Défoncé par les Frères et Leur Père à la Queue XXL MON TWITTER X : https://x.com/lopenordisere C’était l’été indien, début septembre, une chaleur moite qui collait à la peau. J’avais 22 ans, un corps mince mais musclé par le sport, et je traînais chez un pote du lycée, Lucas, un mec cool avec qui je passais des heures à jouer à la console. On était affalés dans son salon, torse nu, en short, la sueur perlant sur nos pecs à cause de la canicule. La télé crachait les bruitages d’un jeu de combat, et l’ambiance était détendue, presque trop. Jusqu’à ce que tout bascule dans une spirale de vice que je n’avais jamais osé imaginer. Vers 16h, la porte du salon s’est ouverte, et le frère aîné de Lucas, Théo, a débarqué. Une vingtaine d’années, un mètre quatre-vingt-dix de muscles saillants, des cheveux noirs en bataille et un regard de prédateur. Il sortait de sa chambre, vêtu d’un simple caleçon gris, moulant, qui ne laissait rien à l’imagination. Son torse était couvert d’une fine toison, et ses biceps roulaient à chaque pas. J’ai buggé, la manette en main, incapable de détacher mes yeux de ce dieu vivant. Il nous a jeté un vague “salut” avant de filer vers la cuisine, son cul parfait dansant sous le tissu. Lucas a mis le jeu en pause, et j’ai bafouillé un “il est cool, ton frangin”. Il a haussé les épaules, habitué, mais moi, j’étais déjà ailleurs, la tête pleine d’images salaces. Quand Théo est revenu, une canette à la main, j’ai cru halluciner. Son caleçon était tendu par une bosse énorme, une érection à peine contenue qui semblait me défier. Il m’a fixé, un sourire en coin, et m’a gratifié d’un clin d’œil discret mais sans équivoque. Mon cœur s’est mis à cogner, et ma queue a réagi dans mon short. J’étais grillé : ce mec savait que je le kiffais, et il en jouait. Sans réfléchir, j’ai lâché à Lucas : “Pause, mec, faut que j’aille pisser.” Il a hoché la tête, se levant pour aller chercher des sodas. Moi, j’avais autre chose en tête. Au lieu de filer aux chiottes, j’ai gravi l’escalier, le sang pulsant dans mes tempes. La porte de la chambre de Théo était entrouverte, comme une invitation. Je l’ai poussé doucement, et là, putain, le choc. Théo était vautré sur son lit, nu, une main autour de sa queue. Et quelle queue ! Un monstre de 22 centimètres, épais, veiné, avec un gland rouge et luisant de précum. Ses couilles, lourdes et poilues, pendaient entre ses cuisses musclées. Il m’a vu, un sourire de loup sur les lèvres, et a grogné : “T’attends quoi, petit ? Viens t’amuser.” J’étais comme possédé. Sans réfléchir, j’ai balbutié : “Je… je peux te sucer ? Vite, Lucas va m’attendre.” Il a ri, un rire grave, et m’a fait signe d’approcher. “Je t’attendais, petite salope.” Je me suis jeté à genoux devant lui, hypnotisé par cette bite énorme. L’odeur était forte, un mélange de sueur, de musc et de sexe brut. J’ai léché son gland, salé, glissant, avant d’engloutir sa queue. Elle était trop grosse, étirant mes lèvres à la limite de la douleur, mais je m’en foutais. J’ai pompé comme un affamé, bavant, gémissant, pendant qu’il me traitait de “bon suceur” et enfonçait sa bite plus loin dans ma gorge. Ses mains agrippaient mes cheveux, guidant mon rythme. En à peine deux minutes, il a grogné, ses couilles se contractant, et un flot de sperme brûlant a explosé dans ma bouche. J’ai tout avalé, pas le choix, le goût âcre et épais me faisant tourner la tête. “T’es doué, gamin,” a-t-il murmuré, me caressant la joue. J’étais dans un état second, à la fois excité et mal à l’aise. J’ai essuyé ma bouche, mais des traces de sperme collant au coin de mes lèvres m’ont trahi. J’ai filé en bas, espérant reprendre mes esprits. Lucas m’attendait sur le canapé, deux sodas posés sur la table. Il m’a regardé, plissant les yeux. “C’est quoi, ça, au coin de ta bouche ?” J’ai viré écarlate, incapable de répondre. Il a éclaté de rire, un rire moqueur mais chargé de sous-entendus. “T’as sucé mon frangin, hein ? Sale petite pute.” J’étais mort de honte, mais il m’a attrapé par le bras. “Suis-moi.” On a grimpé dans sa chambre, et là, tout a dégénéré. Lucas a baissé son short, révélant une queue respectable, pas aussi monstrueuse que celle de Théo, mais bien raide. “À mon tour, suce.” J’étais trop loin pour reculer. Je me suis mis à genoux, encore secoué par ma pipe d’en haut, et j’ai pris sa bite en bouche. Il était moins brutal que son frère, mais tout aussi dominateur, me tenant la tête pendant que je le pompais. Il gémissait, me traitant de “chienne” et de “vide-couilles”. Puis, il m’a relevé, m’a retourné et m’a plaqué sur son lit, à quatre pattes. “T’as sucé Théo, maintenant tu vas prendre ma queue dans ton cul.” Il a craché sur mon trou, l’enduisant de salive, et a poussé son gland contre moi. La douleur m’a fait grimacer, mais j’étais tellement excité que je me suis cambré, l’invitant à aller plus loin. Il m’a enculé d’un coup sec, me faisant crier. “T’aimes ça, hein ?” grognait-il, me pilonnant sans ménagement. Son lit grinçait, et moi, j’étais perdu dans un mélange de douleur et de plaisir, mon cul s’ouvrant à chaque coup de reins. Il a joui vite, déchargeant dans mon cul, son sperme chaud coulant entre mes cuisses. Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Alors qu’on reprenait notre souffle, la porte s’est ouverte avec un grincement. Un homme immense, la cinquantaine, se tenait dans l’encadrement. Leur père. Une armoire à glace, torse velu, barbe grise, et un regard qui vous transperce. Il portait un jogging, mais la bosse qu’il arborait était indécente. “C’est quoi ce bordel ?” a-t-il tonné, mais son ton était plus curieux que fâché. Lucas a bafouillé, mais moi, j’étais hypnotisé. Le père a baissé son froc, révélant une queue XXL, un véritable gourdin de 25 centimètres, épais comme une canette, avec des couilles poilues, énormes, pendantes, qui semblaient prêtes à exploser. “T’aimes les queues, gamin ? Alors viens voir le patron.” J’étais tétanisé, mais mon corps a obéi. Je me suis approché, à genoux, et j’ai pris son monstre en bouche. C’était impossible à avaler entièrement, mais j’ai fait de mon mieux, bavant, gémissant, pendant qu’il grognait des “putain, t’es une bonne salope”. Ses couilles tapaient contre mon menton, lourdes, odorantes. Théo, qui avait entendu le vacarme, nous a rejoints, sa queue déjà raide. “On va le défoncer, papa.” Et c’est ce qu’ils ont fait. Lucas m’a repris en levrette, pendant que le père enfonçait sa bite dans ma gorge, me faisant suffoquer. Puis ils ont échangé. Le père m’a retourné, m’a écarté les cuisses et m’a enculé à cru, son gourdin déchirant mon cul déjà sensible. La douleur était insoutenable, mais le plaisir était encore plus fort. Il me baisait comme un marteau-pilon, ses couilles poilues claquant contre mes fesses, pendant que Théo me forçait à le sucer. J’étais leur jouet, leur pute, et j’adorais ça. Le père a joui le premier, un torrent de sperme inondant mon cul, dégoulinant sur le lit. Théo a suivi, giclant sur mon visage, et Lucas a fini en se branlant sur mon torse. J’étais couvert de leur jus, épuisé, mais dans un état d’extase totale. Le père m’a tapé l’épaule, un sourire satisfait. “T’es un bon coup, gamin. Reviens quand tu veux.” Toute l’année, ça a continué. Lucas et moi baisions dès qu’on pouvait, souvent rejoints par Théo. Le père, lui, était plus rare, mais chaque fois qu’il me prenait, c’était une leçon de domination. Cette première journée a réveillé la salope en moi, et je n’ai plus jamais regardé en arrière.
Chaque mercredi soir, c’était le même rituel. Entraînement de basket en catégorie cadet, la sueur, les cris, l’adrénaline. Ce soir-là, j’avais 18 ans, un corps encore en construction mais déjà athlétique, et je rentrais seul à pied, mon meilleur pote terrassé par une fièvre. Il était tard, 23h passées, et les trois kilomètres qui séparaient le gymnase de chez moi s’étendaient sous un ciel sans lune. Pour couper court, j’empruntais des ruelles glauques, des raccourcis dans une zone industrielle où les entrepôts déserts semblaient avaler tout signe de vie. Le silence était oppressant, seulement troublé par le crissement de mes baskets sur le bitume. Mais cette nuit-là, quelque chose allait me faire basculer dans un monde de désirs bruts et interdits. Un ronronnement de moteur m’a fait tourner la tête. Une fourgonnette déglinguée, une vieille Peugeot 205, roulait au pas derrière moi, ses phares trouant l’obscurité. Elle s’est arrêtée à ma hauteur, et la vitre s’est baissée dans un grincement. À l’intérieur, un mec, la quarantaine bien tassée, le genre ouvrier buriné par le boulot. Châtain, barbe mal taillée, yeux perçants, une carrure de taureau qui remplissait l’habitacle. Il puait la testostérone, avec ce charisme brut qui vous cloue sur place. Je m’attendais à une question anodine – un chemin, un bar. Mais il a attaqué direct : “T’as un endroit où on peut s’éclater ce soir ?” Sa voix était grave, presque menaçante. J’ai balbutié que tout était fermé, mais il s’en foutait. Il voulait savoir qui j’étais, ce que je faisais, mes potes, mes plans. Puis, sans prévenir, il a viré au perso : “T’as une meuf ? Ou un mec, peut-être ?” J’ai rougi, bafouillant que j’étais solo. Il a insisté, un sourire carnassier aux lèvres : “T’aimes quoi, les chattes ou les queues ?” J’ai avoué, mal à l’aise, que j’avais juste testé les filles, sans trop de conviction. Il a ri, un rire rauque, et m’a poussé dans mes retranchements : “T’as jamais sucé une bite ? T’as jamais eu envie de te faire démonter par un mec ?” Sous la pression, j’ai lâché un secret honteux : un soir, avec un pote, on s’était branlés ensemble, un peu tripotés, mais c’était resté un non-dit. À ce moment-là, j’ai vu son bras droit s’agiter. Ce salaud se paluchait, là, en pleine discussion, sa queue à moitié sortie, épaisse, veinée, le gland luisant sous les lampadaires. Mon cœur s’est mis à cogner comme un marteau-pilon. J’aurais dû me barrer, mais une pulsion m’a figé. J’étais excité, terrifié, et putain, j’avais envie. Il a capté mon regard, ma faiblesse. “Monte, gamin. Viens goûter une vraie queue de mâle.” Sa voix était un ordre, et moi, j’étais déjà à moitié vaincu. J’ai hésité, mais mon corps a obéi avant mon cerveau. J’ai grimpé côté passager, le cœur en panique, la bite déjà à moitié dure dans mon jogging. Il a roulé trente mètres, jusqu’à un coin encore plus paumé, entre deux hangars, là où personne ne viendrait nous faire chier. À peine garé, il m’a maté comme un prédateur. “T’es mignon, toi. T’as un cul qui mérite d’être défoncé.” Ses mots m’ont électrisé. Il était tout ce que je fantasmais en secret : un mec viril, brutal, le genre qui vous domine sans demander la permission. Il a baissé son froc, dévoilant une queue monstrueuse – longue, épaisse, un gourdin veiné qui pulsait d’envie. Dans la pénombre, je voyais chaque détail : le gland rouge, luisant de précum, les couilles lourdes qui pendaient comme une promesse. “Suce-moi,” a-t-il grogné. J’ai obéi, me penchant sur lui, l’odeur de son sexe me frappant comme une claque. Un mélange de sueur, de pisse et de désir brut. J’ai léché son gland, timidement d’abord, comme un gamin qui découvre un nouveau jouet. C’était salé, fort, addictif. Il a grogné, posant une main lourde sur ma nuque. “Prends-la toute.” J’ai ouvert la bouche, laissant sa queue envahir mon palais. Elle était énorme, étirant mes lèvres, me faisant saliver comme une chienne. J’ai pompé, maladroit mais affamé, sentant sa bite durcir encore plus sous mes coups de langue. Il gémissait, me traitant de “petite salope”, et moi, j’adorais ça. Pendant que je le suce, sa main s’est glissée dans mon survêt. Il a empoigné ma queue, la branlant d’une poigne ferme, puis a glissé plus bas, malaxant mes couilles avant de s’attaquer à mon cul. Ses doigts ont trouvé mon trou, vierge, serré, et il a commencé à le titiller, appuyant, forçant un peu. “T’es bien lisse, putain. T’es fait pour te faire enculer.” Ses mots me rendaient fou. Au bout de cinq minutes de pipe baveuse, il m’a relevé d’un geste brusque et m’a roulé une pelle sauvage. Sa langue a envahi ma bouche, un mélange de tabac, de sueur et de désir. “On va derrière. Y’a plus de place pour s’amuser.” L’arrière de la fourgonnette était tapissé de couvertures crades, un terrain de jeu parfait pour ce qui allait suivre. J’ai rampé à l’intérieur, à quatre pattes, le cul déjà offert, comme si mon corps savait avant moi ce qu’il voulait. Il m’a suivi, arrachant mon jogging et mon boxer d’un geste impatient. Mon cul était à l’air, exposé, vulnérable. Sans perdre une seconde, il a plongé sa langue dedans. J’ai poussé un cri, choqué par l’intensité. Sa barbe râpait mes fesses pendant qu’il bouffait mon trou, le léchant, le suçant, l’ouvrant avec une voracité de fauve. Chaque coup de langue envoyait des décharges dans tout mon corps. J’étais sa proie, et j’adorais ça. Il crachait sur mon cul, l’enduisant de salive, glissant un doigt, puis deux, pour m’écarter. “T’es déjà bien ouvert, petite pute. T’as toujours voulu une queue, hein ?” Il avait raison. Toutes mes branlettes solitaires, tous mes fantasmes refoulés, tout menait à ce moment. J’étais à quatre pattes, cambré comme une salope, gémissant sans honte. Il s’est redressé, crachant sur sa queue pour la lubrifier. J’ai senti son gland, énorme, brûlant, se presser contre mon trou. “Détends-toi, je vais te défoncer.” Il a poussé, lentement d’abord, et la douleur m’a coupé le souffle. C’était trop gros, trop intense. Mais il savait y faire, alternant douceur et fermeté, me murmurant des “T’es à moi” qui me faisaient fondre. Centimètre par centimètre, il m’a empalé, jusqu’à ce que ses couilles claquent contre mes fesses. J’étais plein, possédé, défloré. Il a marqué une pause, son souffle rauque dans mon oreille. “Putain, t’es serré. T’es fait pour ma queue.” Puis il a commencé à bouger, d’abord doucement, puis de plus en plus fort. Chaque coup de reins était un mélange de douleur et de plaisir, une sensation indescriptible qui me faisait perdre la tête. Mon cul s’ouvrait, s’adaptait, accueillait sa bite comme si j’étais né pour ça. Il me baisait comme un animal, ses mains agrippant mes hanches, ses grognements résonnant dans la fourgonnette. “T’aimes ça, hein, petite chienne ?” Je gémissais, incapable de répondre, perdu dans l’extase. J’étais tellement excité que j’ai joui sans me toucher, un orgasme foudroyant qui m’a arraché un cri aigu, presque féminin. Mon sperme a giclé sur les couvertures, et j’ai balbutié un “pardon” ridicule. Il a ri, me tapant le cul. “T’es parfait, bébé. Lâche-toi.” Il a accéléré, me pilonnant sans pitié, son souffle devenant erratique. Puis, d’un coup, il s’est retiré et a joui, son sperme brûlant inondant ma raie, dégoulinant sur mon trou béant. J’ai senti chaque jet, chaque goutte, comme une marque de possession. On s’est effondrés, côte à côte, reprenant notre souffle. Il m’a roulé une dernière pelle, un baiser de mâle, dominant, avant de me lâcher un “T’es un bon coup, gamin.” Quelques minutes plus tard, j’étais dehors, seul, le cul en feu, un goût de bite en bouche et une certitude : j’allais recommencer, et vite. Cette nuit avait réveillé la salope en moi, et je n’avais plus honte. MON TWITTER ( X ) : https://x.com/lopenordisere
Qui veut me parler
Vidange Totale au Parc : 8 Queues pour un Passif ! https://x.com/lopenordisere Un jeudi , le ciel au-dessus du Parc de Miribel Jonage était encore teinté d’un orange crépusculaire quand je suis arrivé au parking Baraka, vers 18h30. L’air était tiède, chargé d’une odeur d’herbe humide et de testostérone en suspens. J’avais lu les rumeurs sur ce spot : un lieu discret, connu des mecs en chasse, et j’étais prêt à tout donner. Mon annonce sur le site avait rameuté du monde, et je sentais déjà mon corps frémir d’excitation à l’idée de ce qui m’attendait. Je suis descendu de ma caisse, un short qui laissait deviner mes fesses et mon jockstrap et un tee shirt Adidas noir . Pas de chichi, j’étais là pour une chose : vider des queues, et j’avais promis un open bar total. À peine avais-je posé un pied sur le gravier que j’ai vu les premiers gars approcher. Huit paires de couilles à soulager, c’est ce que j’avais compté à la fin de la nuit, mais là, tout de suite, c’était le début du carnage. Le premier à se pointer fut un rebeu baraqué, la trentaine, avec une barbe bien taillée et un regard qui sentait la baise à plein nez. Il portait un jogging gris qui ne cachait rien de son matos : une bosse énorme tendait le tissu, et j’ai tout de suite su qu’il était dans la catégorie TBM que j’avais réclamée sur Wannonce . « T’es le passif de l’annonce, c’est ça ? » qu’il m’a lancé, un sourire en coin. J’ai hoché la tête, déjà à moitié en transe, et il a baissé son froc sans attendre. Sa queue, épaisse, veinée, avec un gland luisant, m’a fait saliver direct. J’ai plongé dessus, mes lèvres s’étirant autour de son calibre, pendant qu’il grognait de plaisir en me tenant la nuque. Il sentait le mâle, un mélange de sueur et de musc brut, et je l’ai pompé jusqu’à ce qu’il me remplisse la gorge d’un jet brûlant. Premier vidage, et j’étais déjà trempé de désir. Un deuxième rebeu s’est ramené juste après, un pote du premier apparemment. Plus jeune, plus sec, mais tout aussi bien équipé. Il avait un regard vicieux et une capuche relevée qui lui donnait un air de bad boy. Sans un mot, il m’a retourné contre une bagnole garée là, a craché dans sa main et m’a enfilé d’un coup sec. Mon cul s’est ouvert comme une fleur, habitué à ce genre de traitement, et il m’a pilonné en rythme, ses couilles claquant contre mes fesses. « T’aimes ça, hein, salope ? » qu’il murmurait entre deux coups de reins. J’ai gémi un "oui" rauque, et il a fini par se vider en moi, laissant une chaleur collante couler le long de mes cuisses. La nuit avançait, et les mecs défilaient. Un troisième, un blond costaud d’une quarantaine d’années, m’a pris la bouche pendant qu’un quatrième, un mec nerveux avec une queue courbée, s’occupait de mon cul. J’étais en sandwich entre eux, bavant et gémissant, tandis que le parking résonnait de bruits de chair et de souffles rauques. À un moment, un agent de sécurité s’est pointé, un grand Black en uniforme, la trentaine bien tassée, avec une lampe torche qu’il a braquée sur nous. J’ai cru qu’on était foutus, mais il a juste ricané : « Continuez, je mate. » Et puis, sans prévenir, il a déboutonné son froc et m’a rejoint. Sa queue était massive, un gourdin sombre qui m’a fait un effet de dingue. Il m’a attrapé par les hanches et m’a défoncé contre une table , pendant que les autres regardaient, certains se branlant en cercle autour de nous. Il a joui en grognant comme un animal, et j’ai senti son foutre me remplir jusqu’à déborder. Mais le clou de la nuit, c’est quand le Latino est arrivé, vers le petit matin. Il était grand, bronzé, avec des cheveux noirs en bataille et un corps sculpté qui puait le mâle alpha. Il sentait bon, un parfum boisé mêlé de sueur fraîche, et quand il m’a vu, à poil, couvert de sueur et de sperme après avoir vidé sept mecs, il a souri comme un prédateur. « T’es encore chaud, hein ? » qu’il m’a dit, sa voix grave me faisant frissonner. Il m’a traîné jusqu’à une table de pique-nique au bord du parking, m’a allongé dessus, totalement nu, les jambes écartées, et m’a pris comme un roi. Sa queue, longue et dure comme du bois, me labourait avec une précision brutale. Il me tenait les poignets au-dessus de la tête, ses muscles roulant sous sa peau pendant qu’il me défonçait. Le bois de la table grinçait sous mes fesses, et le froid du petit matin contrastait avec la chaleur de son corps contre le mien. Il m’a murmuré des trucs en espagnol, des mots crus que je comprenais à moitié, et quand il a joui, c’était une explosion, un torrent qui m’a laissé tremblant et vidé. À la fin, vers 05h30 du matin , j’étais une épave délicieusement ravagée. Huit mecs, huit paires de couilles vidées, dont deux TBM d’anthologie, un agent de sécu qui avait retourné la situation, et ce Latino qui m’avait achevé sur la table. J’avais du sperme partout, dans la bouche, sur le visage, dans le cul, et je sentais encore leurs odeurs sur moi. En repartant, les jambes flageolantes, j’ai souri dans le vide. Le parc Miribel Jonage avait tenu ses promesses, et moi, j’avais tenu les miennes.
Un jour, j'étais chez un pote, c'étai le matin, en mode détente, on discute de tout et de rien, je suis un fouineur du coup, je me lève et je vais dans sa chambre, et la je vois un SexToy Doll en siliconé c'étais juste le cul et la chatte hyper réaliste le truc et je vais le voir je lui dis "mec, c'est à toi ce truc la" il me répond que c'tait À lui qu'il venait de l'acheter à peine 1 semaine, bref de la moi je suis là à mater et palper le sextoy et je lui dis que c'est hyper réaliste, c'est comment dedans tout ça ... et la moi j'attendais que ça, bah il me dit teste le va y tu verras, moi les gars je vous jure j'attendais que ça en plus je n'avais pas giclé depuis une bonne semaine, j'avais faim lol et là, il me dit "par contre je te laisse la baiser si tu le fais devant moi" et la une montée d'excitation je commence à bander, et à prendre le sextoy, la sensation interne étant incroyable, pendant que mon pote se branler le chibre, un moment donner lui il lâche son yop et quand viens mon tour il me demande de gicler dedans en mode creampie, j'accepte je me vide entièrement dans le sextoy, je me nettoie et je vais pour nettoyer le sextoy il me dit "non laisse je ferais ça plus tard" je rentre chez moi et il m'envoie un message "mec tu es vraiment chaud, tu as rempli mon sextoy bien comme il faut" ... Je me suis dit ... qu'a-t-il fait avec son sextoy plein de semence ?
izaac7 : Bien hot comme récit et surtout ça fait envie
audia5tt : En tous cas moi j'aimerai bien tester ce genre de jouet ;)
loicscred : Huuuum hyper bandant !
Ib34 : Trop bon
RebeuLatino : je pense qu'il a du passer apres moi lol
Alex_94 : Il l’a bu
Bolsas : Hummmm ! Il a remis sa bite dedans ? Il l'a léché ?
passifnordisere : cool
Arnonat44 : C'est grâce à ce site que j'ai suce mes premières bites !!
C'était l'année dernière sur une aire d'autoroute. Une voiture sest garé acôté de la mienne. C'était la nuit et pas de lumière sur le parking. Un moment je voyais une petite lumière dans la voiture et je pouvais voir le mec en train de se faire sucer par sa compagne je suppose. Moi assis au volant, j'étais au première loge. Un moment le mec sort de sa voiture et ouvre la portière passager pour baiser la femme. Visiblement le gars ne l'a pas déranger vue que j'étais au volant et vitre baisser. Le gars a commencé à la pénétré et faisait des vas et vient de plus en plus rapide. Moi j'étais hyper exciter de le voir en vrai et à moins d'un mètre de moi. C'était une 1ère excitante.
Marconeo78 : Hmmm sympa ça !
titmec69 : Trop bon ça!
https://x.com/lopenordisere C’était une nuit brûlante, un samedi soir d’été, dans une boîte branchée d’Annecy, pas loin du lac, où les basses vibraient dans les murs et les corps se frôlaient sous les néons. Et c’est là que je l’ai vu : un Turc, un putain de canon de 30 ans, un mètre soixante-quinze pour 75 kilos de muscles secs, taillés par le boulot – maçon, m’a-t-il dit plus tard, et ça se sentait dans ses paluches énormes, quatre fois la taille des miennes, calleuses et puissantes. Il portait une chemise blanche entrouverte, laissant deviner un torse velu, des poils noirs comme l’ébène qui débordaient du col, et un jean bleu moulant qui soulignait ses cuisses épaisses. Ses cheveux, mi-longs, raides, noirs corbeau, brillaient sous les lumières stroboscopiques, épais comme une crinière sauvage, et sa barbe taillée encadrait un visage viril, avec des sourcils broussailleux qui lui donnaient un air animal. Moi, du haut de mon mètre soixante-dix et mes 52 kilos, mince, passif, presque frêle à côté de lui, je l’ai maté toute la soirée. À un moment, il a filé aux chiottes de la boîte. J’ai pas hésité, je l’ai suivi. Là, dans la lumière crade des néons, il a sorti sa queue pour pisser : 21 centimètres de chair épaisse, 6 de diamètre, un monstre turgescent, veiné, avec un gland luisant qui m’a fait saliver direct. Il m’a capté en train de baver dessus, un sourire en coin a traversé son visage. « Suis-moi », qu’il m’a lâché, la voix grave, rauque, pleine de testostérone. On a traversé la foule, direction le parking. Sa caisse ? Une BMW noire rutilante, sièges en cuir sombre, qui puait le luxe et la sueur masculine. Il m’a poussé sur la banquette arrière, la portière à peine claquée. J’étais à quatre pattes, le cul offert, et lui, derrière moi, a baissé son jean juste assez pour libérer sa teub. Il m’a agrippé les hanches avec ses mains de brute, ses doigts s’enfonçant dans ma chair blanche et fine, et il m’a pénétré d’un coup sec. J’ai hurlé, un mélange de douleur et de plaisir, son engin me défonçant comme une perceuse. Mes petits doigts se sont accrochés à ses cheveux, ces mèches épaisses, raides, luisantes, que je tirais en arrière pendant qu’il me pilonnait. Je gémissais comme une chienne, mes lunettes glissant sur mon nez trempé de sueur, tandis qu’il grognait, ses poils noirs de torse frottant contre mon dos. Sa chemise ouverte laissait voir ses pecs bombés, couverts de cette toison sombre qui me rendait dingue. Il a posé une main sur la plage arrière pour prendre appui, l’autre me tenant le cou, et il m’a bourré encore plus fort, son bassin claquant contre mes fesses. Mais ça ne lui suffisait pas. Il m’a dit : « On va ailleurs, un vrai spot. » On a repris sa BMW, direction Argonay, un parking connu des mecs en chasse, un lieu de drague cent fois plus chaud que la Visitation. Là, au milieu des arbres et des bagnoles garées, il m’a sorti de la caisse, m’a plaqué contre le capot encore tiède, et m’a repris de plus belle. Sous la lune, je voyais ses biceps se tendre, ses avant-bras velus crispés alors qu’il m’enfonçait sa queue jusqu’à la garde. Mes doigts s’emmêlaient dans ses cheveux, je les bouffais presque, humant leur odeur de mâle, pendant qu’il me labourait le cul, ses couilles lourdes tapant contre moi à chaque coup. Il a accéléré, ses grognements devenant bestiaux, et puis il s’est retiré d’un coup. « Ouvre la bouche », qu’il m’a ordonné. J’ai obéi, à genoux sur le gravier, et il m’a arrosé : trois, quatre jets de sperme épais, brûlant, qui m’ont éclaboussé le visage, dégoulinant sur mes lunettes, ma langue, mes joues. J’en avais plein la gueule, et je kiffais ça, ce goût salé, cette domination totale. C’était un plan cul d’anthologie, hardcore, avec ce bogoss turc qui m’a déglingué comme jamais. On ne s’est jamais revus après ça, dommage. Mais cette nuit-là, entre la boîte d’Annecy et le parking d’Argonay, reste gravée dans ma peau, dans mes lunettes maculées, dans chaque fibre de mon corps éclaté par sa puissance.
spider25 : chaud j'adore!
bobidicool : wow super chaude ton histoire
Il est 18h00. Je viens de passer la barrière de péage pour faire les derniers kilomètres d'autoroute avant de rentrer chez moi. Je roule depuis maintenant 4 heures, le temps est humide, la luminosité faible. Je n'ai pas envie de pisser, mais mon bas ventre se rappelle à moi. Avant la sortie, tu vas t'arrêter à cette aire de repos que tu connais pour y avoir quelque fois fait quelques plans rapides (tripotage, branle, suce). Elle comporte 2 parkings, un auto et l'autre poids lourds, et au milieu se trouve le bloc sanitaire. Pas de station-service, elle n'est pas trop fréquentée, surtout un jour de semaine, on ne croise pas de famille. En plus de ces 2 parkings, il y a un espace pique-nique situé plus à l'écart, avec ses places de stationnement, séparé de la vue des sanitaires et des 2 autres parkings par des cyprès très hauts et une bonne distance. ça y est, j'approche. Cligno à droite...Est-ce que je suis suivi ? Je n'aime pas trop ça d'habitude. Je ne veux certes pas tomber sur une aire déserte, mais je n'ai pas envie de trop de monde, c'est toujours plus compliqué il me semble dans ces cas-là...: chacun reste dans sa voiture, personne ne bouge, et il ne se passe rien. Tiens…un SUV me suit. Je m'arrête devant le bloc sanitaire, le SUV part directement sur l'aire de pique-nique... Je fais mine de boire à la bouteille et de tripoter mon téléphone. Il ne se passe pas grand-chose, un van est garé à côté de moi: 2 jeunes, on dirait des potes. Je redémarre, et je file rejoindre ma cible, sur le parking n°3 à l'écart. Je roule en seconde, dernier virage à 90° à droite, ça y est, plein de places de libres, 3 véhicules présents. Celui qui me suivait, un van et une clio. Un mec est dehors et se promène, puis se plante près d'une table de pique-nique, abritée par une petite charpente. Il regarde dans ma direction: il doit avoir 50/55 ans, bouc blanc, tenue de ville, plutôt bel homme. Je me gare à côté du van blanc, en épi, tout en laissant une place entre nous. Je regarde dans le rétro pour voir si le quinqua est toujours là : oui, il est juste debout, les mains dans les poches, regarde dans le vide vers nos véhicules stationnés. ça ne dure pas longtemps, il regagne sa caisse, et s'en va (certains vont parfois une boucle par le bloc sanitaire pour revenir ensuite). Je sors, et fume une cigarette tout en marchant un peu sur l'asphalte, en essayant de voir si j'aperçois les conducteurs du van et de la clio. Pas moyen, sans m'approcher davantage, je ne verrai rien. Retour dans l'habitable. J'essaie de mater la vitre conducteur du van, mais avec le stationnement en épi, je n'y parviens pas. Cependant... j'entre-aperçois son bras gauche par moments, qui fait des mouvements dont je devine sans difficulté l’origine. Que faire... ? je sors mon portable et consulte quelques vidéos de cul, déboutonne mon pantalon, et commence à me caresser moi aussi, le sexe sorti de moitié. Avec un peu de chance, il va bien jeter un coup d'oeil à un moment donné. 2 minutes passent...Rien, toujours son bras de temps-en-temps... L'heure tourne: sans être pressé, je n’ai pas non plus envie que ça s’éternise, d’autant que les nuages menacent. Je me reboutonne et décide de prendre le taureau par les cornes. Je ressors, gagne le trottoir contre lequel l'avant de nos véhicules est stationné, et je marche doucement quasi au-devant du van. Je vois le gars, mais la hauteur du siège ne me permet pas de voir en dessous de son buste. Je vois son visage, le volant, et rien d'autre: il doit avoir lui aussi 50/55 ans, une barbe blanche de 3 jours. Il tient son téléphone, et fait défiler des trucs sans me regarder du tout. Je devine qu'il m'a pourtant bien vu, je me tiens debout sur le trottoir, face à lui. Il fait donc mine de ne pas me voir...Je connais ce petit jeu... Du coup, sentant qu'un truc est possible, je m'approche de sa portière et se sa vitre (remontée). Arrivé à hauteur, il ne m'adresse toujours pas un regard. Mais moi je vois bien: il a le froc baissé, et s'astique joyeusement le manche, de taille moyenne visiblement. Je rentre dans son jeu et regarde en direction de son téléphone qu'il tourne ostensiblement vers moi pour partager la vidéo à l'écran: un mec baise une nana en levrette, à bons coups de va-et-vient. Je me déboutonne de nouveau le pantalon et sors ma queue que j'astique avec douceur. Là, mon conducteur tourne enfin la tête et regarde vers mon entre-jambe, en faisant une moue approbatrice. Il ouvre alors la portière comme pour m’inviter à son jeu. Je me place dans l'embrasure, et sors complètement mon costume 3 pièces de son logement pour être plus à l'aise et montrer à mon comparse que tout ça me plaît et m’excite. Nous nous masturbons donc, échangeons quelques caresses. Je remarque son alliance à la main gauche... J'attrape sa queue pour la branler, je caresse ses couilles déjà bien remontées, et l'intérieur de ses cuisses avec son doux duvet. Il fait de même avec moi. Nous poursuivons ainsi plusieurs minutes. Il lâche son téléphone, qui n'était qu'un prétexte, pour se concentrer sur notre jeu. Je me retourne régulièrement pour m'assurer que nous sommes hors de vue d'un éventuel nouvel arrivant. A l'exception de la clio qui était partie pour revenir, mais ne viendra pas nous déranger, il n’y a personne. Nous avons pu aller jusqu'au bout. Il éjacule le premier, en douceur, le sperme coule le long de sa main, il l'essuie vite avec une lingette sortie de sa boite dans le compartiment de sa portière...Monsieur est prévoyant... Quant à moi, je me retourne pour avoir mon sexe qui pointe vers l'extérieur, intensifie le mouvement, et lâche ma dose qui vient maculer le bitume du parking, sous le regard malicieux de ce partenaire éphémère. ça y est, c'est terminé, l'excitation retombe aussitôt, on reprend nos esprits. Je sors un kleenex de ma poche de jean, m'essuie le gland et me reboutonne. On se dit "merci, ciao" sans davantage de discussion. Il claque sa portière alors que je retourne à ma voiture juste à côté. Il part, il est 18h40. Je fais de même, content de ce plan rapide, c'est exactement ce dont j'avais envie: une bonne branle mutuelle à 2, simple, efficace, l'ambiance parking ajoutant un peu de piquant à tout ça.
Popperscam40 : Bandant
Bolsas : Ah ces aires d'autoroute ! Queue des surprises ;-) Encore à Orthez, A64
gayfrench : Merci pour ce récit, qui comme d'autres me rappel bien des souvenirs à l'époque ou les sanitaires des aire de repos étaient plus dans le partage car collectives
Dje84 : Très bien raconté. Tu m'as donné la trique !
Arnonat44 : Beau récit, j aime bien également ce genre de pause
Coco75007 : Bravo pour ce plan sympa, déjà vécu et toujours recherché a chaque arrêt pipi sur autoroute !