Qui me donne sa bite en Nord isere ! : https://x.com/lopenordisere Dépannage: le plombier à quatre pattes Publié par : gaypourmecs le 04/06/2025 Je suis plombier, artisan dans l’âme, 35 ans, baraqué par le taf, torse velu et cul bombé moulé dans mon bleu de travail. Chaque jour, je trimballe ma caisse à outils, je me faufile sous les éviers, à quatre pattes, le jean qui glisse juste assez pour laisser entrevoir la raie. Et putain, ce fantasme qui me hante : un dépannage qui dérape, un client qui me chope, et moi qui finis à poil, offert, défoncé. Aujourd’hui, ce n’est plus un rêve. Ça arrive. Je sonne chez un mec, un pavillon discret en périphérie de Grenoble . Le type qui ouvre, la quarantaine, grand, musclé, une barbe taillée et un regard qui me scanne direct. Il porte un t-shirt gris qui colle à ses pecs et un short qui ne cache rien de la bosse monstrueuse en dessous. "C’est pour la fuite sous l’évier," qu’il dit, la voix grave, un sourire en coin. Je sens l’électricité dans l’air, mon cœur cogne, ma queue tressaille déjà dans mon boxer. Je me mets au boulot, à quatre pattes sous l’évier, mon cul relevé, le jean tendu à craquer. Je sens ses yeux sur moi, lourds, brûlants. "T’as l’air à l’aise comme ça," qu’il lâche, provocateur. Je ricane, joue le jeu : "Ouais, c’est ma position préférée." Erreur fatale. Ou plutôt, jackpot. Il s’approche, ses baskets crissent sur le carrelage. "Lève-toi, plombier," qu’il ordonne. Je me redresse, un peu tremblant, la clé à molette encore en main. Il me plaque contre le plan de travail, son corps contre le mien, sa bosse dure contre ma cuisse. "T’as envie, hein, salope ?" qu’il murmure, son souffle chaud dans mon cou. Il arrache mon bleu de travail, les boutons sautent, mon torse poilu s’expose. Mon boxer suit, libérant ma queue, 16 cm, raide comme du béton, mais c’est pas ça qu’il veut. Il me retourne, me penche sur l’évier, mon cul à l’air, offert. "Putain, quel cul," qu’il grogne, en claquant mes fesses, fort, une fois, deux fois. La douleur m’électrise, je gémis, déjà en chaleur. Il crache dans sa main, enduit ses doigts, et les enfonce direct dans mon trou. Deux, puis trois, brutaux, qui m’étirent sans ménagement. Je râle, le cul en feu, mais ma queue goutte sur le carrelage. Il baisse son short, et là, je le vois dans le reflet de la vitre : une bite énorme, 20 cm minimum, épaisse, veinée, un monstre luisant de pré-cum. "T’es prêt, plombier ?" qu’il ricane, en tapant son gland contre mes fesses. Sans attendre, il s’enfonce, d’un coup, profond. Je hurle, le plaisir et la douleur se mélangent, mon corps tremble sous l’assaut. Il me pilonne, ses couilles lourdes claquent contre moi, un rythme sauvage, animal. Ses mains agrippent mes hanches, ses ongles s’enfoncent, il me traite de "salope", de "chienne", et je kiffe chaque mot, chaque coup de rein. Je m’abandonne, à quatre pattes sur le sol maintenant, le carrelage froid contre mes genoux. Il me baise comme une bête, sa queue me déchire, frotte ma prostate à chaque passage, m’arrachant des gémissements de plus en plus forts. "T’aimes ça, hein, te faire démonter ?" qu’il grogne, en tirant mes cheveux pour me cambrer encore plus. Je suis sa pute, son jouet, et putain, c’est tout ce que je voulais. Il accélère, ses coups deviennent frénétiques, ses grognements plus rauques. "Ouvre la bouche," qu’il ordonne soudain. Il se retire, me retourne, et m’enfonce sa bite dans la gorge. Elle est salée, épaisse, envahit tout. Je bave, j’étouffe, mais je suce comme un affamé, mes mains sur ses couilles, lourdes et duveteuses. Il explose, un torrent chaud qui gicle dans ma gorge, sur mon visage, ma barbe. Je bois tout, avide, docile, pendant que ma propre queue, intouchée, lâche des jets sur le sol, secouée par une jouissance brutale. Il me regarde, satisfait, essoufflé. "Bon boulot, plombier," qu’il lâche, moqueur, en remontant son short. Je ramasse mon bleu de travail, le cul encore palpitant, le goût de son sperme dans la bouche. En quittant la maison, je sais que ce fantasme, je l’ai vécu. Et je veux recommencer.
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Défoncé par un ami de mes parents ! https://x.com/lopenordisere https://x.com/lopenordisere Je m’appelle Théo, j’ai 22 ans, je vis à Paris. Mince, 1m75, peau claire, cheveux châtains en bataille, yeux verts qui trahissent mes tourments. Ma queue, fine mais longue de 17 cm, est souvent trempée de mouille quand je fantasme sur des hommes mûrs. Mes désirs homosexuels, refoulés depuis toujours, me consument. Je passe mes nuits à me branler en imaginant des bites épaisses, des mains puissantes, des voix graves me dominant. Un homme en particulier hante mes pensées : Marc-Antoine, 52 ans, un ami proche de mes parents. Ce colosse de 1m90, baraqué, barbe poivre et sel, yeux perçants, dégage une aura de domination. Sa queue, que j’imagine massive, 20 cm, gland large et veiné, est l’épicentre de mes fantasmes les plus crus. Chaque fois qu’il parle, sa voix rauque me fait bander instantanément. L’histoire se déroule à Saint-Tropez, dans une villa somptueuse perchée sur une colline face à la Méditerranée. Marc-Antoine fête son anniversaire, une soirée grandiose avec guirlandes lumineuses, DJ aux platines, champagne millésimé et une foule d’invités huppés. La villa, un bijou d’architecture, est décorée de meubles en bois exotique, tapis persans, et une piscine à débordement scintille sous des LED colorées. Les convives logent dans des suites luxueuses ou des bungalows design disséminés dans un domaine privé, isolé du tumulte de la côte. La soirée : Je me tiens un peu à l’écart, sirotant du champagne, les yeux rivés sur Marc-Antoine. Sa chemise en lin blanc, entrouverte sur un torse musclé et bronzé, me rend fou. Ma queue durcit dans mon jean slim à chaque fois qu’il croise mon regard, un sourire en coin sur ses lèvres. Je m’imagine des scènes torrides : le suivre dans une salle de bain isolée, m’agenouiller, le supplier de me laisser sucer sa bite. Je fantasme sur lui me prenant sauvagement, me traitant de salope, mais la peur et la honte me paralysent. Je me contente de mater, ma queue à moitié dure mouillant mon boxer, le tissu collant à ma peau. Vers 2h du matin, la foule se disperse. Ivre et frustré, je m’éclipse vers une oliveraie à l’arrière de la villa, un coin sombre où je peux m’isoler. Je m’allonge dans l’herbe, allume un joint, baisse mon jean et libère ma queue luisante de mouille. Je me branle frénétiquement, gémissant doucement en imaginant la bite de Marc-Antoine dans ma bouche, son gland épais glissant sur ma langue. Je lèche mes doigts pleins de mon propre jus, perdu dans mes fantasmes, le cœur battant à tout rompre. Soudain, une ombre surgit. Marc-Antoine, attiré par l’odeur du joint, s’approche en silence. Je ne le vois pas tout de suite, mais quand je l’aperçois, je sursaute, remonte mon boxer en catastrophe et bredouille : « C’est pas… je faisais juste… » Mon visage s’empourpre, ma voix tremble. Il s’assied à côté de moi, presque collé, son corps dégageant une chaleur qui m’enivre. Il me prend le joint, tire une longue latte et murmure, un sourire carnassier aux lèvres : « J’espère que c’est à moi que tu pensais, petite salope. » Tétanisé, je hoche la tête, incapable de parler. Sa main glisse sous mon boxer, libérant ma queue raide. « Laisse-toi faire », souffle-t-il avant de se pencher. Sa bouche chaude enveloppe mon gland, sa langue experte caressant chaque centimètre, de la base au bout. Je gémis, mes mains agrippant l’herbe, luttant pour ne pas jouir trop vite. Il baisse complètement mon jean, expose mon cul et effleure mon trou serré du bout des doigts. Une demi-phalange glisse en moi, et c’est trop. J’explose dans sa bouche, un orgasme si violent que je tremble, mes gémissements résonnant dans la nuit. Il avale chaque goutte, ses yeux brillant d’un éclat sauvage. Il se redresse, essuie sa bouche et m’embrasse avec force, nos langues dansant dans un mélange de champagne et de mon sperme. Étourdi, je sens sa main guider la mienne vers sa braguette. Je découvre sa queue massive, brûlante, déjà gorgée, 20 cm de chair lourde et veinée. « Suce-moi, Théo. Montre-moi ce que tu veux vraiment. » Comme possédé, je m’agenouille, crache sur son gland épais et le lèche avec avidité, m’étouffant en tentant de le prendre en gorge profonde. Il grogne, empoigne mes cheveux et impose un rythme brutal. « T’es ma pute, hein ? T’as rêvé de ma queue toute la soirée. » Je gémis en réponse, ma bite rebandant à chaque mot cru, mes lèvres dégoulinant de salive. Quand il sent qu’il va jouir, il me prévient : « Si tu continues, tu vas tout prendre. » Je redouble d’efforts, ma langue dansant sur son gland, jusqu’à ce qu’il explose. Des jets puissants, épais, inondent ma gorge. Je savoure chaque goutte, le goût salé et musqué gravé dans ma mémoire. Il m’embrasse encore, mêlant tendresse et domination, avant de murmurer : « Va m’attendre dans ma suite. Nu, à quatre pattes, cul cambré. Interdit de te toucher. » J’obéis, le cœur battant. Dans sa suite luxueuse, au lit king-size drapé de soie, je me déshabille et me mets à quatre pattes, mon cul offert, mon trou palpitant d’anticipation. L’attente est insoutenable, chaque bruit dans le couloir me fait frissonner. Enfin, Marc-Antoine entre, torse nu, son regard brûlant de désir. « Putain, ce cul… » grogne-t-il en s’approchant. Il claque mes fesses, fort, et je gémis : « Monsieur… » Il sourit, excité par ma soumission. Sa langue explore ma raie, s’attardant sur mon trou vierge, le léchant avec une voracité qui me fait hurler. Je cambre encore plus, suppliant pour plus. Il prend son temps, glissant un doigt, puis deux, lubrifiant généreusement. Je grimace légèrement, novice, mais m’abandonne vite, mes gémissements devenant des cris. « Je veux ta queue, Monsieur. Baise-moi. » Il me fait d’abord durcir sa bite dans ma bouche, me biflant avec, me traitant de chienne. Puis il me retourne, jambes relevées, et enduit mon trou de lubrifiant. Son gland massif presse contre mon entrée. Je tremble, en apnée, partagé entre désir et appréhension. Il murmure : « T’es à moi, chéri. » Lentement, ses 20 cm s’enfoncent, jusqu’à ce que ses couilles touchent mon cul. La douleur se mêle au plaisir, et je gémis, les yeux révulsés. Il accélère, ses coups deviennent secs, profonds, tapant ma prostate. Mes ongles s’enfoncent dans son dos, je hurle : « Plus fort, Monsieur ! » Il passe en mode animal. « T’es prête, ma salope ? » grogne-t-il, me retournant à quatre pattes. Il claque mes fesses jusqu’à les rendre rouges, crache sur mon trou et me pénètre d’un coup, brutalement. Je crie, perdu dans l’extase, me branlant frénétiquement. Mon cul se contracte sur sa queue alors que je jouis une seconde fois, mon sperme giclant sur les draps. Il s’enfonce au plus profond, grognant comme une bête, et m’inonde de jets brûlants, sa chaleur me remplissant. On s’effondre, en sueur, enlacés. Il caresse mes cheveux, redevenu tendre. « T’es ma chienne maintenant. » Je hoche la tête, comblé, sa queue ramollissant en moi. Le lendemain, au brunch, je croise son regard, un secret brûlant entre nous. Pendant des années, on se retrouve en cachette, dans des hôtels discrets ou des villas à l’étranger. Je deviens son amant soumis, dressé par cet homme qui m’a initié à mes désirs les plus profonds. Chaque rencontre est un mélange de tendresse et de brutalité, sa queue me possédant, son sperme marquant mon corps comme un sceau. https://x.com/lopenordisere
Défoncé par les Frères et Leur Père à la Queue XXL MON TWITTER X : https://x.com/lopenordisere C’était l’été indien, début septembre, une chaleur moite qui collait à la peau. J’avais 22 ans, un corps mince mais musclé par le sport, et je traînais chez un pote du lycée, Lucas, un mec cool avec qui je passais des heures à jouer à la console. On était affalés dans son salon, torse nu, en short, la sueur perlant sur nos pecs à cause de la canicule. La télé crachait les bruitages d’un jeu de combat, et l’ambiance était détendue, presque trop. Jusqu’à ce que tout bascule dans une spirale de vice que je n’avais jamais osé imaginer. Vers 16h, la porte du salon s’est ouverte, et le frère aîné de Lucas, Théo, a débarqué. Une vingtaine d’années, un mètre quatre-vingt-dix de muscles saillants, des cheveux noirs en bataille et un regard de prédateur. Il sortait de sa chambre, vêtu d’un simple caleçon gris, moulant, qui ne laissait rien à l’imagination. Son torse était couvert d’une fine toison, et ses biceps roulaient à chaque pas. J’ai buggé, la manette en main, incapable de détacher mes yeux de ce dieu vivant. Il nous a jeté un vague “salut” avant de filer vers la cuisine, son cul parfait dansant sous le tissu. Lucas a mis le jeu en pause, et j’ai bafouillé un “il est cool, ton frangin”. Il a haussé les épaules, habitué, mais moi, j’étais déjà ailleurs, la tête pleine d’images salaces. Quand Théo est revenu, une canette à la main, j’ai cru halluciner. Son caleçon était tendu par une bosse énorme, une érection à peine contenue qui semblait me défier. Il m’a fixé, un sourire en coin, et m’a gratifié d’un clin d’œil discret mais sans équivoque. Mon cœur s’est mis à cogner, et ma queue a réagi dans mon short. J’étais grillé : ce mec savait que je le kiffais, et il en jouait. Sans réfléchir, j’ai lâché à Lucas : “Pause, mec, faut que j’aille pisser.” Il a hoché la tête, se levant pour aller chercher des sodas. Moi, j’avais autre chose en tête. Au lieu de filer aux chiottes, j’ai gravi l’escalier, le sang pulsant dans mes tempes. La porte de la chambre de Théo était entrouverte, comme une invitation. Je l’ai poussé doucement, et là, putain, le choc. Théo était vautré sur son lit, nu, une main autour de sa queue. Et quelle queue ! Un monstre de 22 centimètres, épais, veiné, avec un gland rouge et luisant de précum. Ses couilles, lourdes et poilues, pendaient entre ses cuisses musclées. Il m’a vu, un sourire de loup sur les lèvres, et a grogné : “T’attends quoi, petit ? Viens t’amuser.” J’étais comme possédé. Sans réfléchir, j’ai balbutié : “Je… je peux te sucer ? Vite, Lucas va m’attendre.” Il a ri, un rire grave, et m’a fait signe d’approcher. “Je t’attendais, petite salope.” Je me suis jeté à genoux devant lui, hypnotisé par cette bite énorme. L’odeur était forte, un mélange de sueur, de musc et de sexe brut. J’ai léché son gland, salé, glissant, avant d’engloutir sa queue. Elle était trop grosse, étirant mes lèvres à la limite de la douleur, mais je m’en foutais. J’ai pompé comme un affamé, bavant, gémissant, pendant qu’il me traitait de “bon suceur” et enfonçait sa bite plus loin dans ma gorge. Ses mains agrippaient mes cheveux, guidant mon rythme. En à peine deux minutes, il a grogné, ses couilles se contractant, et un flot de sperme brûlant a explosé dans ma bouche. J’ai tout avalé, pas le choix, le goût âcre et épais me faisant tourner la tête. “T’es doué, gamin,” a-t-il murmuré, me caressant la joue. J’étais dans un état second, à la fois excité et mal à l’aise. J’ai essuyé ma bouche, mais des traces de sperme collant au coin de mes lèvres m’ont trahi. J’ai filé en bas, espérant reprendre mes esprits. Lucas m’attendait sur le canapé, deux sodas posés sur la table. Il m’a regardé, plissant les yeux. “C’est quoi, ça, au coin de ta bouche ?” J’ai viré écarlate, incapable de répondre. Il a éclaté de rire, un rire moqueur mais chargé de sous-entendus. “T’as sucé mon frangin, hein ? Sale petite pute.” J’étais mort de honte, mais il m’a attrapé par le bras. “Suis-moi.” On a grimpé dans sa chambre, et là, tout a dégénéré. Lucas a baissé son short, révélant une queue respectable, pas aussi monstrueuse que celle de Théo, mais bien raide. “À mon tour, suce.” J’étais trop loin pour reculer. Je me suis mis à genoux, encore secoué par ma pipe d’en haut, et j’ai pris sa bite en bouche. Il était moins brutal que son frère, mais tout aussi dominateur, me tenant la tête pendant que je le pompais. Il gémissait, me traitant de “chienne” et de “vide-couilles”. Puis, il m’a relevé, m’a retourné et m’a plaqué sur son lit, à quatre pattes. “T’as sucé Théo, maintenant tu vas prendre ma queue dans ton cul.” Il a craché sur mon trou, l’enduisant de salive, et a poussé son gland contre moi. La douleur m’a fait grimacer, mais j’étais tellement excité que je me suis cambré, l’invitant à aller plus loin. Il m’a enculé d’un coup sec, me faisant crier. “T’aimes ça, hein ?” grognait-il, me pilonnant sans ménagement. Son lit grinçait, et moi, j’étais perdu dans un mélange de douleur et de plaisir, mon cul s’ouvrant à chaque coup de reins. Il a joui vite, déchargeant dans mon cul, son sperme chaud coulant entre mes cuisses. Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Alors qu’on reprenait notre souffle, la porte s’est ouverte avec un grincement. Un homme immense, la cinquantaine, se tenait dans l’encadrement. Leur père. Une armoire à glace, torse velu, barbe grise, et un regard qui vous transperce. Il portait un jogging, mais la bosse qu’il arborait était indécente. “C’est quoi ce bordel ?” a-t-il tonné, mais son ton était plus curieux que fâché. Lucas a bafouillé, mais moi, j’étais hypnotisé. Le père a baissé son froc, révélant une queue XXL, un véritable gourdin de 25 centimètres, épais comme une canette, avec des couilles poilues, énormes, pendantes, qui semblaient prêtes à exploser. “T’aimes les queues, gamin ? Alors viens voir le patron.” J’étais tétanisé, mais mon corps a obéi. Je me suis approché, à genoux, et j’ai pris son monstre en bouche. C’était impossible à avaler entièrement, mais j’ai fait de mon mieux, bavant, gémissant, pendant qu’il grognait des “putain, t’es une bonne salope”. Ses couilles tapaient contre mon menton, lourdes, odorantes. Théo, qui avait entendu le vacarme, nous a rejoints, sa queue déjà raide. “On va le défoncer, papa.” Et c’est ce qu’ils ont fait. Lucas m’a repris en levrette, pendant que le père enfonçait sa bite dans ma gorge, me faisant suffoquer. Puis ils ont échangé. Le père m’a retourné, m’a écarté les cuisses et m’a enculé à cru, son gourdin déchirant mon cul déjà sensible. La douleur était insoutenable, mais le plaisir était encore plus fort. Il me baisait comme un marteau-pilon, ses couilles poilues claquant contre mes fesses, pendant que Théo me forçait à le sucer. J’étais leur jouet, leur pute, et j’adorais ça. Le père a joui le premier, un torrent de sperme inondant mon cul, dégoulinant sur le lit. Théo a suivi, giclant sur mon visage, et Lucas a fini en se branlant sur mon torse. J’étais couvert de leur jus, épuisé, mais dans un état d’extase totale. Le père m’a tapé l’épaule, un sourire satisfait. “T’es un bon coup, gamin. Reviens quand tu veux.” Toute l’année, ça a continué. Lucas et moi baisions dès qu’on pouvait, souvent rejoints par Théo. Le père, lui, était plus rare, mais chaque fois qu’il me prenait, c’était une leçon de domination. Cette première journée a réveillé la salope en moi, et je n’ai plus jamais regardé en arrière.
Chaque mercredi soir, c’était le même rituel. Entraînement de basket en catégorie cadet, la sueur, les cris, l’adrénaline. Ce soir-là, j’avais 18 ans, un corps encore en construction mais déjà athlétique, et je rentrais seul à pied, mon meilleur pote terrassé par une fièvre. Il était tard, 23h passées, et les trois kilomètres qui séparaient le gymnase de chez moi s’étendaient sous un ciel sans lune. Pour couper court, j’empruntais des ruelles glauques, des raccourcis dans une zone industrielle où les entrepôts déserts semblaient avaler tout signe de vie. Le silence était oppressant, seulement troublé par le crissement de mes baskets sur le bitume. Mais cette nuit-là, quelque chose allait me faire basculer dans un monde de désirs bruts et interdits. Un ronronnement de moteur m’a fait tourner la tête. Une fourgonnette déglinguée, une vieille Peugeot 205, roulait au pas derrière moi, ses phares trouant l’obscurité. Elle s’est arrêtée à ma hauteur, et la vitre s’est baissée dans un grincement. À l’intérieur, un mec, la quarantaine bien tassée, le genre ouvrier buriné par le boulot. Châtain, barbe mal taillée, yeux perçants, une carrure de taureau qui remplissait l’habitacle. Il puait la testostérone, avec ce charisme brut qui vous cloue sur place. Je m’attendais à une question anodine – un chemin, un bar. Mais il a attaqué direct : “T’as un endroit où on peut s’éclater ce soir ?” Sa voix était grave, presque menaçante. J’ai balbutié que tout était fermé, mais il s’en foutait. Il voulait savoir qui j’étais, ce que je faisais, mes potes, mes plans. Puis, sans prévenir, il a viré au perso : “T’as une meuf ? Ou un mec, peut-être ?” J’ai rougi, bafouillant que j’étais solo. Il a insisté, un sourire carnassier aux lèvres : “T’aimes quoi, les chattes ou les queues ?” J’ai avoué, mal à l’aise, que j’avais juste testé les filles, sans trop de conviction. Il a ri, un rire rauque, et m’a poussé dans mes retranchements : “T’as jamais sucé une bite ? T’as jamais eu envie de te faire démonter par un mec ?” Sous la pression, j’ai lâché un secret honteux : un soir, avec un pote, on s’était branlés ensemble, un peu tripotés, mais c’était resté un non-dit. À ce moment-là, j’ai vu son bras droit s’agiter. Ce salaud se paluchait, là, en pleine discussion, sa queue à moitié sortie, épaisse, veinée, le gland luisant sous les lampadaires. Mon cœur s’est mis à cogner comme un marteau-pilon. J’aurais dû me barrer, mais une pulsion m’a figé. J’étais excité, terrifié, et putain, j’avais envie. Il a capté mon regard, ma faiblesse. “Monte, gamin. Viens goûter une vraie queue de mâle.” Sa voix était un ordre, et moi, j’étais déjà à moitié vaincu. J’ai hésité, mais mon corps a obéi avant mon cerveau. J’ai grimpé côté passager, le cœur en panique, la bite déjà à moitié dure dans mon jogging. Il a roulé trente mètres, jusqu’à un coin encore plus paumé, entre deux hangars, là où personne ne viendrait nous faire chier. À peine garé, il m’a maté comme un prédateur. “T’es mignon, toi. T’as un cul qui mérite d’être défoncé.” Ses mots m’ont électrisé. Il était tout ce que je fantasmais en secret : un mec viril, brutal, le genre qui vous domine sans demander la permission. Il a baissé son froc, dévoilant une queue monstrueuse – longue, épaisse, un gourdin veiné qui pulsait d’envie. Dans la pénombre, je voyais chaque détail : le gland rouge, luisant de précum, les couilles lourdes qui pendaient comme une promesse. “Suce-moi,” a-t-il grogné. J’ai obéi, me penchant sur lui, l’odeur de son sexe me frappant comme une claque. Un mélange de sueur, de pisse et de désir brut. J’ai léché son gland, timidement d’abord, comme un gamin qui découvre un nouveau jouet. C’était salé, fort, addictif. Il a grogné, posant une main lourde sur ma nuque. “Prends-la toute.” J’ai ouvert la bouche, laissant sa queue envahir mon palais. Elle était énorme, étirant mes lèvres, me faisant saliver comme une chienne. J’ai pompé, maladroit mais affamé, sentant sa bite durcir encore plus sous mes coups de langue. Il gémissait, me traitant de “petite salope”, et moi, j’adorais ça. Pendant que je le suce, sa main s’est glissée dans mon survêt. Il a empoigné ma queue, la branlant d’une poigne ferme, puis a glissé plus bas, malaxant mes couilles avant de s’attaquer à mon cul. Ses doigts ont trouvé mon trou, vierge, serré, et il a commencé à le titiller, appuyant, forçant un peu. “T’es bien lisse, putain. T’es fait pour te faire enculer.” Ses mots me rendaient fou. Au bout de cinq minutes de pipe baveuse, il m’a relevé d’un geste brusque et m’a roulé une pelle sauvage. Sa langue a envahi ma bouche, un mélange de tabac, de sueur et de désir. “On va derrière. Y’a plus de place pour s’amuser.” L’arrière de la fourgonnette était tapissé de couvertures crades, un terrain de jeu parfait pour ce qui allait suivre. J’ai rampé à l’intérieur, à quatre pattes, le cul déjà offert, comme si mon corps savait avant moi ce qu’il voulait. Il m’a suivi, arrachant mon jogging et mon boxer d’un geste impatient. Mon cul était à l’air, exposé, vulnérable. Sans perdre une seconde, il a plongé sa langue dedans. J’ai poussé un cri, choqué par l’intensité. Sa barbe râpait mes fesses pendant qu’il bouffait mon trou, le léchant, le suçant, l’ouvrant avec une voracité de fauve. Chaque coup de langue envoyait des décharges dans tout mon corps. J’étais sa proie, et j’adorais ça. Il crachait sur mon cul, l’enduisant de salive, glissant un doigt, puis deux, pour m’écarter. “T’es déjà bien ouvert, petite pute. T’as toujours voulu une queue, hein ?” Il avait raison. Toutes mes branlettes solitaires, tous mes fantasmes refoulés, tout menait à ce moment. J’étais à quatre pattes, cambré comme une salope, gémissant sans honte. Il s’est redressé, crachant sur sa queue pour la lubrifier. J’ai senti son gland, énorme, brûlant, se presser contre mon trou. “Détends-toi, je vais te défoncer.” Il a poussé, lentement d’abord, et la douleur m’a coupé le souffle. C’était trop gros, trop intense. Mais il savait y faire, alternant douceur et fermeté, me murmurant des “T’es à moi” qui me faisaient fondre. Centimètre par centimètre, il m’a empalé, jusqu’à ce que ses couilles claquent contre mes fesses. J’étais plein, possédé, défloré. Il a marqué une pause, son souffle rauque dans mon oreille. “Putain, t’es serré. T’es fait pour ma queue.” Puis il a commencé à bouger, d’abord doucement, puis de plus en plus fort. Chaque coup de reins était un mélange de douleur et de plaisir, une sensation indescriptible qui me faisait perdre la tête. Mon cul s’ouvrait, s’adaptait, accueillait sa bite comme si j’étais né pour ça. Il me baisait comme un animal, ses mains agrippant mes hanches, ses grognements résonnant dans la fourgonnette. “T’aimes ça, hein, petite chienne ?” Je gémissais, incapable de répondre, perdu dans l’extase. J’étais tellement excité que j’ai joui sans me toucher, un orgasme foudroyant qui m’a arraché un cri aigu, presque féminin. Mon sperme a giclé sur les couvertures, et j’ai balbutié un “pardon” ridicule. Il a ri, me tapant le cul. “T’es parfait, bébé. Lâche-toi.” Il a accéléré, me pilonnant sans pitié, son souffle devenant erratique. Puis, d’un coup, il s’est retiré et a joui, son sperme brûlant inondant ma raie, dégoulinant sur mon trou béant. J’ai senti chaque jet, chaque goutte, comme une marque de possession. On s’est effondrés, côte à côte, reprenant notre souffle. Il m’a roulé une dernière pelle, un baiser de mâle, dominant, avant de me lâcher un “T’es un bon coup, gamin.” Quelques minutes plus tard, j’étais dehors, seul, le cul en feu, un goût de bite en bouche et une certitude : j’allais recommencer, et vite. Cette nuit avait réveillé la salope en moi, et je n’avais plus honte. MON TWITTER ( X ) : https://x.com/lopenordisere
C’était une nuit brûlante, un samedi soir d’été, dans une boîte branchée d’Annecy, pas loin du lac, où les basses vibraient dans les murs et les corps se frôlaient sous les néons. Et c’est là que je l’ai vu : un Turc, un putain de canon de 30 ans, un mètre soixante-quinze pour 75 kilos de muscles secs, taillés par le boulot – maçon, m’a-t-il dit plus tard, et ça se sentait dans ses paluches énormes, quatre fois la taille des miennes, calleuses et puissantes. Il portait une chemise blanche entrouverte, laissant deviner un torse velu, des poils noirs comme l’ébène qui débordaient du col, et un jean bleu moulant qui soulignait ses cuisses épaisses. Ses cheveux, mi-longs, raides, noirs corbeau, brillaient sous les lumières stroboscopiques, épais comme une crinière sauvage, et sa barbe taillée encadrait un visage viril, avec des sourcils broussailleux qui lui donnaient un air animal. Moi, du haut de mon mètre soixante-dix et mes 52 kilos, mince, passif, presque frêle à côté de lui, je l’ai maté toute la soirée. À un moment, il a filé aux chiottes de la boîte. J’ai pas hésité, je l’ai suivi. Là, dans la lumière crade des néons, il a sorti sa queue pour pisser : 21 centimètres de chair épaisse, 6 de diamètre, un monstre turgescent, veiné, avec un gland luisant qui m’a fait saliver direct. Il m’a capté en train de baver dessus, un sourire en coin a traversé son visage. « Suis-moi », qu’il m’a lâché, la voix grave, rauque, pleine de testostérone. On a traversé la foule, direction le parking. Sa caisse ? Une BMW noire rutilante, sièges en cuir sombre, qui puait le luxe et la sueur masculine. Il m’a poussé sur la banquette arrière, la portière à peine claquée. J’étais à quatre pattes, le cul offert, et lui, derrière moi, a baissé son jean juste assez pour libérer sa teub. Il m’a agrippé les hanches avec ses mains de brute, ses doigts s’enfonçant dans ma chair blanche et fine, et il m’a pénétré d’un coup sec. J’ai hurlé, un mélange de douleur et de plaisir, son engin me défonçant comme une perceuse. Mes petits doigts se sont accrochés à ses cheveux, ces mèches épaisses, raides, luisantes, que je tirais en arrière pendant qu’il me pilonnait. Je gémissais comme une chienne, mes lunettes glissant sur mon nez trempé de sueur, tandis qu’il grognait, ses poils noirs de torse frottant contre mon dos. Sa chemise ouverte laissait voir ses pecs bombés, couverts de cette toison sombre qui me rendait dingue. Il a posé une main sur la plage arrière pour prendre appui, l’autre me tenant le cou, et il m’a bourré encore plus fort, son bassin claquant contre mes fesses. Mais ça ne lui suffisait pas. Il m’a dit : « On va ailleurs, un vrai spot. » On a repris sa BMW, direction Argonay, un parking connu des mecs en chasse, un lieu de drague cent fois plus chaud que la Visitation. Là, au milieu des arbres et des bagnoles garées, il m’a sorti de la caisse, m’a plaqué contre le capot encore tiède, et m’a repris de plus belle. Sous la lune, je voyais ses biceps se tendre, ses avant-bras velus crispés alors qu’il m’enfonçait sa queue jusqu’à la garde. Mes doigts s’emmêlaient dans ses cheveux, je les bouffais presque, humant leur odeur de mâle, pendant qu’il me labourait le cul, ses couilles lourdes tapant contre moi à chaque coup. Il a accéléré, ses grognements devenant bestiaux, et puis il s’est retiré d’un coup. « Ouvre la bouche », qu’il m’a ordonné. J’ai obéi, à genoux sur le gravier, et il m’a arrosé : trois, quatre jets de sperme épais, brûlant, qui m’ont éclaboussé le visage, dégoulinant sur mes lunettes, ma langue, mes joues. J’en avais plein la gueule, et je kiffais ça, ce goût salé, cette domination totale. C’était un plan cul d’anthologie, hardcore, avec ce bogoss turc qui m’a déglingué comme jamais. On ne s’est jamais revus après ça, dommage. Mais cette nuit-là, entre la boîte d’Annecy et le parking d’Argonay, reste gravée dans ma peau, dans mes lunettes maculées, dans chaque fibre de mon corps éclaté par sa puissance.
Débauche imprévue et torride Toutes mes histoires érotiques et mes RDV sexe ici : https://lieuxdedrague.fr/fr/affil/Versea … eau86 Hésite pas ! Dans un petit appartement parisien, l'atmosphère est lourde de désir et de testostérone. Mon ami, un colosse viril, toujours prêt pour l'airsoft et les soirées foot, avait souvent fait des allusions suggestives, mais ce soir, les choses allaient dépasser les limites de la simple plaisanterie. La soirée commence tranquillement avec des bières, de la musique, et des jeux vidéo. Mais lorsque vient l'heure de se coucher, il n'y a qu'un seul lit. Il me propose de le partager, et je m'installe à côté de lui, mon cœur battant à l'idée de cette proximité. Il se déshabille, révélant un corps musclé à peine couvert par un boxer, ses cuisses épaisses touchant les miennes sous la couette. Impossible de dormir, l'excitation monte. Il rompt le silence, "Putain, j'arrive pas à dormir, faut que je me branle." Il commence à se caresser sous la couette, ses gémissements remplissent la pièce. Soudain, il se découvre totalement, exhibant un membre imposant, au moins 21 centimètres et large de pureté virile. "Ça te dérange pas, j'espère?" dit-il avec un sourire provocateur. Je réponds , déjà en train de sortir ma propre érection de 18 centimètres. Nous voilà côte à côte, masturbant nos queues épaisses, des gémissements harmonieux s'échappant de nos lèvres. Alors que nos mains se font de plus en plus agressives, il me demande de le sucer. Sans hésiter, je me positionne entre ses jambes puissantes, son sexe palpitant devant moi. Je le lèche de bas en haut, goûtant chaque parcelle de sa chair, avant de l'engloutir entièrement. Son membre durcit encore plus dans ma bouche, ses hanches poussant pour aller plus loin. Il annonce qu'il va jouir, et je continue, accélérant mes mouvements jusqu'à ce qu'il libère un flot chaud et sucré dans ma gorge. À l'instant même où l'extase me submergeait, la porte explose sous la force de l'entrée d'un invité surprise, un ami rugbyman de mon pote, dont les yeux s'écarquillent face à l'éjaculation monumentale. Il reste cloué sur place, mais mon ami, avec une audace sans borne, lui fait signe de s'avancer. L'invité, après un moment de choc, laisse tomber ses vêtements, révélant un membre de 22 centimètres, gorgé de sang, la veine centrale palpitante. Son gland, déjà luisant de pré-sperme, montre à quel point il est prêt pour la débauche. Je ne peux m'empêcher de penser à quel point j'ai toujours eu un faible pour les hommes avec des bosses énormes dans leurs pantalons. Et vous, qu'est-ce qui vous excite chez vos amis? Mon ami, avec une maîtrise qui frise l'art, enroule sa main autour de mon membre encore dur, ses mouvements devenant plus frénétiques. Je jouis avec une violence inégalée, mon sperme jaillissant en jets épais et longs, recouvrant non seulement son torse mais aussi ses lèvres, certaines gouttes tombant même sur son menton. Il goûte ma semence avec une curiosité perverse, sa langue sortant pour lécher ce qu'il peut, semblant presque jouir de cette humiliation et de cette domination. Cette nuit-là marquait le début d'une orgie sans fin, où chaque session devenait plus hardcore, plus animale. Nous étions nus, nos corps glissants de sueur et de fluides, sans la moindre barrière de latex pour entraver notre désir. Chaque rencontre poussait les limites de la décence, nos actes devenant de plus en plus explicites et pervers. Nous nous sommes retrouvés encore et encore, explorant avec notre invité surprise les fantasmes les plus tordus. Des pénétrations brutales, des jeux de domination où chaque cri, chaque gémissement était une offrande à notre soif de plaisir. Nous avons laissé derrière nous toute forme de normalité pour embrasser une vie où chaque rencontre était une exploration de la lubricité la plus crue. Les corps se contorsionnaient, les bouches s'ouvraient pour accueillir des membres engorgés, des mains exploraient chaque recoin, chaque orifice dans un ballet de désir insatiable. Chaque rencontre était une nouvelle leçon en perversion, où le tabou n'existait plus, où chaque acte était une célébration de notre nature la plus primitive et la plus charnelle.
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Branle entre potes Histoire gay publiée le 10/12/2018 Avec mes potes on n’est pas pudiques entre nous. On n’a aucune gêne à se foutre à oilpé quand on est entre nous dans la douche au foot ou même simplement chez l'un de nous quand les darons ne sont pas là bien sûr. L'autre jour on est allé chez oim avec mes potes. L'appart était vide, cool on s'est foutus à oilpé direct OKLM. Mes potes m’ont demandé “wesh t’as pas un film de boule, on a envie de se vider les couilles nous”. “-Si les gars attendez j'arrive”. J’vais chercher c’ki faut sans oublier le sopalin parce qu’avec mes potes on est des gros gicleurs alors faudrait pas en foutre partout. Je mets le film, je m'installe trkl avec mes potes sur le canapé. Mes potes ont déjà commencé à s'astiquer la teub, on commence tous à bander comme des porcs quand on voit la chienne du film de boule se faire défoncer par 3 blacks. Un dans le cul, un dans la chatte et un dans la bouche. Mes potes ne se gênent pas de faire des commentaires “-ahhh la salope j’kifferais trop la baiser comme aç”. Mon autre pote lui se branle en se touchant les couilles “-oh putain les gars j’kiff trop me faire pépon en me faisant toucher les couilles, là j’kifferais trop une bonne salope comme dans le film”. On rigole bien entre potes, on ne se gêne pas, on est entre nous. D'un coup la porte s'ouvre et mon grand frère rentre avec ses potes “-alors les frérots on s’fait pas chier à c’ke j’vois, putain elle est bonne la salope les gars ça vous dit pas là de vous vider les couilles vite fait ?”. Ses potes disent oui et ils se foutent tous à oilpé comme nous et nous rejoignent sur le canapé “-allez les gars faut se serrer un peu là”. On se sert et mes cuisses nues touchent celles de mes potes poilus. On continue de se branler et on commente tous le film. Ça ne me gêne pas de me branler devant mon reuf, on s'est déjà vu à oilpé donc c’est cool, on continue tous à se branler quand les gars commencent à prendre du sopalin parce que la fumée monte. Mdr c trop bon de se branler entre mecs, on file tous les uns après les autres et on inonde le sopalin. Les couilles bien vidées mon reuf et ses potes partent au foot. En partant mon frère me lâche “-j'ai pas compris frérot, t’es devenu un homme maintenant, t’as bien changé”. On se check et il part avec ses potes. Moi avec mes potes on reste là comme des cons à oilpé. Un de mes potes lâche “-putain trop chelou de se branler avec les grands de le téci mais ça va ct cool, bon j’dois pisser mtn mdr”. On a tous envie de pisser alors on va dans la salle de bain et on se fout devant la baignoire et on lâche notre pisse de bonhomme. Depuis à chaque fois qu'on se revoit on se refait ça, c trop bon la branle entre couilles.
1 | La poutre Je m'appelle Yohan. Yohan Essel. Je suis hétérosexuel, marié depuis près de douze ans avec Marion, de trois ans ma cadette. Nous avons un petit Lucas. Je suis maître-nageur sauveteur dans une grande ville des Alpes Maritimes. L'histoire que je vais vous conter dépasse tout entendement. Parfois, j'ai du mal à y croire, au point de me demander si je n'ai pas rêvé tout ce qui m'est arrivé... Mais laissez-moi d'abord me décrire. Je mesure 1m83. Cheveux blonds coupés courts, de jolis yeux bleu qui font des ravages auprès de ces dames et une légère barbe ambrée, histoire d'accentuer mon côté macho. (un peu le même look que le regretté Paul Walker) Côté physique, je suis de constitution solide avec 88 kg sur la balance. J'ai la chance de posséder un torse long et nerveux avec des pectoraux bien larges et des abdominaux en béton. À trente-cinq ans, il me reste encore de beaux restes. Ancien champion de natation, je continue d'aligner les bassins, ce qui me confère une condition physique irréprochable. Mais trêve de bavardages... Retournons là où tout a commencé. ... Chaque jeudi nous accueillons les classes de terminale du lycée de la ville. Des jeunes entre 18 et 20 ans. Perché au sommet de ma chaise de surveillance, je les observe s'agiter dans l'eau. Je suis obligé de rappeler à l'ordre les plus turbulents. Justement, l'un deux vient de chuter sur le carrelage. Il se tient le haut de la cuisse. Il me faut l'emmener à l'infirmerie. C'est une pièce exiguë, un peu sombre avec une table de soin et une armoire à pharmacie. Je demande au jeune homme de s'asseoir sur la table. Ses pieds pendent dans le vide. Il se tient la cuisse droite, juste en dessous de l'aine. J'analyse tout de suite les symptômes: une tendinite au niveau des adducteurs. Je m'accroupis au niveau de son entrejambe. Je lui palpe la zone endolorie. Il grimace de douleur. Dès que j'appuie un peu fort, il écarte les cuisses par réflexe. Sans m'en rendre compte, je me retrouve le nez à quelques centimètres de la naissance de son sexe. J'ai sous les yeux, ses grosses boules emprisonnées dans son maillot de bain bleu et surtout une barre de chair impressionnante pour son âge. Elle repose tout en longueur sur le côté droit. Je m'arrête de le masser, ahuri par la taille de son membre. Il est si gros qu'il étire un maximum le tissus de nylon. Le gland menace à tout instant de franchir la mince barrière de l'élastique. Comment un jeune aussi fluet peut-il être pourvu d'une telle protubérance? - Heu!!!... Quelque chose ne va pas, monsieur? Je reprends vite une attitude professionnelle. - Tu as une inflammation au niveau de la cuisse droite. Rien de bien grave, rassure-toi. Allonge-toi, je vais te masser la zone endolorie avec une pommade anti-inflammatoire. Il s'exécute docilement. Je vais chercher la pommade dans la pharmacie. Lorsque je reviens, il se retrouve sur le dos, les bras le long du corps, jambes écartées... et ce tube monstrueux sous le maillot. Je ne suis pas gay, je n'ai jamais regardé un autre homme, encore moins un jeune de dix-huit ans qui pourrait être mon fils, mais là, je perds toute contenance. Je suis obnubilé par ce que je vois. Je commence un massage léger. Mon jeune patient a fermé les yeux. J'appose mes mains sur sa cuisse. Malgré sa maigreur, il est très finement musclé. Ses jambes sont recouvertes d'un duvet foncé qui commence à bien s'épaissir. Une fine ligne de poils noirs sort du maillot par le haut pour finir sous le nombril. Je ne peux détacher le regard de son sexe. J'ai tout le loisir de l'examiner puisqu'il semble somnoler sous l'effet de mes mains expertes. Je fais des cercles concentriques, de plus en plus proches de son tuyau. De temps en temps, je l'effleure. Je masse sous la naissance de ses couilles. Je m'attarde quelques secondes. J'essaie d'être discret... Je ne voudrais pas qu'il se doute de quelque chose. Maintenant, pendant que je masse son entrejambe endolorie, je rentre régulièrement en contact avec sa queue. Le dos de ma main entreprend un discret va-et-vient sur toute la longueur de sa tige. Je peux sentir cette zone renflée et plus ferme. Je n'ose aller jusqu'au gland, qui pointe loin, hors des hanches. Ma manœuvre commence à porter ses fruits. Je jurerais que sa colonne de chair a pris du volume. Putain, c'est un bazooka qu'il a entre les jambes, ce lycéen. Ma femme me dit souvent que je suis bien monté (19cmX5) mais là, je suis largement battu. Je la regarde avec gourmandise. Je ne me reconnais plus. Ce mec est tout juste majeur. Je suis sur mon lieu de travail. Je risque le renvoi... Pourtant, je me surprends à passer ma langue sur mes lèvres. Elle me fait envie. Mon cerveau me dit d'arrêter alors que ma bite et ma bouche me crient le contraire. Tout en continuant à masser, je me penche encore un peu plus. Je suis à présent à quelques millimètres de son gigantesque pieu. Je prie intérieurement pour qu'il continue à somnoler. Je respire son odeur de chlore. Je sors le bout de ma langue malgré moi. Elle entre en contact avec le tissus. D'abord timide, elle s'enhardit. Elle part des boules, qu'elle humecte tour à tour, puis remonte lentement les 24cm de chair à demi bandés. Je ne sais plus ce que je fais, mais ce qui est sûr c'est que mon esprit, mes lèvres, mes reins veulent prendre possession de cette chose merveilleuse. Je continue de lui suçoter la queue à travers le maillot. J'honore chaque parcelle de toile tendue. J'arrive enfin à l'énorme dard qui déforme le lycra. Il est bien plus large que la base de sa queue. Je le regarde avec fascination. Ma bouche s'entrouvre, salive de désir... Je sais que c'est le moment de bascule. Rien n'est encore irrémédiablement perdu. Je peux revenir en arrière... Je fais un effort surhumain pour me ressaisir lorsqu'une main autoritaire me saisit la nuque. Je veux me redresser, mais impossible. Ma bouche s'écrase sur son manche, ce qui a pour effet de faire sortir le gland par l'échancrure du maillot de bain. La pression de sa main fait que je n'ai d'autre choix que de le prendre entre mes lèvres. A cet instant, j'ai capitulé. Peu importe les conséquences, je veux aller au bout de cette passion dévorante. C'est la première fois que je vais sucer un homme. Peut-être la dernière. Je ne sais pas comment je vais m'y prendre, mais ce que je sais, c'est que j'ai faim de cette bite monstrueuse. Je descends son slip de bain. Ses 29cm me sautent au visage. Je suis affamé de sa viande. J'en prends autant que je peux, environs dix-huit cm puis, bientôt vingt-deux. Je commence à sucer comme un fou. Je branle ma propre queue à travers mon speedo. Je sais que je manque d'expérience. Que je ne lui prodigue pas la meilleure pipe de sa vie, mais mon désespoir de le sucer est compensé par ma fougue. Ma bouche enserre son gland de manière incontrôlable. J'utilise ma langue autant que je peux, mais elle manque de place, tant son dard est énorme. Je descends mes lèvres sous sa crête, titille la fente. C'est une zone sensible, je le sais. Ma femme me le fait souvent... Je l'entends gémir, je redouble d'ardeur . Je ne veux pas le décevoir. Je le suce aussi fort que je peux. Mais c'est tellement gros que je dois ouvrir ma bouche aussi largement que possible pour enfourner un peu plus de viande à chaque fois. Je la sens glisser contre mon palais, butter sur la luette. Je suis presque bâillonné, mais je continue de le sucer. J'arrive fièrement à avaler les trois quart de son chibre. A chaque fois que son gland tape le fond de ma gorge, je manque m'étouffer. Soudain, ses deux mains agrippent ma nuque. Je sais trop bien ce qui va advenir. Il me bloque la tête. Pendant cinq secondes, le monde se fige. Je cesse de respirer, anxieux... Brusquement, une grosse salve épaisse jaillit. Suivie presque aussitôt d'une deuxième. J'ai un mouvement de recul, mais ses mains m'emprisonnent. J'étouffe devant l'abondance de la charge. Il me déverse un véritable tombereau de sperme. Je parviens à en avaler la majeure partie qui inonde mon œsophage. L'autre partie s'échappe de la commissure des lèvres, coule sur mon menton et se déverse en une grosse flaque visqueuse sur le carrelage. Il me nourrit de son jus. Je continue à lui sucer la queue. Elle a à peine dégonflé. Je lape les dernières gouttes de son précieux nectar. Je suis dans un état second. Comme si un autre que moi avait joué la scène. Trois coups discrets sont frappés à la porte. - Monsieur le maître-nageur, ma professeur m'envoie vous dire que le cours est fini. - J'arrive, lance mon jeune lycéen. Au moment de partir, il me regarde et me sourit. Je lui rends son sourire, avant de lui demander, un peu gêné. - Tu,... tu ne diras rien? Il fait non de la tête. - Je peux savoir comment tu t'appelles? Il me gratifie d'un clin d'œil complice avant de répondre: - ''La POUTRE !''