue déjà raide. “On va le défoncer, papa.” Et c’est ce qu’ils ont fait. Lucas m’a repris en levrette, pendant que le père enfonçait sa bite dans ma gorge, me faisant suffoquer. Puis ils ont échangé. Le père m’a retourné, m’a écarté les cuisses et m’a enculé à cru, son gourdin déchirant mon cul déjà sensible. La douleur était insoutenable, mais le plaisir était encore plus fort. Il me baisait comme un marteau-pilon, ses couilles poilues claquant contre mes fesses, pendant que Théo me forçait à le sucer.

J’étais leur jouet, leur pute, et j’adorais ça. Le père a joui le premier, un torrent de sperme inondant mon cul, dégoulinant sur le lit. Théo a suivi, giclant sur mon visage, et Lucas a fini en se branlant sur mon torse. J’étais couvert de leur jus, épuisé, mais dans un état d’extase totale. Le père m’a tapé l’épaule, un sourire satisfait. “T’es un bon coup, gamin. Reviens quand tu veux.”

Toute l’année, ça a continué. Lucas et moi baisions dès qu’on pouvait, souvent rejoints par Théo. Le père, lui, était plus rare, mais chaque fois qu’il me prenait, c’était une leçon de domination. Cette première journée a réveillé la salope en moi, et je n’ai plus jamais regardé en arrière.

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