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Créé par padifisher

Branle entre potes
Histoire gay publiée le 10/12/2018
Avec mes potes on n’est pas pudiques entre nous. On n’a aucune gêne à se foutre à oilpé quand on est entre nous dans la douche au foot ou même simplement chez l'un de nous quand les darons ne sont pas là bien sûr. L'autre jour on est allé chez oim avec mes potes. L'appart était vide, cool on s'est foutus à oilpé direct OKLM. Mes potes m’ont demandé “wesh t’as pas un film de boule, on a envie de se vider les couilles nous”. “-Si les gars attendez j'arrive”. J’vais chercher c’ki faut sans oublier le sopalin parce qu’avec mes potes on est des gros gicleurs alors faudrait pas en foutre partout. Je mets le film, je m'installe trkl avec mes potes sur le canapé. Mes potes ont déjà commencé à s'astiquer la teub, on commence tous à bander comme des porcs quand on voit la chienne du film de boule se faire défoncer par 3 blacks. Un dans le cul, un dans la chatte et un dans la bouche. Mes potes ne se gênent pas de faire des commentaires “-ahhh la salope j’kifferais trop la baiser comme aç”. Mon autre pote lui se branle en se touchant les couilles “-oh putain les gars j’kiff trop me faire pépon en me faisant toucher les couilles, là j’kifferais trop une bonne salope comme dans le film”. On rigole bien entre potes, on ne se gêne pas, on est entre nous. D'un coup la porte s'ouvre et mon grand frère rentre avec ses potes “-alors les frérots on s’fait pas chier à c’ke j’vois, putain elle est bonne la salope les gars ça vous dit pas là de vous vider les couilles vite fait ?”. Ses potes disent oui et ils se foutent tous à oilpé comme nous et nous rejoignent sur le canapé “-allez les gars faut se serrer un peu là”. On se sert et mes cuisses nues touchent celles de mes potes poilus. On continue de se branler et on commente tous le film. Ça ne me gêne pas de me branler devant mon reuf, on s'est déjà vu à oilpé donc c’est cool, on continue tous à se branler quand les gars commencent à prendre du sopalin parce que la fumée monte. Mdr c trop bon de se branler entre mecs, on file tous les uns après les autres et on inonde le sopalin. Les couilles bien vidées mon reuf et ses potes partent au foot. En partant mon frère me lâche “-j'ai pas compris frérot, t’es devenu un homme maintenant, t’as bien changé”. On se check et il part avec ses potes. Moi avec mes potes on reste là comme des cons à oilpé. Un de mes potes lâche “-putain trop chelou de se branler avec les grands de le téci mais ça va ct cool, bon j’dois pisser mtn mdr”. On a tous envie de pisser alors on va dans la salle de bain et on se fout devant la baignoire et on lâche notre pisse de bonhomme. Depuis à chaque fois qu'on se revoit on se refait ça, c trop bon la branle entre couilles.

1 | La poutre

Je m'appelle Yohan. Yohan Essel. Je suis hétérosexuel, marié depuis près de douze ans avec Marion, de trois ans ma cadette. Nous avons un petit Lucas.

Je suis maître-nageur sauveteur dans une grande ville des Alpes Maritimes. L'histoire que je vais vous conter dépasse tout entendement. Parfois, j'ai du mal à y croire, au point de me demander si je n'ai pas rêvé tout ce qui m'est arrivé...

Mais laissez-moi d'abord me décrire. Je mesure 1m83. Cheveux blonds coupés courts, de jolis yeux bleu qui font des ravages auprès de ces dames et une légère barbe ambrée, histoire d'accentuer mon côté macho. (un peu le même look que le regretté Paul Walker)

Côté physique, je suis de constitution solide avec 88 kg sur la balance. J'ai la chance de posséder un torse long et nerveux avec des pectoraux bien larges et des abdominaux en béton. À trente-cinq ans, il me reste encore de beaux restes. Ancien champion de natation, je continue d'aligner les bassins, ce qui me confère une condition physique irréprochable.

Mais trêve de bavardages... Retournons là où tout a commencé.

...

Chaque jeudi nous accueillons les classes de terminale du lycée de la ville. Des jeunes entre 18 et

20 ans.

Perché au sommet de ma chaise de surveillance, je les observe s'agiter dans l'eau. Je suis obligé de rappeler à l'ordre les plus turbulents.

Justement, l'un deux vient de chuter sur le carrelage. Il se tient le haut de la cuisse. Il me faut

l'emmener à l'infirmerie. C'est une pièce exiguë, un peu sombre avec une table de soin et une armoire à pharmacie.

Je demande au jeune homme de s'asseoir sur la table. Ses pieds pendent dans le vide. Il se tient la cuisse droite, juste en dessous de l'aine. J'analyse tout de suite les symptômes: une tendinite au niveau des adducteurs.

Je m'accroupis au niveau de son entrejambe. Je lui palpe la zone endolorie. Il grimace de douleur. Dès que j'appuie un peu fort, il écarte les cuisses par réflexe. Sans m'en rendre compte, je me retrouve le nez à quelques centimètres de la naissance de son sexe. J'ai sous les yeux, ses grosses boules emprisonnées dans son maillot de bain bleu et surtout une barre de chair impressionnante pour son âge. Elle repose tout en longueur sur le côté droit.

Je m'arrête de le masser, ahuri par la taille de son membre. Il est si gros qu'il étire un maximum le tissus de nylon. Le gland menace à tout instant de franchir la mince barrière de l'élastique. Comment un jeune aussi fluet peut-il être pourvu d'une telle protubérance?

- Heu!!!... Quelque chose ne va pas, monsieur?

Je reprends vite une attitude professionnelle.

- Tu as une inflammation au niveau de la cuisse droite. Rien de bien grave, rassure-toi. Allonge-toi, je vais te masser la zone endolorie avec une pommade anti-inflammatoire.

Il s'exécute docilement. Je vais chercher la pommade dans la pharmacie. Lorsque je reviens, il se retrouve sur le dos, les bras le long du corps, jambes écartées... et ce tube monstrueux sous le maillot.

Je ne suis pas gay, je n'ai jamais regardé un autre homme, encore moins un jeune de dix-huit ans qui pourrait être mon fils, mais là, je perds toute contenance. Je suis obnubilé par ce que je vois.

Je commence un massage léger. Mon jeune patient a fermé les yeux. J'appose mes mains sur sa cuisse. Malgré sa maigreur, il est très finement musclé. Ses jambes sont recouvertes d'un duvet foncé qui commence à bien s'épaissir. Une fine ligne de poils noirs sort du maillot par le haut pour finir sous le nombril.

Je ne peux détacher le regard de son sexe. J'ai tout le loisir de l'examiner puisqu'il semble somnoler sous l'effet de mes mains expertes. Je fais des cercles concentriques, de plus en plus proches de son tuyau. De temps en temps, je l'effleure. Je masse sous la naissance de ses couilles. Je m'attarde quelques secondes. J'essaie d'être discret... Je ne voudrais pas qu'il se doute de quelque chose.

Maintenant, pendant que je masse son entrejambe endolorie, je rentre régulièrement en contact avec sa queue. Le dos de ma main entreprend un discret va-et-vient sur toute la longueur de sa tige. Je peux sentir cette zone renflée et plus ferme. Je n'ose aller jusqu'au gland, qui pointe loin, hors des hanches.

Ma manœuvre commence à porter ses fruits. Je jurerais que sa colonne de chair a pris du volume. Putain, c'est un bazooka qu'il a entre les jambes, ce lycéen. Ma femme me dit souvent que je suis bien monté (19cmX5) mais là, je suis largement battu.

Je la regarde avec gourmandise. Je ne me reconnais plus. Ce mec est tout juste majeur. Je suis sur mon lieu de travail. Je risque le renvoi...

Pourtant, je me surprends à passer ma langue sur mes lèvres. Elle me fait envie. Mon cerveau me dit d'arrêter alors que ma bite et ma bouche me crient le contraire.

Tout en continuant à masser, je me penche encore un peu plus. Je suis à présent à quelques millimètres de son gigantesque pieu. Je prie intérieurement pour qu'il continue à somnoler. Je respire son odeur de chlore. Je sors le bout de ma langue malgré moi. Elle entre en contact avec le tissus. D'abord timide, elle s'enhardit. Elle part des boules, qu'elle humecte tour à tour, puis remonte lentement les 24cm de chair à demi bandés. Je ne sais plus ce que je fais, mais ce qui est sûr c'est que mon esprit, mes lèvres, mes reins veulent prendre possession de cette chose merveilleuse.

Je continue de lui suçoter la queue à travers le maillot. J'honore chaque parcelle de toile tendue. J'arrive enfin à l'énorme dard qui déforme le lycra. Il est bien plus large que la base de sa queue. Je le regarde avec fascination. Ma bouche s'entrouvre, salive de désir... Je sais que c'est le moment de bascule. Rien n'est encore irrémédiablement perdu. Je peux revenir en arrière...

Je fais un effort surhumain pour me ressaisir lorsqu'une main autoritaire me saisit la nuque. Je veux me redresser, mais impossible. Ma bouche s'écrase sur son manche, ce qui a pour effet de faire sortir le gland par l'échancrure du maillot de bain. La pression de sa main fait que je n'ai d'autre choix que de le prendre entre mes lèvres.

A cet instant, j'ai capitulé. Peu importe les conséquences, je veux aller au bout de cette passion dévorante. C'est la première fois que je vais sucer un homme. Peut-être la dernière. Je ne sais pas comment je vais m'y prendre, mais ce que je sais, c'est que j'ai faim de cette bite monstrueuse.

Je descends son slip de bain. Ses 29cm me sautent au visage. Je suis affamé de sa viande. J'en prends autant que je peux, environs dix-huit cm puis, bientôt vingt-deux. Je commence à sucer comme un fou. Je branle ma propre queue à travers mon speedo.

Je sais que je manque d'expérience. Que je ne lui prodigue pas la meilleure pipe de sa vie, mais mon désespoir de le sucer est compensé par ma fougue.

Ma bouche enserre son gland de manière incontrôlable. J'utilise ma langue autant que je peux, mais elle manque de place, tant son dard est énorme. Je descends mes lèvres sous sa crête, titille la fente. C'est une zone sensible, je le sais. Ma femme me le fait souvent...

Je l'entends gémir, je redouble d'ardeur . Je ne veux pas le décevoir. Je le suce aussi fort que je peux. Mais c'est tellement gros que je dois ouvrir ma bouche aussi largement que possible pour enfourner un peu plus de viande à chaque fois. Je la sens glisser contre mon palais, butter sur la luette. Je suis presque bâillonné, mais je continue de le sucer. J'arrive fièrement à avaler les trois quart de son chibre. A chaque fois que son gland tape le fond de ma gorge, je manque m'étouffer.

Soudain, ses deux mains agrippent ma nuque. Je sais trop bien ce qui va advenir. Il me bloque la tête. Pendant cinq secondes, le monde se fige. Je cesse de respirer, anxieux...

Brusquement, une grosse salve épaisse jaillit. Suivie presque aussitôt d'une deuxième. J'ai un mouvement de recul, mais ses mains m'emprisonnent. J'étouffe devant l'abondance de la charge. Il me déverse un véritable tombereau de sperme. Je parviens à en avaler la majeure partie qui inonde mon œsophage. L'autre partie s'échappe de la commissure des lèvres, coule sur mon menton et se déverse en une grosse flaque visqueuse sur le carrelage. Il me nourrit de son jus. Je continue à lui sucer la queue. Elle a à peine dégonflé. Je lape les dernières gouttes de son précieux nectar. Je suis dans un état second. Comme si un autre que moi avait joué la scène.

Trois coups discrets sont frappés à la porte.

- Monsieur le maître-nageur, ma professeur m'envoie vous dire que le cours est fini.

- J'arrive, lance mon jeune lycéen.

Au moment de partir, il me regarde et me sourit. Je lui rends son sourire, avant de lui demander, un peu gêné.

- Tu,... tu ne diras rien?

Il fait non de la tête.

- Je peux savoir comment tu t'appelles?

Il me gratifie d'un clin d'œil complice avant de répondre:

- ''La POUTRE !''

Coloc
1 | Briser la glace

Maxence et moi avons fait connaissance pendant nos études dans un lycée professionnel. Pendant notre première année d’étude, nous étions pensionnaire à l’internat du lycée, partageant une chambre avec 4 autres étudiants… Nous nous sommes rapidement liés d’une très forte amitié, étant complices et inséparables, toujours prêt à faire les 400 coups !

Pour notre deuxième année d’étude, fraîchement majeur et en alternance avec une petite rémunération, nous avons décidé de quitter l’internat et de faire une colocation à deux !

Notre appartement était très agréable, nous avions chacun notre chambre, une petite cuisine équipée ainsi qu’un grand salon / pièce de vie donnant sur un petit balcon sans vis-à-vis. Pour une première location, nous étions bien lotis !

Pendant nos repos en commun, vers la fin de mois de juin, comme à notre habitude, Maxence et moi avons profité de la mer en s’y baignant pour ensuite bronzer longuement sur la plage avant de rejoindre notre bande de potes dans un bar de plage pour y déguster des Mojitos à profusion !

S’en suivi un petit resto pour finir en boite de nuit !

Soirée de folie comme toujours, enchainant shooters, cocktails, bouteilles de champagne jusqu’à la fermeture de la boite de nuit.

En sortant, les oiseaux chantaient légèrement, l’air marin était frais et vivifiant !

Après avoir quitté nos amis, Maxence et moi prenons la direction de notre appartement avec une démarche mal assurée ! Difficile de garder le cap après une soirée aussi arrosée !

Une fois arrivé à l’appartement, je m’effondre dans le canapé.

- J’ai trop faim, dit Maxence.

- Regarde dans le frigo, j’ai acheté des pizzas ! Ça tombe à pic ! Moi aussi j’ai la dalle

- Tu assures grand chef ! répondit Maxence en sortant les pizzas du frigo avant d’allumer le four. Bon, il y a plus qu’à attendre que le four soit chaud !

- Tiens, prends mon PC et mets un film si ça te dit ! Je dois aller aux toilettes d’urgence ! Dis-je en donnant mon PC à Maxence avant de me lever en direction des WC.

Une fois confortablement installé à la place du roi, je sors mon téléphone pour errer sur les réseaux sociaux…

Le temps passe vite, et sans m’en rendre compte, j’y restai plus d’une dizaine de minutes !

Rejoignant Maxence avec une folle envie de manger une pizza, je m’arrête net à la porte du salon.

Maxence avait les yeux rivés sur l’écran de mon PC regardant un film porno ! Mais pas n’importe lequel, celui que je regardais hier soir pour accompagner ma branlette quotidienne.

J’avais très certainement oublié d’arrêter le film en me contentant de refermer l’écran de mon PC portable…

Un intense sentiment de gêne m’envahit, mais je ne me démontais pas pour autant. Après tout, c’est normal de regarder des pornos ! Surtout à nos âges.

- Hum hum. Ça va ? On se fait plaisir Monsieur Maxence ?

- C’est plutôt à toi qu’il faut demander ça ! Dis t’il en rigolant.

Dès que j’ai allumé ton PC, le film s’est lancé !

- C’est le film que je regardais hier soir en me branlant. Une belle petite orgie dans les bois avec des doubles pénétrations trop excitantes !

Tout en répondant à Maxence, je rentre dans le salon et m’installe sur une chaise à côté de lui.

- Oui, je vois ça, il est stylé ! Les actrices sont vachement belles et les mecs sacrément montés !

Tout en regardant le film porno, un début d’érection traversa mon sexe qui se transforma très rapidement en une belle érection, mettant mon chibre à l’étroit dans mon caleçon.

- Tu veux une bière ? demanda Maxence

- Oui, carrément avec plaisir !

- J’espère qu’il y en a encore au frais. Dis t’il en se levant pour prendre la direction de la cuisine.

Lorsqu’il se leva, je remarquai une belle bosse au niveau de son entrejambe, déformant son jean.

Signe révélateur d’une érection !

Me retrouvant seul devant ce film porno, la bite toujours plus dure, je me dis à moi-même

« Je suis sûr qu’il bande ! J’aimerais que ça se termine en une bonne partie de branle ! Ma dernière session de branle entre potes remonte à longtemps ! »

Maxence revient, deux bières à la main. Lorsqu’il me tendit une bière, j’en profitai pour jeter un coup d’œil discret sur son entrejambe afin de m’assurer qu’il bandait.

Mais… Mon coup d’œil ne fut pas si discret que ça !

- Hé ! Qu’est-ce qui te prend à mâter ma braguette ? Demande-t-il en rigolant

- Et mince, grillé ! Bah… Quand tu t’es levé pour aller dans la cuisine, j’ai remarqué que tu bandais ! Donc j’ai voulu vérifier à ton retour ! Et c’est le cas mon cochon non ?

- Carrément mec, j’ai une gaule d’enfer ! En même temps, regarder un film porno ça excite ! Encore plus quand on est saoul !

- Moi pareil, je bande bien comme il faut là ! J’en ai mal à la bite tellement elle est serrée dans mon caleçon !

- Pareil. En allant dans la cuisine, j’en ai profité pour bien la replacer dans mon caleçon !

- Je crois qu’elle a envie de prendre l’air là, dis-je en caressant légèrement mon sexe à travers mon pantalon.

- Bah mets-toi à l’aise ! Qu’est-ce que tu veux que je te dise !

Le signal est donné, branle en perspective !

Maxence regarde de nouveau le film porno, mais à présent sa main droite caresse discrètement son entrejambe… J’en déduis que lui aussi est suffisamment excité pour se branler !

À moi de prendre les devants et de faire le premier pas afin qu’il soit à l’aise.

Je me lève de ma chaise et déboutonne mon pantalon avant d’ouvrir ma braguette.

Maxence, toujours en train de se caresser à travers son jean, détacha son regard de l’écran pour me regarder. Nous échangeons un sourire complice pendant que je glisse ma main dans mon caleçon pour saisir mon sexe bien dur.

Je fis tomber mon pantalon à mes chevilles, abaissa légèrement mon caleçon pour plus d’aisance laissant sortir mon chibre raide et mes couilles pleines. L’excitation est à son maximum !

Regardant toujours Maxence, je remarque que son regard fixe à présent mes attributs.

Je me masturbe rapidement, juste quelques va-et-vient de poignet, avant de lâcher mon sexe pour l’exhiber intégralement à Maxence, le regard toujours braqué sur mon chibre.

- Alors, la tienne est plus grosse ? Dis-je, un rictus aux lèvres

- J’avoue que tu as une belle bite ! Je pense que la mienne est plus grosse, mais j’ai de petites couilles par rapport aux tiennes ! répond Maxence en rigolant.

Tes couilles pendent sacrément !

Dans un fou rire réciproque, je lançai à Maxence :

- J’aime bien mes couilles, mais je t’avoue que c’est trop galère quand je les rase !

Allé Max, à toi de sortir ta bite !

Je m’installe confortablement sur ma chaise, toujours la bite à la main en la masturbant lentement.

En regardant Maxence, je remarque une petite gêne chez lui… Pour l’encourager à franchir le pas et faire tomber le caleçon, je lui dis calmement :

- Lâche-toi Max ! Pas de gêne entre nous. Pour tout te dire, dans mon ancien bahut, j’avais de très bons potes de branle ! Tous les mercredis après-midi après les cours, on se retrouvait chez l’un ou l’autre de notre bande et on passait notre temps à mater du porno en se branlant ! Et ça n’a rien changé entre nous, cela a même renforcé notre amitié, je dois dire ! Ha la bonne époque ! Dis-je, en rigolant.

- Sérieux ? Moi, je n’ai jamais fait ça. Mais bon, là, c'est le moment !

Il se leva rapidement de sa chaise, déboutonna son jean et sortit immédiatement son sexe raide en le tenant fermement de sa main droite.

- Bah voilà Max ! Bien joué !

- Je n’y crois pas, je l’ai fait ! C’est bizarre quand même ! rigola-t-il. Bon alors, t’en penses quoi ? Plus ou moins grosse que la tienne ?

Il enleva sa main de son sexe, me laissant le contempler. Je fus surpris par la taille et la beauté de sa bite. Elle était bien entretenue avec un gland saillant et, sans aucun doute, plus grosse que la mienne de plusieurs centimètres !

- Bah mon cochon, tu es sacrément bien monté !

Et tes petites couilles alors ? Où sont-elles ? Toujours dans le caleçon ?

Il baissa son pantalon ainsi que son caleçon pour exhiber fièrement ce beau sexe dur. Effectivement, ses couilles étaient petites, mais bien dessinées.

- Belles petites couilles bien rasées ! Et je confirme, ta bite est plus grosse que la mienne !

- Oui, je crois bien, mais pas de grand-chose, je pense.

Je me lève pour me placer face à lui, la queue à la main. Je m’approche de Maxence dans le but de mettre ma bite à côté de la sienne. Dans la manœuvre, nos deux sexes se frôlèrent brièvement, provoquant chez nous deux un petit frisson de plaisir, découvrant une nouvelle sensation.

Nos deux sexes raides étaient proches, séparés de quelques centimètres l’un de l’autre, nous permettant de les comparer et aussi, de les admirer !

Nos regards braqués sur nos sexes, Maxence confirme mes dires :

- Eh oui, j’en ai une plus grosse !

- Effectivement mon pote !

Nous restions un petit moment dans cette position, parfaitement silencieux, en nous exhibant et profitant sans retenue de la vue de nos sexes.

Maxence reprit une légère masturbation de son manche. Tout naturellement, je malaxai délicatement mes couilles pleines.

- Il y a un truc qui me surprend, dit Maxence en rompant le silence.

- Quoi ?

- Je ne ressens aucune gêne à être devant toi comme ça. Je veux dire, quasiment nu avec ma bite en érection en train de me branler devant toi tout en comparant et regardant nos sexes… Je n’avais jamais imaginé faire ça un jour !

- C’est top, je trouve ! Et finalement, il n’y a rien de gênant à s’amuser avec un pote. Bon, on se le matte ce porno ?

Tout en faisant cette proposition à Maxence, je pris fermement en main mon sexe dur avant de le claquer à plusieurs reprises contre celui de Maxence, tel un Jedi maniant son sabre laser !

Partageant notre fou rire, Maxence me rendit la pareille, jouant avec nos chibres comme des enfants.

Notre duel de bites terminé, nous reprenons nos places respectives afin de nous régaler de ce film porno.

Sans bruit, nous commençons à branler doucement notre chibre respectif, intensifiant encore un peu plus notre érection. N’étant pas pleinement à l’aise, j’enlève ma chemise et mon jean, me retrouvant totalement nu. Maxence m’imite et s’exclame :

- Franchement, on est beaucoup plus à l’aise comme ça, non ?!

Nos regards se baladaient, fixant tantôt le film porno, tantôt le sexe de l’autre.

Je prenais beaucoup de plaisir à regarder Maxence alors qu'il branlait vivement son sexe de sa main droite tout en caressant délicatement ses tétons fermes de l’autre main.

Me masturbant de plus belle, accélérant mes va-et-vient, sentant le regard de Maxence fixé sur ma bite, je ne peux retenir mon éjaculation.

Dans un léger gémissement de plaisir, j’arrosai en plusieurs grosses giclées mon torse de mon foutre.

Un petit sourire aux lèvres, je regarde Maxence qui sourit également.

- Belle éjac !

Bon, à mon tour de tout lâcher alors !

Je profite sans retenue du spectacle :

Maxence regarde à nouveau le film porno diffusé sur mon PC, étend confortablement ses jambes, et masturbe vivement son sexe.

Ses petites couilles claquaient au rythme de ses va-et-vient, sa respiration devint irrégulière.

Détachant son regard du film, les yeux mi-clos, il se cambra légèrement avant de lâcher dans un râle de jouissance son foutre en plusieurs grosses giclées, arrosant abondamment le sol.

Nous restions quelques instants assis, silencieux, du sperme un peu partout, laissant retomber notre érection.

- J’ai kiffé, lâcha Maxence.

- La même ! C’était une bonne session branle.

J’ai toujours faim en revanche ! On nettoie tout ça et on mange ?

- Carrément !

Nous essuyons chacun notre semence puis Maxence, toujours nu, se lève et se dirige dans la cuisine afin de mettre la pizza au four.

Je fus un peu surpris en voyant que Maxence resta nu pour vaquer à ses occupations…

Je fis de même ! Toujours dans mon plus simple appareil, je dresse rapidement une petite table à manger puis lance un film, non porno cette fois, sur mon PC.

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