Les premiers émois: échos d'enfance et de jeunesse révolue
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edenpark83
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Re: Les premiers émois: échos d'enfance et de jeunesse révolue

par edenpark83 » Jeu 26 Sep 2024 08:29

BelleTrique85 a écrit :J'adorerais ressentir à nouveau l'orgasme prépubère celui avec lequel aucune goutte de sperme ne sort et qui vous comprime l'anus le bas-ventre et le sexe let qui est pour moi plus puissant qu'un orgasme éjaculatoire.
Et vous ?


Et oui, je pense qu'on a tous plus ou moins vécu la même séquence, la queue dressée comme un "i" plaquée contre le ventre, à bander à en avoir mal a la queue, le prépuce enserrant le gland (pour ceux qui en ont 1) ressentant l'air ambiant sur son gland gonflé à bloc, tellement sensible qu' un souffle d'air de respiration donne des sensations,
Observer, juste avant l'éjac, le gland changer de couleur, devenir pourpre, prêt à éclater, puis quelques chose monte comme une drôle de sensation qui se répand depuis l'anus, remontant sous les couilles, puis le long de la queue, jusqu'à l'extrémité du gland comme une envie de pisser mais qui n'aboutit jamais, jusqu'à ce que l'orgasme éclate accompagné d'une petite goutte de précum, une perle translucide s'écoulant à peine, juste avant qu'on soit envahi par cette énorme vague de plaisir qui nous submerge,
Perso je me souviens en avoir eu le souffle coupé, à la limite du vertige !
Puis cet instant ou l'on plane, en se demandant ce qui s'est passé, si tout est ok, réalisant peu à peu que "ca y est" on est un homme,
Ensuite la phase d'observation, qu'est ce qui a coulé ? On est intrigué par ce "précum" dont l'odeur monte rapidement au nez, une nouvelle odeur qu'on découvre, et qui restera iéternellement associées à notre queue !

jhcirconcis
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Re: Les premiers émois: échos d'enfance et de jeunesse révolue

par jhcirconcis » Ven 27 Sep 2024 19:52

Je vois que mon sujet a suscité de nombreuses réactions dont certaines m'ont rappelé quelques souvenirs..
Après l'épisode de ma masturbation entre "potaches" j'ai commencé à développer une sexualité beaucoup plus frénétique et malheureusement très solitaire dans un premier temps(faute d'audace et de timidité)

Il me fallait découvrir le sexe opposé. Les lointains souvenirs d'exhibitions puériles des cours de récréation ne me suffisaient plus.
Seul bémol, l'adolescence avait annihilé la spontanéité des échanges. Les filles devenaient secrètes, joueuses et mystérieuses: tout cela me paraissait bien trop compliqué.
Mon corps, je le connaissais déjà. Il me fallait apprendre, apprendre ce que c'était une fille de cet âge, apprendre ce que c'était une femme. Il ne s'agissait plus de rester timoré, de fantasmer à travers les livres et les cassettes et encore moins via internet, les parents étant souvent dans les parages.

Ayant eu le luxe de posséder une piscine privée au sein de notre maison familiale, j'ai donc commencé à cibler le cercle proche.
Certains d'entre vous ont eu le loisir d'apprendre certaines choses entre cousins-cousines, mais dans ma famille, ce genre de liberté aurait été impossible ou rapidement sanctionné.
En revanche, l'argument systématiquement opposé à mes cousines lorsque celles-ci manifestaient le souhait de se dévêtir à l'abri des regards était toujours le même: "mais enfin, nous sommes en famille.. C'est ta cousine/ton cousin" Quant à moi, j'appris à feindre l'indifférence, mais en réalité je n'en perdais pas une miette.
L'émoi d'une culotte descendant lentement jusqu'à mi-cuisses et les tentatives maladroites de dissimulation se soldant par une pirouette ratée amenaient pour résultat une exhibition de davantage d'attributs, du dévoilement involontaire de la croupe tendue, de l'aperçu bref mais ô combien inspirant d'une toison naissante.
Et que dire.. Que dire oui des poitrines prometteuses se dévoilant au grand jour par l'effet d'une glissade de serviette exécutée par mégarde? Un avant-goût exquis!

Et puis.. Comme dans certains de vos récits, il y a toujours cette cousine qui sort un peu des sentiers battus. Elle insistait pour dormir à la maison, comme lorsque nous étions enfants. En revanche, conscients que nous n'en étions plus, nos parents respectifs se gardaient bien de ne pas nous faire dormir dans le même lit. Avec elle, c'était spécial. Nous étions "amoureux" étant enfants, comme les individus de cet âge peuvent l'être. On se tenait par la main, on s'effleurait les lèvres et les adultes trouvaient cela mignon.

Désormais, à l'âge respectif de 15 et 16 ans révolus, le sens n'était plus le même, les intérêts changeaient.. Je me souviens d'un mois de juillet particulièrement chaud, ma cousine et moi, tous deux assis au bord de la piscine chacun son maillot à la main.
C'était une dominante qui savait pertinemment prendre la direction des opérations ce qui n'était pas mon fort.

Morceaux choisis de nos échanges enfouis au plus profond de ma mémoire:

"Alors? Tu mets pas ton maillot?" dit-elle en s'esclaffant.
"Ben.. Je vais aller à l'intérieur pour le mettre."
"Tu peux t'habiller ici ça ne me dérange pas.."
Son regard est brillant et me met aussitôt mal à l'aise. Je sens les fourmillements habituels dans mon slip, j'ai même l'impression que mon sexe bouge tout seul!
"Ca va pas la tête?" est la seule réplique que je trouve ..Et une occasion gâchée.. Une!
J'avais, je le crois, autant envie de me montrer qu'elle. Cela aurait donné un magnifique tableau que j'essaye parfois d'imaginer.

Dans le fond de la pièce, un large fauteuil, idéal pour se planquer. Je fais les mêmes acrobaties ridicules que mes cousines désireuses de ne pas lever trop haut la jambe pour montrer certains trésors cachés exécutent.
En enfilant mon maillot, je vois ma cousine détacher ses cheveux: elle est nue sans complexes, je vois ses seins lourds avec des tétons assez gros et roses de profil, sa chute de reins. De derrière, c'est déjà très beau, puis elle se retourne et m'offre une vue imprenable sur un vrai pubis de femme. A ce moment, nos regards se croisent. La surprise se lit sur son visage mais en me voyant, elle se contente de pouffer puis secoue la tête en enfilant son maillot de bain.
Je sors de ma tanière, penaud et n'échappe pas à son ironie: "eh ben, t'en as mis du temps! Pourtant tu t'es déshabillé avant moi!" Je ne réponds rien, elle arbore un sourire narquois..

On discute de tout et de rien, on rit, on fait les imbéciles: deux ados..
Puis..Ce je-ne-sais quoi débarque soudain au centre de nos ébats. La chaleur peut-être, les hormones certainement.

Alors que l'on joue à se battre, une main vient se plaquer contre mes boules. On se regarde..Est-ce un accident? Tout en moi indique qu'elle a mon autorisation pour recommencer son forfait.
"Attaque fatale" crie-t-elle aussitôt(peut-être pour totalement se désinhiber) tandis que mes parents, hilares, s'amusent des formules employées et de notre petite "lutte pour de faux" en préparant l'apéro.

En réalité, la fameuse "attaque" fut la suivante: les jambes lancées en avant m'entourent la taille et le bas de son maillot se colle au mien. Dans la minute, j'ai une trique d'enfer! Tout se gonfle: mon sexe, mes testicules que je n'ai pas vidé depuis deux jours.. Chose rare à cette époque.
"Alors?" Fait-elle triomphante tandis qu'elle déplie et replie ses cuisses autour de moi.
"Je t'ai bien eu hein? Je t'ai eu!"
Nouvelle prise.. J'essaye de me débattre mais ses cuisses fermes forgées par la gymnastique restent fixées autour de moi.
Son regard amusé me vexe, ayant l'impression qu'elle se moque de moi.

Je suis de plus en plus mal à l'aise: "on ne fait pas cela entre cousins" mais.. C'est tellement bon!
Je dois avoir l'air stupide, la bouche entrouverte, je sens que quelque chose change dans mon corps, une chaleur inhabituelle. Collée à moi, la maudite cousine respire de manière saccadée.
J'ai sûrement dû fermer les yeux un moment. J'étais encore non circoncis à l'époque et les frottements, accompagnés des mouvements de l'eau faisaient éclore et rétracter mon gland.
Pour la première fois je sentais le plaisir d'un sexe féminin contre ma tige, cette fente s'ouvrir pour m'accueillir, même à travers le tissu.
Le maillot de bain protégeait jalousement le trésor de ma bienfaitrice.. Seul rempart à mes ardeurs!

J'entends des exclamations et mon corps en alerte, j'ouvre rapidement les yeux.
"Oulà, waw.. Ah ouais.." Ma cousine, les yeux rivés sur mon entrejambe assiste fascinée au spectacle: le bout de mon sexe dépasse largement du maillot et là-dessus mademoiselle ricane!
Paniqué, n'entendant plus mes parents, je me débat avec force et lui souffle un "lâches-moi" autoritaire, la repousse, faisant basculer son corps en arrière la tête dans l'eau.
S'ensuit un "crétin" bien placé par ma cousine, suivi d'un rictus de mépris. Elle s'éloigne en nageant, contrariée..

"A table!" Les parents nous appellent, cela tombe à point nommé car nous nous évitons du regard et mon esprit embrumé ne commande plus rien.
Elle sort de l'eau, se réfugie derrière le fameux canapé, ressort sans un mot, séchée et habillée. Pas un regard..
Je comprends les états d'âme des adultes au sujet des femmes. Élève à l'école de la vie, j'apprends et ce n'est pas fini.
La cousine est grincheuse, les parents s'interrogent: je les laisse à leurs énigmes irrésolues.

C'est encore pire lorsque mon père la raccompagne. Je sens son regard pesant derrière moi: l'heure n'est plus aux pulsions, mais aux questions. Faut-il se taire, Est-ce grave? Après tout nous n'avons pas "consommé".
C'est le "foutoir" dans ma tête et dans la sienne sans doute aussi: je le sais, je le sens..
Arrivés chez mon oncle et ma tante, ma cousine savoure sa vengeance, celle de me déstabiliser une nouvelle fois.
"C'était bien la piscine?" Son regard lascif se pose sur moi, me cloue sur place et je reste coi.
Il faut dire quelque chose.. "Oui,oui" répond-elle aux adultes avec un sourire forcé. Le ton est laconique, et les adultes de commenter: "eh ben, ça c'est les ados, on a jamais beaucoup d'infos!"

Heureusement! Ma cousine passe devant moi et lâche avec son rictus de tout à l'heure: " ben y'a rien à dire hein? On a fait frotti-frotta c'est tout"
Je suis estomaqué.. Ouf.. Personne n'a entendu.. Nouveau rictus méprisant: Rideau!

C'est ainsi que se termine le second volet de mes anecdotes, j'espère que vous me lirez avec autant de plaisir que j'ai eu à écrire ces souvenirs.
J'essaye de faire revivre tout ça à travers mes textes et je dois avouer que faire fonctionner la machine à fantasmes est pour moi encore plus enrichissant et excitant que les images ou les vidéos dont j'ai fait le tour et dont je suis devenu un peu accro..
C'est un bon compromis que j'ai couplé à quelques jours d'abstinence pour pouvoir exploser bientôt! C'est la seule technique que j'ai trouvé pour retrouver l'émoi des premières caresses telles que décrites dans ce récit authentique.
Un des membres a parlé ici des fameux "orgasmes secs" que nous avions étant gamins: lors des périodes d'abstinence c'est aussi un petit peu ce qui se passe: les sensations dans l'anus, le corps qui doit se réhabituer aux émissions de sperme, l'érection à en faire mal.
Et surtout la moindre pensée et le moindre effleurement qui met tout votre corps en alerte.
J'adore!!!

edenpark83
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Re: Les premiers émois: échos d'enfance et de jeunesse révolue

par edenpark83 » Lun 7 Oct 2024 15:41

jhcirconcis a écrit :Je vois que mon sujet a suscité de nombreuses réactions dont certaines m'ont rappelé quelques souvenirs..


Et bien, voilà un récit plus que sensuel et excitant. Personnellement, j'ai parfaitement imaginé ces séquences, comme si j'étais à côté de vous, au bord de la piscine, à vous observer silencieusement, mais assidûment !

Je pense que tous se demandent s'il y a eu une ou plusieurs suites à cette histoire...

Te lisant, je me remémorais encore cette expérience avec ma propre cousine, que j'ai déjà raconté plus haut. Ce fût bref, mais je revois encore ces images où je la doigte lentement sur le canapé, concentré sur les sensations au bout de mes doigts qui visitaient ses chairs cachées sous sa touffe de poils noirs et brillants, d'une douceur exceptionnelle...
L'envie de réitérer avec elle a perduré pendant plusieurs années. Nous avions 14 ans. Et c'est resté mon fantasme jusqu'à ma première fois à 17 ans.

En fin de post, tu évoques l'espoir de retrouver l'intensité des premières éjaculations, à travers une bonne période d'abstinence. J'ai également essayé cette technique, et, pour ma part, au bout de 3 semaines d'abstinence complète, cela s'en rapproche assez.
Mais j'avoue que ce n'est pas ce qui me manque le plus. Ce qui me manque et que j'aimerais retrouver, c'est cette irrépressible envie d'éjaculer qui pouvait survenir à l'adolescence à n'importe quel moment. Surtout en cours, quand d'un seul coup, une pensée, une idée, un sourire, une forme, une odeur, un parfum, et bien d'autres choses encore, pouvaient provoquer une de ces érections impromptues, incontrôlables, dont on ne pouvait s'en sortir qu'en éjaculant... Cela commençait par la queue qui gonfle assez rapidement, avec ces "papillons" dans les boules, jusqu'à l'anus, et qui se retrouve complètement coincée dans sa position initiale, tirant au passage sur quelques poils. Quand ça m'arrivait, je ne pensais plus qu'à ça ! J'imaginais ma bite gonflée à travers mes vêtements, avec l'impossibilité de la libérer de peur que mes voisins de table ne captent la grosse bosse qu'elle aurait formé. Je sentais les pulsations du sang tout le long de ma verge, le gland qui voulait comme éclater. TOut ça accompagné de ces mots qui se répétaient indéfiniment dans ma tête "j'ai envie de gicler putain, j'ai envie de gicler"....
Plus la queue gonflait et demandait à être libérée, plus ça tirait sur les poils, plus je la sentais raide à travers mes vêtements, plus les mots raisonnaient, et du coup plus je bandais ! Prisonnier de ce cercle vicieux, il était difficile d'être attentif à ce que le prof pouvait dire, je n'attendait qu'une seule chose : que ça sonne pour foncer directement aux chiottes et me vider, dissimulant mon érection avec mon sac ou ma veste ou tout ce qui pouvait servir à cacher mon émoi.
Parfois il était impossible d'attendre... Quand cette érection survenait genre 15 minutes après le début du cours... Alors j'attendais 10 minutes de plus, histoire de ne pas me prendre une remarque du prof sur le fait que j'aurais pu aller aux WC à la pause ou à l'intercours.
Au feu vert du prof, je fonçais aux WC, je m'enfermais dans un box, je faisais silence pendant quelques secondes histoire d'être sur d'être seul dans la pièce, puis je déballais ma queue, mon pantalon et mon calecon à mes pieds !
1ere étape de libération : quand je baissais mon boxer/slip, ma queue libérée venait directement frapper mon ventre, , étalant une belle dose de précum qui s'échappait de mon prépuce ! Parfois mon gland se retrouvait déjà à moitié décalotté dans mon sous-vêtement, et je découvrais mon boxer maculé de mouille !
La seule vue de ma queue qui me paraissait encore plus grosse que d'habitude me donnait directement envie de gicler ! Il ne fallait pas plus de quelques aller et retour de ma main experte pour la faire cracher tout ce ju ! Dans ces cas là, j'essayais de viser tant bien que mal la cuvette, me oenchant en avant, une main appuyée sur la paroi, poussant ma queue vers le bas le plus possible avec toute la douleur que cela provoquait ! Et oui, à cet âge, quand je bandais, j'étais véritablement droit comme un "I", la queue à la verticale vers le haut ! Au maximum, je pouvais l'écarter à 45 degrés de mon ventre sans mal ! Au delà, ça tirait tellement que j'avais peur de la casser !
Donc dans cette position, penché en avant, jambes écartées, cul en bombe pour que la queue vise bien vers le bas, je lâchais la purée, retenant ma respiration pour éviter les gémissements et ainsi éviter de me faire repéré si quelqu'un venait à rentrer dans la salle des WC au même moment ! Seul le bruit du sperme qui jaillissait violement et d'écrasait contre la faïence ou l'eau de la cuvette était perceptible !
Mais vous savez tout comment ça se passe ! On essaie de viser mais ça part comme ça part !

Tout ça pour dire que c'était tellement intense, tellement impromptu.
Il faut dire qu'à cette époque de lycée, j'étais en internat. Toute la semaine, je voyais des bites le soir au dortoir, étant bi, ça me chauffait bien, mais impossible de se branler en internant ! Douches communes, chiottes dégueulasses ou bouchés, et donc puants ! Il fallait que j'attende le samedi midi, quand je rentrais enfin chez moi, après le déjeuné, pour me purger les boules. C'était d'ailleurs un mes rituels pendant toute cette période au lycée. !

Ce récit m'a évidemment fait bandé comme un porc. Je vais donc me branler histoire de faire passer ça !

Marccum
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Re: Les premiers émois: échos d'enfance et de jeunesse révolue

par Marccum » Lun 7 Oct 2024 16:31

Salut tout le monde,
Et merci de me ramener à mes potes bi de lycée qui, quand la copine les gonflait, passaient des soirées à me parler, me branler et vouloir me garder loin des filles :-)

edenpark83
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Re: Les premiers émois: échos d'enfance et de jeunesse révolue

par edenpark83 » Mer 9 Oct 2024 15:00

Marccum a écrit :Salut tout le monde,
Et merci de me ramener à mes potes bi de lycée qui, quand la copine les gonflait, passaient des soirées à me parler, me branler et vouloir me garder loin des filles :-)


Faut que tu nous racontes ca en détail ahah

heterofun
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Re: Les premiers émois: échos d'enfance et de jeunesse révolue

par heterofun » Jeu 10 Oct 2024 09:55

Salut à tous ! Alors moi c'est un peu spécial la première expérience, mais il ne faut pas voir ça d'un mauvais œil, parce que moi je regarde un très bon souvenir et surtout très excitant..

Alors, Je devais avoir 12 ou 13 ans. À l'époque j'habitais à Courbevoie dans le 92 et je faisais de la natation trois fois par semaine à la piscine du centre commercial. Donc je connaissais la piscine comme ma poche en grand habitué. Et un jour, je me suis rendu compte qu'il y avait des trous dans les cloisons. Pas plus gros qu'un stylo Bic. Je me souviens ça m'avait marqué parce que je ne l'avais jamais remarqué. Peut-être que c'était la première fois que je tombé sur une cabine avec un trou je ne sais pas. Et du coup moi, de nature tres curieuse, j'ai regardé dans le trou. Et c'est peut-être ce moment-là qui a changé et façonner ma sexualité à jamais.

Pour la première fois, j'ai vu un homme, la quarantaine à peu près, complètement nu. Et comme le trou était assez bas je n'ai jamais vu son visage. Par contre j'avais une vue direct sur Son sexe. Au lieu d'être petit est flasque comme le mien, pour la première fois j'ai vu un truc énorme, dur, dressé vers le haut avec des veines bien visible. J'étais choqué.

Mon cœur battait à 1000 a l'heure. Je le voyais se sécher, passer la serviette entre ses boules et ses cuisses, et puis je l'ai vu se sécher la bite. Il avait mis la serviette dans sa main et a commencé à se frotter le sexe avec. Sauf que je le voyais continuer à se frotter, de plus en plus vite. Je me souviens encore de son énorme prépuce qui se rétracter. Je ne sais pas si c'était malsain de ma part, mais vraiment ça me fascinait.

Et puis je l'ai vu retirer la serviette, saisir sa bite dans sa main et faire des allé retour de plus en plus rapide. Je ne savais pas quoi penser à ce moment-là je découvrais vraiment la chose. Et là, je me souviens très bien le voir se pencher, et lui-même regarder à travers le trou. Ce qui est marrant c'est que je n'ai pas du tout pensé qu'il pouvait me mater, je me suis juste dit qu'il regardait pour voir si je ne l'observer pas. J'ai eu peur qu'il me dénonce. Alors j'ai retiré mon œil et j'ai posé ma main sur le trou pour éviter qu'il ne voit quelque chose. J'ai attendu quelques secondes, et j'étais beaucoup trop curieux pour attendre alors j'ai regardé à nouveau. Et au moment où j'ai regardé c'était tout noir. Je pensais qu'il avait boucher le trou aussi.

Sauf que au final, j'ai vu la lumière arriver et son œil c'ecarter, Je pense qu'il a vu que je le mater. Il s'est reculé, et je me souviens qu'il a commencé à balancer son bassin en avant en arrière pour faire bouger son énorme sexe. Et puis il a continué à se branler frénétiquement, tout en regardant de temps en temps si je continuer à le mater. Il se branlé de plus en plus fort, je me souviens entendre le bruit de son prépuce humide. Et là, ça a été la découverte de ma vie, je l'ai vu éjaculer. Il a giclé sur la cloison en face de moi et j'ai vu cette espèce de liquide blanc Gicler, s'etaler contre le mur, et dégouliner doucement. J'ai vu le reste de cette chose doucement sortir de Son gland. Il tirait son sexe comme pour faire sortir jusqu'à la moindre goutte et je voyais le reste tomber par terre.

Je me souviens qu'il s'est rhabillé assez vite et qu'il est sorti. Moi j'étais complètement ahuri, excité, je ne saurais pas vraiment comment le décrire. C'était vraiment particulier comme moment. Quand il est parti, je me souviens que mon premier réflexe ça a été de faire pareil que lui sauf que le miens ne grandissait pas vraiment. J'ai pris mes affaires, et je suis allé dans sa cabine. Je me souviens d'ailleurs j'étais terrorisé à l'idée que quelqu'un me voit rentrer dans une autre cabine lol. Je me suis dit que les gens allait me trouver bizarre. Je me souviens que j'ai regardé par terre, et j'ai vu les gouttes qui restait par terre. J'ai posé ma main dessus je l'ai touché, j'ai analysé la texture avec mes doigts et je me souviens même l'avoir senti. Ça m'a vraiment fasciné...

Marccum
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Re: Les premiers émois: échos d'enfance et de jeunesse révolue

par Marccum » Jeu 10 Oct 2024 14:37

Coucou, Edenpark,
En fait, quand ladite copine était trop lourde ou contrôlante, les « comment ? tu n'as jamais rien fait avec les filles ? » devenaient « tu as bien raison, laisse-toi branler, je te protégerai d'elles »; et les longues conversations du soir devenaient de longs câlins de la nuit. :-)

branleur92
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Re: Les premiers émois: échos d'enfance et de jeunesse révolue

par branleur92 » Sam 2 Nov 2024 08:43

Salut C'est tres excitant ces histoires ! On peux en discuter en pv si vous voulez ;)

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