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Créé par spider25

Qui me donne sa bite en Nord isere ! : https://x.com/lopenordisere

Dépannage: le plombier à quatre pattes

Publié par : gaypourmecs le 04/06/2025
Je suis plombier, artisan dans l’âme, 35 ans, baraqué par le taf, torse velu et cul bombé moulé dans mon bleu de travail. Chaque jour, je trimballe ma caisse à outils, je me faufile sous les éviers, à quatre pattes, le jean qui glisse juste assez pour laisser entrevoir la raie. Et putain, ce fantasme qui me hante : un dépannage qui dérape, un client qui me chope, et moi qui finis à poil, offert, défoncé. Aujourd’hui, ce n’est plus un rêve. Ça arrive.
Je sonne chez un mec, un pavillon discret en périphérie de Grenoble . Le type qui ouvre, la quarantaine, grand, musclé, une barbe taillée et un regard qui me scanne direct. Il porte un t-shirt gris qui colle à ses pecs et un short qui ne cache rien de la bosse monstrueuse en dessous. "C’est pour la fuite sous l’évier," qu’il dit, la voix grave, un sourire en coin. Je sens l’électricité dans l’air, mon cœur cogne, ma queue tressaille déjà dans mon boxer.

Je me mets au boulot, à quatre pattes sous l’évier, mon cul relevé, le jean tendu à craquer. Je sens ses yeux sur moi, lourds, brûlants. "T’as l’air à l’aise comme ça," qu’il lâche, provocateur. Je ricane, joue le jeu : "Ouais, c’est ma position préférée." Erreur fatale. Ou plutôt, jackpot. Il s’approche, ses baskets crissent sur le carrelage. "Lève-toi, plombier," qu’il ordonne. Je me redresse, un peu tremblant, la clé à molette encore en main. Il me plaque contre le plan de travail, son corps contre le mien, sa bosse dure contre ma cuisse. "T’as envie, hein, salope ?" qu’il murmure, son souffle chaud dans mon cou.
Il arrache mon bleu de travail, les boutons sautent, mon torse poilu s’expose. Mon boxer suit, libérant ma queue, 16 cm, raide comme du béton, mais c’est pas ça qu’il veut. Il me retourne, me penche sur l’évier, mon cul à l’air, offert. "Putain, quel cul," qu’il grogne, en claquant mes fesses, fort, une fois, deux fois. La douleur m’électrise, je gémis, déjà en chaleur. Il crache dans sa main, enduit ses doigts, et les enfonce direct dans mon trou. Deux, puis trois, brutaux, qui m’étirent sans ménagement. Je râle, le cul en feu, mais ma queue goutte sur le carrelage.
Il baisse son short, et là, je le vois dans le reflet de la vitre : une bite énorme, 20 cm minimum, épaisse, veinée, un monstre luisant de pré-cum. "T’es prêt, plombier ?" qu’il ricane, en tapant son gland contre mes fesses. Sans attendre, il s’enfonce, d’un coup, profond. Je hurle, le plaisir et la douleur se mélangent, mon corps tremble sous l’assaut. Il me pilonne, ses couilles lourdes claquent contre moi, un rythme sauvage, animal. Ses mains agrippent mes hanches, ses ongles s’enfoncent, il me traite de "salope", de "chienne", et je kiffe chaque mot, chaque coup de rein.

Je m’abandonne, à quatre pattes sur le sol maintenant, le carrelage froid contre mes genoux. Il me baise comme une bête, sa queue me déchire, frotte ma prostate à chaque passage, m’arrachant des gémissements de plus en plus forts. "T’aimes ça, hein, te faire démonter ?" qu’il grogne, en tirant mes cheveux pour me cambrer encore plus. Je suis sa pute, son jouet, et putain, c’est tout ce que je voulais. Il accélère, ses coups deviennent frénétiques, ses grognements plus rauques. "Ouvre la bouche," qu’il ordonne soudain. Il se retire, me retourne, et m’enfonce sa bite dans la gorge. Elle est salée, épaisse, envahit tout. Je bave, j’étouffe, mais je suce comme un affamé, mes mains sur ses couilles, lourdes et duveteuses.
Il explose, un torrent chaud qui gicle dans ma gorge, sur mon visage, ma barbe. Je bois tout, avide, docile, pendant que ma propre queue, intouchée, lâche des jets sur le sol, secouée par une jouissance brutale. Il me regarde, satisfait, essoufflé. "Bon boulot, plombier," qu’il lâche, moqueur, en remontant son short. Je ramasse mon bleu de travail, le cul encore palpitant, le goût de son sperme dans la bouche. En quittant la maison, je sais que ce fantasme, je l’ai vécu. Et je veux recommencer.

17/06/2025 09:39

Johndoe44 : Trop bandant comme récit....


Chaud snap now dickybep


10/06/2025 11:28

je fantasme sur un mec dominant qui nous prendrait ma femme et moi, me laisserait le sucer entre deux coups de reins dans ma femme mais surtout me ferait baiser ma femme avec son foutre encore en elle

17/06/2025 09:41

Johndoe44 : Je te ferai lécher sa chatte après avoir giclé dedans...


12/06/2025 05:43

braneman2 : Joli programme pour un bon moment de plaisir


11/06/2025 15:54

Yvesrainier : Si je pouvais habiter près de chez vous


11/06/2025 08:34

louise06 : ...superbe cul


10/06/2025 20:43

Mogadore : Mp


10/06/2025 15:56

Folifo76360 : Trop bonne ta femme sa donne envi de la remplir de foutre


10/06/2025 14:46

titmec69 : Sublimement excitant


10/06/2025 12:00

kristoy : hummmm top ca!! ta femme a un bon cul!



09/06/2025 14:07

hier 5h de branle sans juter de suite ki adore faire sa ausssi ?

15/06/2025 15:36

Poto_Brl75 : j m gooner Aussi


10/06/2025 19:11

Branleurnolimit : Moi aussi, j'adore ça et je le fais régulièrement


09/06/2025 21:36

Chobranle_ch : Je kiffe trop


09/06/2025 20:37

diwdiw : Ca m’arrive de faire ça


09/06/2025 14:30

Lepetittimide : Moi jadore


09/06/2025 14:08

Dontcare : Génial



06/06/2025 15:09

J avais 15 ans en vacances dans le sud vers carpentras une après midi je suis aller au ciné voir un film érotique je crois c'était y a longtemps j était tranquille dans le noir je regardais le film quand un vieux c est assis a côté de moi et il a mis sa main sur ma cuisse j ai eu peur mais il m a dit qu il me donnerai de l argent s il pouvait voir mon zizi il voulait le voir et se branler j ai laissé faire pour 100francs ca a durer 5 minutes il m'a donné et est parti, c était la première fois que je voyais la queue d un homme qui n était pas de ma famille

06/06/2025 21:46

Minou21 : Hummmm....belle histoire...


06/06/2025 17:10

louise06 : belle histoire


Daddy kiffe jh. Cherche bon pote daddy ou jh no tabou perv no limite


27/05/2025 19:20

Qui veut me parler


25/05/2025 11:42

Qui veut me parler de tout et fantasme et inceste

06/06/2025 17:11

louise06 : commence par raconter les tiens, ça incitera les autres à enchaîner LoL


Défoncé par un ami de mes parents ! https://x.com/lopenordisere
https://x.com/lopenordisere
Je m’appelle Théo, j’ai 22 ans, je vis à Paris. Mince, 1m75, peau claire, cheveux châtains en bataille, yeux verts qui trahissent mes tourments. Ma queue, fine mais longue de 17 cm, est souvent trempée de mouille quand je fantasme sur des hommes mûrs. Mes désirs homosexuels, refoulés depuis toujours, me consument. Je passe mes nuits à me branler en imaginant des bites épaisses, des mains puissantes, des voix graves me dominant. Un homme en particulier hante mes pensées : Marc-Antoine, 52 ans, un ami proche de mes parents. Ce colosse de 1m90, baraqué, barbe poivre et sel, yeux perçants, dégage une aura de domination. Sa queue, que j’imagine massive, 20 cm, gland large et veiné, est l’épicentre de mes fantasmes les plus crus. Chaque fois qu’il parle, sa voix rauque me fait bander instantanément.
L’histoire se déroule à Saint-Tropez, dans une villa somptueuse perchée sur une colline face à la Méditerranée. Marc-Antoine fête son anniversaire, une soirée grandiose avec guirlandes lumineuses, DJ aux platines, champagne millésimé et une foule d’invités huppés. La villa, un bijou d’architecture, est décorée de meubles en bois exotique, tapis persans, et une piscine à débordement scintille sous des LED colorées. Les convives logent dans des suites luxueuses ou des bungalows design disséminés dans un domaine privé, isolé du tumulte de la côte.
La soirée : Je me tiens un peu à l’écart, sirotant du champagne, les yeux rivés sur Marc-Antoine. Sa chemise en lin blanc, entrouverte sur un torse musclé et bronzé, me rend fou. Ma queue durcit dans mon jean slim à chaque fois qu’il croise mon regard, un sourire en coin sur ses lèvres. Je m’imagine des scènes torrides : le suivre dans une salle de bain isolée, m’agenouiller, le supplier de me laisser sucer sa bite. Je fantasme sur lui me prenant sauvagement, me traitant de salope, mais la peur et la honte me paralysent. Je me contente de mater, ma queue à moitié dure mouillant mon boxer, le tissu collant à ma peau.
Vers 2h du matin, la foule se disperse. Ivre et frustré, je m’éclipse vers une oliveraie à l’arrière de la villa, un coin sombre où je peux m’isoler. Je m’allonge dans l’herbe, allume un joint, baisse mon jean et libère ma queue luisante de mouille. Je me branle frénétiquement, gémissant doucement en imaginant la bite de Marc-Antoine dans ma bouche, son gland épais glissant sur ma langue. Je lèche mes doigts pleins de mon propre jus, perdu dans mes fantasmes, le cœur battant à tout rompre.
Soudain, une ombre surgit. Marc-Antoine, attiré par l’odeur du joint, s’approche en silence. Je ne le vois pas tout de suite, mais quand je l’aperçois, je sursaute, remonte mon boxer en catastrophe et bredouille : « C’est pas… je faisais juste… » Mon visage s’empourpre, ma voix tremble. Il s’assied à côté de moi, presque collé, son corps dégageant une chaleur qui m’enivre. Il me prend le joint, tire une longue latte et murmure, un sourire carnassier aux lèvres : « J’espère que c’est à moi que tu pensais, petite salope. »

Tétanisé, je hoche la tête, incapable de parler. Sa main glisse sous mon boxer, libérant ma queue raide. « Laisse-toi faire », souffle-t-il avant de se pencher. Sa bouche chaude enveloppe mon gland, sa langue experte caressant chaque centimètre, de la base au bout. Je gémis, mes mains agrippant l’herbe, luttant pour ne pas jouir trop vite. Il baisse complètement mon jean, expose mon cul et effleure mon trou serré du bout des doigts. Une demi-phalange glisse en moi, et c’est trop. J’explose dans sa bouche, un orgasme si violent que je tremble, mes gémissements résonnant dans la nuit. Il avale chaque goutte, ses yeux brillant d’un éclat sauvage.
Il se redresse, essuie sa bouche et m’embrasse avec force, nos langues dansant dans un mélange de champagne et de mon sperme. Étourdi, je sens sa main guider la mienne vers sa braguette. Je découvre sa queue massive, brûlante, déjà gorgée, 20 cm de chair lourde et veinée. « Suce-moi, Théo. Montre-moi ce que tu veux vraiment. »

Comme possédé, je m’agenouille, crache sur son gland épais et le lèche avec avidité, m’étouffant en tentant de le prendre en gorge profonde. Il grogne, empoigne mes cheveux et impose un rythme brutal. « T’es ma pute, hein ? T’as rêvé de ma queue toute la soirée. » Je gémis en réponse, ma bite rebandant à chaque mot cru, mes lèvres dégoulinant de salive.
Quand il sent qu’il va jouir, il me prévient : « Si tu continues, tu vas tout prendre. » Je redouble d’efforts, ma langue dansant sur son gland, jusqu’à ce qu’il explose. Des jets puissants, épais, inondent ma gorge. Je savoure chaque goutte, le goût salé et musqué gravé dans ma mémoire. Il m’embrasse encore, mêlant tendresse et domination, avant de murmurer : « Va m’attendre dans ma suite. Nu, à quatre pattes, cul cambré. Interdit de te toucher. »

J’obéis, le cœur battant. Dans sa suite luxueuse, au lit king-size drapé de soie, je me déshabille et me mets à quatre pattes, mon cul offert, mon trou palpitant d’anticipation. L’attente est insoutenable, chaque bruit dans le couloir me fait frissonner. Enfin, Marc-Antoine entre, torse nu, son regard brûlant de désir. « Putain, ce cul… » grogne-t-il en s’approchant. Il claque mes fesses, fort, et je gémis : « Monsieur… » Il sourit, excité par ma soumission. Sa langue explore ma raie, s’attardant sur mon trou vierge, le léchant avec une voracité qui me fait hurler. Je cambre encore plus, suppliant pour plus.
Il prend son temps, glissant un doigt, puis deux, lubrifiant généreusement. Je grimace légèrement, novice, mais m’abandonne vite, mes gémissements devenant des cris. « Je veux ta queue, Monsieur. Baise-moi. » Il me fait d’abord durcir sa bite dans ma bouche, me biflant avec, me traitant de chienne. Puis il me retourne, jambes relevées, et enduit mon trou de lubrifiant. Son gland massif presse contre mon entrée. Je tremble, en apnée, partagé entre désir et appréhension. Il murmure : « T’es à moi, chéri. » Lentement, ses 20 cm s’enfoncent, jusqu’à ce que ses couilles touchent mon cul. La douleur se mêle au plaisir, et je gémis, les yeux révulsés.

Il accélère, ses coups deviennent secs, profonds, tapant ma prostate. Mes ongles s’enfoncent dans son dos, je hurle : « Plus fort, Monsieur ! » Il passe en mode animal. « T’es prête, ma salope ? » grogne-t-il, me retournant à quatre pattes. Il claque mes fesses jusqu’à les rendre rouges, crache sur mon trou et me pénètre d’un coup, brutalement. Je crie, perdu dans l’extase, me branlant frénétiquement. Mon cul se contracte sur sa queue alors que je jouis une seconde fois, mon sperme giclant sur les draps. Il s’enfonce au plus profond, grognant comme une bête, et m’inonde de jets brûlants, sa chaleur me remplissant.
On s’effondre, en sueur, enlacés. Il caresse mes cheveux, redevenu tendre. « T’es ma chienne maintenant. » Je hoche la tête, comblé, sa queue ramollissant en moi.

Le lendemain, au brunch, je croise son regard, un secret brûlant entre nous. Pendant des années, on se retrouve en cachette, dans des hôtels discrets ou des villas à l’étranger. Je deviens son amant soumis, dressé par cet homme qui m’a initié à mes désirs les plus profonds. Chaque rencontre est un mélange de tendresse et de brutalité, sa queue me possédant, son sperme marquant mon corps comme un sceau.

https://x.com/lopenordisere

23/05/2025 12:20

Instagraf02 : Très excitant belle histoire


21/05/2025 08:09

Lagouz312 : Vraiment bandant!


21/05/2025 05:55

Francois515 : bravo pour ce récit . c'est super bien écrit . Merci


20/05/2025 22:34

Mattdebordo : Réelles ou fanstasmées tu as l’art de raconter ces moments brûlant … c’est bandant !


Défoncé par les Frères et Leur Père à la Queue XXL

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C’était l’été indien, début septembre, une chaleur moite qui collait à la peau. J’avais 22 ans, un corps mince mais musclé par le sport, et je traînais chez un pote du lycée, Lucas, un mec cool avec qui je passais des heures à jouer à la console. On était affalés dans son salon, torse nu, en short, la sueur perlant sur nos pecs à cause de la canicule. La télé crachait les bruitages d’un jeu de combat, et l’ambiance était détendue, presque trop. Jusqu’à ce que tout bascule dans une spirale de vice que je n’avais jamais osé imaginer.

Vers 16h, la porte du salon s’est ouverte, et le frère aîné de Lucas, Théo, a débarqué. Une vingtaine d’années, un mètre quatre-vingt-dix de muscles saillants, des cheveux noirs en bataille et un regard de prédateur. Il sortait de sa chambre, vêtu d’un simple caleçon gris, moulant, qui ne laissait rien à l’imagination. Son torse était couvert d’une fine toison, et ses biceps roulaient à chaque pas.

J’ai buggé, la manette en main, incapable de détacher mes yeux de ce dieu vivant. Il nous a jeté un vague “salut” avant de filer vers la cuisine, son cul parfait dansant sous le tissu. Lucas a mis le jeu en pause, et j’ai bafouillé un “il est cool, ton frangin”. Il a haussé les épaules, habitué, mais moi, j’étais déjà ailleurs, la tête pleine d’images salaces.
Quand Théo est revenu, une canette à la main, j’ai cru halluciner. Son caleçon était tendu par une bosse énorme, une érection à peine contenue qui semblait me défier. Il m’a fixé, un sourire en coin, et m’a gratifié d’un clin d’œil discret mais sans équivoque. Mon cœur s’est mis à cogner, et ma queue a réagi dans mon short. J’étais grillé : ce mec savait que je le kiffais, et il en jouait. Sans réfléchir, j’ai lâché à Lucas : “Pause, mec, faut que j’aille pisser.” Il a hoché la tête, se levant pour aller chercher des sodas. Moi, j’avais autre chose en tête. Au lieu de filer aux chiottes, j’ai gravi l’escalier, le sang pulsant dans mes tempes. La porte de la chambre de Théo était entrouverte, comme une invitation.
Je l’ai poussé doucement, et là, putain, le choc. Théo était vautré sur son lit, nu, une main autour de sa queue. Et quelle queue ! Un monstre de 22 centimètres, épais, veiné, avec un gland rouge et luisant de précum. Ses couilles, lourdes et poilues, pendaient entre ses cuisses musclées. Il m’a vu, un sourire de loup sur les lèvres, et a grogné : “T’attends quoi, petit ? Viens t’amuser.” J’étais comme possédé. Sans réfléchir, j’ai balbutié : “Je… je peux te sucer ? Vite, Lucas va m’attendre.” Il a ri, un rire grave, et m’a fait signe d’approcher. “Je t’attendais, petite salope.”
Je me suis jeté à genoux devant lui, hypnotisé par cette bite énorme. L’odeur était forte, un mélange de sueur, de musc et de sexe brut. J’ai léché son gland, salé, glissant, avant d’engloutir sa queue. Elle était trop grosse, étirant mes lèvres à la limite de la douleur, mais je m’en foutais. J’ai pompé comme un affamé, bavant, gémissant, pendant qu’il me traitait de “bon suceur” et enfonçait sa bite plus loin dans ma gorge. Ses mains agrippaient mes cheveux, guidant mon rythme. En à peine deux minutes, il a grogné, ses couilles se contractant, et un flot de sperme brûlant a explosé dans ma bouche. J’ai tout avalé, pas le choix, le goût âcre et épais me faisant tourner la tête. “T’es doué, gamin,” a-t-il murmuré, me caressant la joue.

J’étais dans un état second, à la fois excité et mal à l’aise. J’ai essuyé ma bouche, mais des traces de sperme collant au coin de mes lèvres m’ont trahi. J’ai filé en bas, espérant reprendre mes esprits. Lucas m’attendait sur le canapé, deux sodas posés sur la table. Il m’a regardé, plissant les yeux. “C’est quoi, ça, au coin de ta bouche ?” J’ai viré écarlate, incapable de répondre. Il a éclaté de rire, un rire moqueur mais chargé de sous-entendus. “T’as sucé mon frangin, hein ? Sale petite pute.” J’étais mort de honte, mais il m’a attrapé par le bras. “Suis-moi.”

On a grimpé dans sa chambre, et là, tout a dégénéré. Lucas a baissé son short, révélant une queue respectable, pas aussi monstrueuse que celle de Théo, mais bien raide. “À mon tour, suce.” J’étais trop loin pour reculer. Je me suis mis à genoux, encore secoué par ma pipe d’en haut, et j’ai pris sa bite en bouche. Il était moins brutal que son frère, mais tout aussi dominateur, me tenant la tête pendant que je le pompais. Il gémissait, me traitant de “chienne” et de “vide-couilles”. Puis, il m’a relevé, m’a retourné et m’a plaqué sur son lit, à quatre pattes. “T’as sucé Théo, maintenant tu vas prendre ma queue dans ton cul.”
Il a craché sur mon trou, l’enduisant de salive, et a poussé son gland contre moi. La douleur m’a fait grimacer, mais j’étais tellement excité que je me suis cambré, l’invitant à aller plus loin. Il m’a enculé d’un coup sec, me faisant crier. “T’aimes ça, hein ?” grognait-il, me pilonnant sans ménagement. Son lit grinçait, et moi, j’étais perdu dans un mélange de douleur et de plaisir, mon cul s’ouvrant à chaque coup de reins. Il a joui vite, déchargeant dans mon cul, son sperme chaud coulant entre mes cuisses.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Alors qu’on reprenait notre souffle, la porte s’est ouverte avec un grincement. Un homme immense, la cinquantaine, se tenait dans l’encadrement. Leur père. Une armoire à glace, torse velu, barbe grise, et un regard qui vous transperce. Il portait un jogging, mais la bosse qu’il arborait était indécente. “C’est quoi ce bordel ?” a-t-il tonné, mais son ton était plus curieux que fâché. Lucas a bafouillé, mais moi, j’étais hypnotisé. Le père a baissé son froc, révélant une queue XXL, un véritable gourdin de 25 centimètres, épais comme une canette, avec des couilles poilues, énormes, pendantes, qui semblaient prêtes à exploser. “T’aimes les queues, gamin ? Alors viens voir le patron.”

J’étais tétanisé, mais mon corps a obéi. Je me suis approché, à genoux, et j’ai pris son monstre en bouche. C’était impossible à avaler entièrement, mais j’ai fait de mon mieux, bavant, gémissant, pendant qu’il grognait des “putain, t’es une bonne salope”. Ses couilles tapaient contre mon menton, lourdes, odorantes. Théo, qui avait entendu le vacarme, nous a rejoints, sa queue déjà raide. “On va le défoncer, papa.” Et c’est ce qu’ils ont fait. Lucas m’a repris en levrette, pendant que le père enfonçait sa bite dans ma gorge, me faisant suffoquer. Puis ils ont échangé. Le père m’a retourné, m’a écarté les cuisses et m’a enculé à cru, son gourdin déchirant mon cul déjà sensible. La douleur était insoutenable, mais le plaisir était encore plus fort. Il me baisait comme un marteau-pilon, ses couilles poilues claquant contre mes fesses, pendant que Théo me forçait à le sucer.

J’étais leur jouet, leur pute, et j’adorais ça. Le père a joui le premier, un torrent de sperme inondant mon cul, dégoulinant sur le lit. Théo a suivi, giclant sur mon visage, et Lucas a fini en se branlant sur mon torse. J’étais couvert de leur jus, épuisé, mais dans un état d’extase totale. Le père m’a tapé l’épaule, un sourire satisfait. “T’es un bon coup, gamin. Reviens quand tu veux.”

Toute l’année, ça a continué. Lucas et moi baisions dès qu’on pouvait, souvent rejoints par Théo. Le père, lui, était plus rare, mais chaque fois qu’il me prenait, c’était une leçon de domination. Cette première journée a réveillé la salope en moi, et je n’ai plus jamais regardé en arrière.

13/05/2025 12:46

sweetthoser : Superbe histoire ! Beau style ! Bravo


11/05/2025 05:31

Ztheplayer : Super bandant, kan tu veux tu les partages


04/05/2025 11:51

Francois515 : très beau recit et bandant


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