par artetmuse »
Mer 5 Déc 2018 13:39
Elle s'enfouissait mon visage entre les seins, puis se le passait de l'un à l'autre, avec une excitation que je pouvais ressentir.
Elle m'écartait ensuite et d'une main appliquée sur le torse me faisait basculer sur le canapé.
Son corps venait me surplomber, ses seins remontaient à hauteur de mon visage, puis sa langue venait s'engouffrer dans ma bouche, son baiser glissait sur mon torse, mon ventre.
L'instant suivant elle se redressait et d'un geste précis saisissait les élastiques de mon survêtement et de mon slip, tirait ensuite.
Mon sexe jaillissait, elle reculait vers l'extrémité du canapé, emportant ce qui me restait de vêtement.
Elle posait délicatement mon bas de survêtement sur la table basse, saisissait son verre et s'adossait sur l'accoudoir.
Son visage recouvrait l'expression de la malice d'une petite fille, elle me regardait fixement et portait son verre à ses lèvres tout en écartant perceptiblement les cuisses.
Elle m'offrait la vue de sa fente lisse et serrée, juste surmontée d'un filet de poils ras.
Je contemplais comme j'aurais contemplé l'origine du monde, mais avec beaucoup moins de mystère.
Elle, avait décidé de me donner un spectacle plus élaboré, sa main glissait sur son ventre, lissait son pubis minimaliste, déployait son majeur et l'écrasait dans sa fente.
Sa tête basculait en arrière, puis se redressait, sa bouche s'ouvrait largement comme ses cuisses, son doigt décrivait de petits cercles sur le haut de sa fente, puis était rejoint pars les autres, elle s'écartait, s'étirait.
Elle faisait apparaître entre ses doigts ce qui m'était inconnu, ce bouton rosâtre qui avait presque la taille d'une olive et qu'elle faisait enfler et rebondir avec un plaisir certain.
Ma main s'enroulait sur mon sexe sans même que j'en ai eu le projet, elle m'en faisait rendre compte d'une voix presque animale:
"Oui vas y ! Branle toi !"
Je sentais mon cœur cogner l’intérieur de mon crâne, ma main percuter le bas de mon ventre tant je me branlais fort.
Elle s'envolait, devenait intarissable, des mots sortaient de sa bouche presque incompréhensibles, d'autres m'encourageaient entrecoupés de gémissements.
Elle pataugeait dans sa fente, ses doigts s'agitaient frénétiquement dans un bruit de plus en plus liquide, lui extirpaient de petits cris.
C'était surréaliste, je m'empoignais sans aucune douceur, sans presque de sensation de plaisir, c'était mécanique, Je me sentais énorme.
Elle se mettait à répéter "oui" sous différentes intonations, inspirait et bloquait entre chaque, jusqu'au dernier rauque qu'elle hurlait presque en se broyant un sein et en ruisselant entre ses doigts.
La seconde suivante elle gisait, sa tête avait disparu et pendait renversée de l'autre côté de l'accoudoir, ma vue s'arrêtait à sa poitrine essoufflée, haletante.
Sa jouissance avait eu sur moi l'effet d'une bombe, j'en avais cessé de me masturber, je regardais mon sexe érigé avec un sentiment de démesure, de puissance.
Elle finissait par se repositionner péniblement, son visage réapparaissait confus, un peu honteux, pourtant son regard se fixait sur mon sexe sans pouvoir s'en détacher.
Pour moi c'était comme si j'avais une insurmontable envie de jouir et que je ne pouvais pas, j'étais bloqué à point que c'en était presque douloureux.
Elle s'asseyait, attrapait une dernière fois son verre et le finissait, se levait ensuite et ramassait sa chemise de nuit, à ma surprise elle la posait avec le bas de mon survêtement et allumait une cigarette.
Dehors c'était nuit noire, la télé nous éclairait d'une lumière blafarde et diffusait un programme de fin de soirée.
Le temps s'était écoulé bien plus rapidement que je ne l'avais ressenti.
Son corps se dessinait devant l'écran qu'elle éteignait, sa cigarette s'écrasait dans le cendrier avant que sa main saisisse la mienne pour me faire lever.
Elle me tractait dans le noir jusqu'à sa chambre où elle nous faisait entrer.
Elle allumait sa petite lampe de chevet, jugeant la lumière trop forte elle sortait un linge du tiroir de sa table de nuit qu'elle posait sur l'abat jour et ouvrait son lit.
Son visage était grave, un peu plus avec cette lumière tamisée, elle entrait dans le lit et m'attirait contre elle.
Elle chuchotait: "Viens .."; et m'enlaçait.
Nos bouches s'ouvraient encore l'une à l'autre, dans un mélange de langues, de tabac et d'alcool, nos corps se pressaient l'un contre l'autre.
Mon sexe venait butter et glisser contre son ventre dans une sensation de plaisir inouïe.
Nos respirations s’accéléreraient et se synchronisaient.
Mes mains cherchaient indélicatement ses seins, les siennes venaient longer mon sexe.
L'excitation raccourcissait nos souffles, les saccadait.
Nos corps mêlés roulaient alternativement d'un côté, puis de l'autre, comme pour retarder ce qui allait arriver.
Mon gland venait s'écraser sur sa fente, elle nous faisait rouler une dernière fois, elle me maintenait sur elle et me guidait entre ses cuisses.
Une main pressait sur le bas de mes fesses, puis en agrippait une, mon gland découvrait l'humidité et la chaleur de sa fente, sa main me poussait lentement en elle, jusqu'à la sentir envelopper totalement mon sexe.
C'était ... Je n'ai pas de mots pour décrire cet instant, une fusion peut être.
Son corps vibrait tout entier, le mien s'abandonnait totalement, nous nous sommes crispés ensemble, on a crié je crois en plantant nos ongles dans nos chairs.
j'ai explosé, enfin tout mon corps a explosé, mon cerveau, mes reins, je l'ai senti m’inonder.
Ce fut tellement puissant que je ne me souviens pas m'être endormi.
Je me réveillais au milieu de la nuit, comme sorti d'un rêve, la réalité était que nous étions encore enlacés dans la lumière tamisée.