par edenpark83 »
Mar 24 Sep 2024 15:14
Me revoilà encore une fois pour relater quelques souvenirs, mon récit d'hier ayant fait ressurgir d'autre anecdotes.
J'en était resté à la découverte de ma première branlette suivant les bons conseils de mon ami d'enfance.
A partir de ce moment là, j'ai commencé à me branler tous les jours, 1, 2, 3 fois selon mon état et mon excitation, mais en tous les cas au moins 1 fois chaque soir avant d'éteindre la lumière alors que j'observais la pousse de mes poils de bite.
Je me souviens de la manière dont ils progressaient, devenant de plus en plus nombreux, se densifiant à la base de ma queue et gagnant de plus en plus d'espace sur mon pubis imberbe. Puis il y a eu la phase ou les poils ont commencé à descendre entre mes cuisses et mes couilles, dans le sillon de l'articulation, de chaque coté des couilles, puis, plus tard, vers 14 ans, à ce rejoindre sous les couilles et continuer leur avancée autre de mon trou du cul.
Je me suis également retrouvé sur le dos, jambes relevées et écartées, à observer ma raie dans un miroir en me branlant, le soir dans mon lit.
Puis, il a fallu que je teste toutes les pièces : salle de bain, WC, salle de jeu, chambre des parents avec l'armoire équipée de portes miroir devant lesquelles je m'observais en me branlant, de face, de dos, de profil à gauche, à droit, assis,à 4 pattes.
Je me souviens avec éjaculé dans le moindre recoin de la maison, de la cave au grenier. Mon sperme s'est étallé sur chaque cm² de notre maison.
En parallèle, ma curiosité s'aiguisait par rapport aux autres garçons de ma classe. Mater dans le coin de l'oeil mon pote qui pisse aux urinoirs pour voir sa queue et s'il était poilu ou pas, que je puisse me comparer. Et évidement, les meilleurs souvenirs restent l'éternelle séquence "piscine", soit dans le cadre scolaire, soit en vacances.
A la piscine scolaire, tout le monde arrivait portant déjà son maillot de bain. Donc pas grand intérêt au début, tout le monde filait rapidement autour du bassin.
Mais à partir de là, je ne pouvais m'empecher de mater mes potes sans me faire remarquer. J'observait les bosses, les formes, la présence de poils au dessus du maillot. Ce qui m'esxcitait le plus c'était quand les poils commencaient à devenir nombreux chez ceux qui étaient un peu plus en avance, à tel point qu'ils pouvaient dépasser du maillot de bain sur les cotés de la bosse, vers les cuisses. Ca attirait l'oeil directement par contraste avec le haut des cuisses imberbes. C'était encore plus excitant au sortir de l'eau, lorsque les poils sont mouillés et collent à la peau. J'imaginais alors leur touffe et comment leur queue était "rangée" dans ces maillots si serrés.
Et puis, après ces séances, on retournait aux vestiaires.
Je me souviens du sentiment de pudeur générale, chacun prenait sa douche en gardant son maillot, se savonnant rapidement le sexe avec la main dans le maillot. Je faisais pareil, et me souviens de la sensation de l'eau chaude de la douche et du gel douche alors qu'on porte encore ce maillot.
Puis on se retrouvait au vestiaire pour se changer, et là, j'étais véritablement à l'affût, matant discretement les mecs qui se retrouvaient à poil pour mettre leur souvetement.
J'observais, dans l'espoire qu'une serviette ne masque pas tout, d'un angle de vision favorable. Ca m'aurait fait bander en temps normal, mais le stress m'en empechait fort heureusement. La vu du sexe de l'un ou l'autre, leur pilosité, leurs aisselles, je ne loupait rien.
J'ai associé ces souvenirs à l'odeur de la javelle des piscines. Quand je me retrouve dans une piscine publique, cette odeur me rappelle systématiquement cette période, qui a duré du collège à mes études supérieures.
Ma curiosité durant toute cette période a évoluée au fil du temps. Au college je cherchais à me comparer aux autres, au lycée, c'était plus ludique, car nous étions tous presque adultes. Il n'y avait plus vraiment de raison de mater la queue des autres, c'était plutot la période de la comparaison de la musculature. Et le fait qu'au lycée on était peut être moins pudique, à force de voir ses potes à poil, ca perd de l'intéret.
Mais j'aimais quand meme encore mater, et j'imaginais comment la queue de tel mec était quand il bandait, ou comment il baisait...
Je me souviens également d'une période vers mes 14-15 ans, j'ai découvert que mon père avait des films X enregistrés sur des cassettes. Tous les samedis matins, quand ils partaient faire les coursses avec ma mère et mon petit frère, je restais à la maison pour regarder ces films. Cela m'a vallu de longues séquences de branles, assis dans le fauteuil en cuir du salon, une jambe sur un acoudoir pour bien écarter les jambes et profiter de ma branle.
Ca finissait systématiquement par une énorme éjac SOUS e tapis du salon. Car j'ai découvert que la sous-face du tapis du salon absorbait le sperme, et du coup, cane se voyait pas en temps normal et si on relevait le tapis, il n'y avait aucune trace sur le carrelage. C'était génial.
Puis un jour, j'ai parlé de ces videos à mon cousin qui a mon âge. Il n'en avait jamais vu. On a donc profité d'une semaine durant laquelle il était en vacance chez nous pour regarder ces films. On s'est fait ca tous les matins pendant les 5 jours de la semaine (mes parents travaillaient et mon petit frère etait en vacance chez notre grand*mere).
ON se branlait en commentant, en imaginant qu'on était les acteurs du film. Ca terminait par le concours de celui qui gicle le plus loin.
A cette époque, j'étais super proche de mon cousin. On se racontait tout.
Un jour il me raconte lors d'une ballade qu'il avait doigté une de ses cousines (non commune avec moi). Ca m'a d'abord surpris, puis j'étais jalouss.
Mais ça m'a travaillé un long moment, jusqu'au jour où, en vacances chez ma grand-mere, ma tante dépose une de mes cousines pour rester une nuit.
Elle a 1 an de moins que moi, j'avais 14-15, elle devait donc avoir 13-14.
Et bien vous l'aurez deviné, et je ne sais plus comment on en est arrivé là, mais ce jour là, elle m'a montré sa chatte, je l'ai touché, et je l'ai doigté. A l'arrache, dans le salon, devant la télé, alors que notre grand mere etait dans la mièce à coté à cuisiner.
Je me souviens de ses poils noirs et brillants. Une touffe dense mais fine. Assez dense pour masquer sa vulve. Je me souviens de l'effet de l'odeur de sa chatte sur mes doigts, du gout de sa mouille que j'ai découvert en le lechant les doigts.
Et j'ai eu le plaisir de lui montrer ma queue. Elle était impressionnée, mais n'a pas voulu la toucher....
On a du s'interrompre pour aller manger....
Toute la soirée, j'ai essayé de la convaincre qu'on se rejoigne dans sa chambre ou la mienne pour poursuivre les découvertes, mais sans succès...
Cet épisode m'a fait découvrir un tout autre volet de la sexualité, et c'est à partir de là que je suis devenu impatient de baiser.... La branlette ne me suffisait plus, il fallait que je baise....