jhcirconcis a écrit :Je vois que mon sujet a suscité de nombreuses réactions dont certaines m'ont rappelé quelques souvenirs..
Et bien, voilà un récit plus que sensuel et excitant. Personnellement, j'ai parfaitement imaginé ces séquences, comme si j'étais à côté de vous, au bord de la piscine, à vous observer silencieusement, mais assidûment !
Je pense que tous se demandent s'il y a eu une ou plusieurs suites à cette histoire...
Te lisant, je me remémorais encore cette expérience avec ma propre cousine, que j'ai déjà raconté plus haut. Ce fût bref, mais je revois encore ces images où je la doigte lentement sur le canapé, concentré sur les sensations au bout de mes doigts qui visitaient ses chairs cachées sous sa touffe de poils noirs et brillants, d'une douceur exceptionnelle...
L'envie de réitérer avec elle a perduré pendant plusieurs années. Nous avions 14 ans. Et c'est resté mon fantasme jusqu'à ma première fois à 17 ans.
En fin de post, tu évoques l'espoir de retrouver l'intensité des premières éjaculations, à travers une bonne période d'abstinence. J'ai également essayé cette technique, et, pour ma part, au bout de 3 semaines d'abstinence complète, cela s'en rapproche assez.
Mais j'avoue que ce n'est pas ce qui me manque le plus. Ce qui me manque et que j'aimerais retrouver, c'est cette irrépressible envie d'éjaculer qui pouvait survenir à l'adolescence à n'importe quel moment. Surtout en cours, quand d'un seul coup, une pensée, une idée, un sourire, une forme, une odeur, un parfum, et bien d'autres choses encore, pouvaient provoquer une de ces érections impromptues, incontrôlables, dont on ne pouvait s'en sortir qu'en éjaculant... Cela commençait par la queue qui gonfle assez rapidement, avec ces "papillons" dans les boules, jusqu'à l'anus, et qui se retrouve complètement coincée dans sa position initiale, tirant au passage sur quelques poils. Quand ça m'arrivait, je ne pensais plus qu'à ça ! J'imaginais ma bite gonflée à travers mes vêtements, avec l'impossibilité de la libérer de peur que mes voisins de table ne captent la grosse bosse qu'elle aurait formé. Je sentais les pulsations du sang tout le long de ma verge, le gland qui voulait comme éclater. TOut ça accompagné de ces mots qui se répétaient indéfiniment dans ma tête "j'ai envie de gicler putain, j'ai envie de gicler"....
Plus la queue gonflait et demandait à être libérée, plus ça tirait sur les poils, plus je la sentais raide à travers mes vêtements, plus les mots raisonnaient, et du coup plus je bandais ! Prisonnier de ce cercle vicieux, il était difficile d'être attentif à ce que le prof pouvait dire, je n'attendait qu'une seule chose : que ça sonne pour foncer directement aux chiottes et me vider, dissimulant mon érection avec mon sac ou ma veste ou tout ce qui pouvait servir à cacher mon émoi.
Parfois il était impossible d'attendre... Quand cette érection survenait genre 15 minutes après le début du cours... Alors j'attendais 10 minutes de plus, histoire de ne pas me prendre une remarque du prof sur le fait que j'aurais pu aller aux WC à la pause ou à l'intercours.
Au feu vert du prof, je fonçais aux WC, je m'enfermais dans un box, je faisais silence pendant quelques secondes histoire d'être sur d'être seul dans la pièce, puis je déballais ma queue, mon pantalon et mon calecon à mes pieds !
1ere étape de libération : quand je baissais mon boxer/slip, ma queue libérée venait directement frapper mon ventre, , étalant une belle dose de précum qui s'échappait de mon prépuce ! Parfois mon gland se retrouvait déjà à moitié décalotté dans mon sous-vêtement, et je découvrais mon boxer maculé de mouille !
La seule vue de ma queue qui me paraissait encore plus grosse que d'habitude me donnait directement envie de gicler ! Il ne fallait pas plus de quelques aller et retour de ma main experte pour la faire cracher tout ce ju ! Dans ces cas là, j'essayais de viser tant bien que mal la cuvette, me oenchant en avant, une main appuyée sur la paroi, poussant ma queue vers le bas le plus possible avec toute la douleur que cela provoquait ! Et oui, à cet âge, quand je bandais, j'étais véritablement droit comme un "I", la queue à la verticale vers le haut ! Au maximum, je pouvais l'écarter à 45 degrés de mon ventre sans mal ! Au delà, ça tirait tellement que j'avais peur de la casser !
Donc dans cette position, penché en avant, jambes écartées, cul en bombe pour que la queue vise bien vers le bas, je lâchais la purée, retenant ma respiration pour éviter les gémissements et ainsi éviter de me faire repéré si quelqu'un venait à rentrer dans la salle des WC au même moment ! Seul le bruit du sperme qui jaillissait violement et d'écrasait contre la faïence ou l'eau de la cuvette était perceptible !
Mais vous savez tout comment ça se passe ! On essaie de viser mais ça part comme ça part !
Tout ça pour dire que c'était tellement intense, tellement impromptu.
Il faut dire qu'à cette époque de lycée, j'étais en internat. Toute la semaine, je voyais des bites le soir au dortoir, étant bi, ça me chauffait bien, mais impossible de se branler en internant ! Douches communes, chiottes dégueulasses ou bouchés, et donc puants ! Il fallait que j'attende le samedi midi, quand je rentrais enfin chez moi, après le déjeuné, pour me purger les boules. C'était d'ailleurs un mes rituels pendant toute cette période au lycée. !
Ce récit m'a évidemment fait bandé comme un porc. Je vais donc me branler histoire de faire passer ça !